sábado, 14 de abril de 2012

Pierre Montagne Pedro Serrano Anthropiste 2




Séparation – Coupure du CV en deux – Ici la 2ème partie
                                                                                            Photo CV 001



E 46 : Comme activités culturelles à Paris, je fréquentais les                    musées suivants : ABCD

A - Le Palais de la Découverte des scientifiques, au Petit Palais. Des expériences se réalisent devant les visiteurs. La cage de Faraday, entre autres, qui émet de grands éclairs sur l’extérieur. Ce Palais contient un planétarium, dans lequel s’expose une pierre de lune. À la porte, une boutique écologique « Nature et Découverte » vend, entre autres, des livres scientifiques.  

B - Quelques semaines me fixant sur le Musée d’Orsay – A proximité vint vers 1990 Ellis, une riche touriste américaine de San Francisco ou de Los Angeles. Ensemble nous montâmes au dernier étage panoramique de la Tour Montparnasse. Puis elle déménagea au Ritz, Place Vendôme. Ellis était fière d’avoir travaillé avec les chirurgiens, leurs passant les instruments aux moments de leurs charcuteries, et avait travaillé aussi à dessiner les logotypes sur les paquets de cigarettes. Un ami américain l’avait rejoint à Paris.

C - Quelques mois se passèrent en mes visites hebdomadaires sur le Musée du Louvre, avec son ancienne porte sur la colonnade, avant les travaux de la Pyramide de verre du Président François Mitterrand. J’y découvrais mille tableaux et de nombreuses sculptures. Vers 1989. Un des tableaux me plut davantage que les autres : « Le verrou » de Fragonard.  

Insérer ici « Le verrou » de Fragonard.

D - Je fréquentais aussi très longtemps le Jardin des Plantes ou Muséum National d’ Histoire Naturelle. M N H N. L’ École de botanique s’ouvrait intérieurement sur le Jardin Alpin et ses merveilles de plantes de toutes les montagnes du Monde. Un passage sous – terrain y conduisait. Les serres tropicales étaient à visiter ainsi que son parc zoologique et ses quatre kiosques ou buvettes : celui de l’entrée principale, celui du zoo, celui du manège des gosses et finalement celui nommé « Kiosque des otaries » sur lequel un arbre planté par Buffon étendait son ombre. Le plus grand des bâtiments abritait La Grande Galerie de l’Évolution. Des bâtiments autres étaient l’ Anatomie Comparée, la Phanérogamie et la Minéralogie. Des statues de scientifiques et de nymphes ornent le jardin. Les parterres de fleurs s’étendent, majestueux.

Insérer ici une photo – carte postale de « L’Histoire Naturelle ».

E 47 : Promenade écologique à Vincennes avec les copains de Terminale C, et les amies du groupe. Nous faisons un tour en barque sur la lac inférieur. C’est l’été. En un faux mouvement, je mets un grand coup de sabot dans la tête à Corinne Lefort Lauvergne, et nous partons tous à la pharmacie Porte Dorée lui chercher quelque chose pour sa bosse.

E 47 se continue en cet E 48 : Réparation d’un électrophone chez Corinne Lefort Lauvergne. Bien plus tard, je revins au domicile – cage d’escalier de Corinne avec les compagnons du stage A F P A. Une boîte de nuit de perdition donnait sur l’ascenseur, et nous leur subtilisions par une des fenêtres quelques bouteilles de Whiskey bon marché. Corinne se mit à travailler dans une entreprise de publicité, avec disait - elle « les créatifs » qui ne font qu’imaginer des slogans ou des images publicitaires.

E 47 se continue en cet E 49 : Un des compagnons du groupe Binisti Lelarge Letavernier Polychroniadis était Franck Guillon, karatéka de son passe – temps. Claudine formait, au début, partie du groupe. Nous nous conumes Place des Vosges, aux pauses de midi depuis l’école des Francs Bourgeois au lieu de rester sagement dans les locaux de l’amicale du Lycée.


E 50 : De la Domrémy, Hervé Rocton , Massot, Degos, Jean Louis Bertrand, Jean Luc Gourmelein et sa sœur Sylvie, leur père ingénieur, Marie, Boisset, les frères Cerles, dont Roland et celui qui nous disait des messes, Houbloup, De Los Santos, Grasset, Lévèque, Gasparoni, Gagnaire, Vu Ngoc, Tarayre, Lepage, Eric Léger, et Jean Marc Hirrien qui suivit aux Francs Bourgois et Yves Chouteau le fils du fleuriste de la rue de Patay resteront toujours en ma mémoire.              

Pour commencer la classe, avant de nous assoir, nous devions prononcer en chœur et à haute voix un « Ave Maria ».
Pupils


E 51 : Photo de 5ème ou de 4ème, avec Monsieur Touvenin à gauche professeur d’anglais puis le Frère Edouard à droite, professeur de maths et de chant. Ce frère Édouard tenait le stand de tir à la fête de la kermesse chaque année. Une chute de fusil ( à balles à poudre avec détonateur ) déclencha le percuteur et une balle malheureuse lui perfora la cuisse. « Arrêtez, bande d’imbéciles, je suis touché ». Il criait avec son plomb dans la jambe.

E 52 : Des Francs Bourgeois, les frères Delhayes quand je redoublais, puis Gil et Clerc en Seconde C 3, Yves Thébault en Terminale, Ruffin qui suivait une Terminale A de Philo, Guinard, Maurice qui venait chez Soinnard, Taravella qui fit occasionnellement partie du groupe, Malahel qui volait haut avec son Kung Fu, Poitou en Terminale, et Pascal Combes. Nous allions nous promener à proximité : Place des Vosges, avec un très joli jardin. Nous y rencontrâmes pour la première fois les filles du groupe ultérieur : Christine Lelarge, Corinne Lefort Lauvergne, Claudine et quelque autre fréquentaient le Lycée Paul Bert à quelques pas de là.

E 53 : Du temps de mon redoublement, je prenais déjà les habitudes de la pause café. En la coupure récréation qui séparait notre matinée en 2 x 2 heures, je descendais les 6 étages du nouveau bâtiment, et allais au bar « Le temps des cerises » juste en bas, Rue du Petit Musc, en plein Marais. Un des camarades m’accompagnait : Patrick Germain Thomas, que je revis quelques années plus tard. Patrick, venu l’été, séchait les cours, argumentant qu’il était soi – disant juge de ligne à Rolland Garros, ou alors ramasseur de balles.

E 53 se continue en cet E 54 : En cette année de redoublement, je commençais par rater la première demi journée de classe. En effet, je téléphonais au frère Jacques sous directeur et chef de division depuis un bar sur la N 20 en lui disant : « Je rentre d’ Espagne, mais je suis encore à Orléans. J’arrive. »

E 55 : Du club de judo SCPO de la Rue du Chevaleret : Buniaset, Demichel, Berri, Masaleyrat. ( Sur plus de trente membres ). Nous nous rendions au Stadium, avec les trois frères Ortel, au Métro Boulets – Montreuil près de Nation y voir les championnats en soirée. Jean Ortel progressa, devint ceinture noire, puis professeur et enfin 3ème dan. En l’an 2000 il abandonna complètement le judo. Il était revenu chez ses parents à 40 ans. « Télévision et communication » était sa thèse. Il allait la présenter lorsque mon ordinateur lui fit faux bond, car je partais subitement vers l’Espagne avec Paco Sorni et Patricia de passage. Je lui proposais les clefs de l’appartement afin qu’il dispose de l’ordinateur pour finir et présenter sa thèse, mais « pour des questions de sécurité » il préféra perdre un an de ces études.

E 56 : De l’école Patay, avec Eric Krief, Crouzette, Dominique Mano, Philippe Leconte, Jacques Guénéguès, et Mickael Fontaine qui restera comme compagnon de jeux avec sa sœur Sabine, sa blonde mère allemande et son père professeur de mathématiques. Il avait une immense planche en bois sur laquelle se montait un gigantesque train électrique Jouef . Le patin à roulettes nous emmenait de par les rues. Mickael partit habiter dans l’île de la Réunion, dans l’océan indien : Cité  Lassay – Ville Tampon. Nous nous écrivions pendant des années.




 

objetos CD 3 012

E 56 B – En une occasion, nous rendions visite à cette professeur Madame Turc à son domicile de la rue du dessous des berges, face à l’école de chimie. Monsieur Turc aussi professeur avait une grosse bosse sur la nuque. Une malformation des vertèbres lui inclinait la tête vers l’avant.

E 57 : De Sup, un passage était resté dans le fichier : « Un autre des camarades, le compagnon des travaux pratiques de physique et de chimie n’était autre que Pierre Henri Perret. Ce camarade me loua une des mobylettes dont je faisais commerce. Je les récupérais et les louais à des amis. » Le nom Havil me revient aussi en vague mémoire. Serait – ce un métis de Sup ?

E 58 : Ci après, les photos de dix des copains de Sup

Copains de Sup




Ce Nota est copié – collé de la page 11 du début de ce document, et son contenu est expandé, amplifié en les termes que voici :

J’ais oublié deux emplois principaux et quatre autres activités qui suivent dans le texte :

E 59 : Le Ludo  Jeux – Jouets à Galaxie Centre Commercial Italie 2 ( reponedor de juguetes ) du à un surcroit des ventes pour la période de Noël. Au deuxième étage de Galaxie, dans le fond se tenait effectivement un magasin de jouets, un grand magasin ou grande surface : « Le Ludo – Jeux – Jouets ». Le travail de magasinier consistait à préparer des Rolls, ou charriots, à les emplir de jouets qui se destinaient à aller se disposer dans les rayonnages. Certains des jouets étaient des armes, mitraillettes ou fusils en plastique.

E 59 se continue en cet E 60 : Le chef – magasinier les considérait avant de les empiler : « Pas de quartier. Aller ! » et ils les mettait dans le circuit. C’était une sorte de tuerie ludique. Des armes qui tuent. Environ le troisième jour, je fus convoqué dans le bureau : « Vous êtes licencié ! ». J’allais sur le balcon de la Place d’ Italie et je pleurais en fumant. Le surlendemain, je commençais de dessiner chez Samodef – Bruynzeel que voici décrit.


E 61 : Puis Samodef Bruynzeel, les rayonnages d’archivage chez qui je créais un produit de rayonnages fixes devant remplacer les importations de Hollande. Samodef était tenu par un directeur, Monsieur Evariste qui venait de province. Il n’avait pratiquement aucune notion de dessin industriel, ni des normes du dessin. Il s’occupait de la partie commerciale et des facturations. Son frère monteur assemblait les rayonnages avec, en renfort, des intérimaires avec un statut de presque esclaves. La pose de rayonnages pour les entreprises et les mairies se destine à recevoir les archives ou les collections de films ou les collections de V H S par exemple. Cela suppose un plan théorique du local prévisiblement aménagé et donc un devis. La concurrence était sévère. Il y avait deux types de rayonnages : d’abord le rayonnage fixe supposait une perte d’espace car il fallait réserver des couloirs d’accès entre chaque rayon. Le rayonnage mobile ne laissait qu’un seul et unique couloir déplaçable, perdu en espace, mais supposait davantage de matériel avec par exemple des poulies, des manivelles  et une chaîne.

Insérer ici une photo des rayonnages hollandais prise d’Internet.

E 61 se continue en cet E 62 : Monsieur Evariste avait acheté un normographe électronique qui écrivait les textes avec un Rotring calibré à encre de Chine vissé dans l’appareil. C’était un grand luxe. ( Un Appia, je crois ). En ce temps là, l’ordinateur PC n’existait pas.

E 62 se continue en cet E 63 : Les pièces, montants et étagères étaient importées de Hollande. Evariste décida que c’en était assez, et il tenta de créer ses propres rayonnages, tâche de conception technique qu’il me confia. Je dus tout inventer de A jusqu’à Z. En cette époque, j’allais parfois à la piscine le midi, je me cherchais des fruits au supermarché d’à côté et j’étudiais la Physiologie en un gros Atlas médical édité au Canada que j’amenais au bureau.

E 63 se continue en cet E 64 : Les pièces de Hollande portaient toutes un aigle gravé, ce qui me repoussait. Cet aigle ressemblait à celui de Hitler. Encore les animaux, ici en pleine sidérurgie. J’inventais donc un rayonnage bien français dessiné par un espagnol. Le dernier jour travaillé je remis les plans finis, et je ne sais si ces rayonnages ont été ou non mis en fabrication. A l’initiative du directeur, et en fonction de ses moyens. Lieu de travail : je crois Cachan en proche banlieue sud. Ne travaillaient au bureau que la secrétaire à mi temps le matin et le commercial Sadalian très antipathique. Les monteurs venaient de temps à autre prendre ou déposer du matériel. Plusieurs devis pouvaient être proposés, variant avec différentes dispositions des rayonnages : transversal ou parallèle à l’axe de la pièce. Des caves et des greniers principalement recevaient les archives. Possiblement vers 1987. Je me rendais de chez moi au bus Porte d’Italie en patins à roulettes acquis chez mon ancien employeur : Le Ludo – Jeux – Jouets. Je montais avec dans le bus jusqu’à ce que cette insécurité me fut interdite par le chauffeur.

E 65 : Puis aussi « Intento de vender láminas A4 con las cifras árabes y antropicas fotocopiadas » Calle Don Juan de Austria. Valencia. Mes planches des chiffres arabes et des chiffres anthropiques me paraissaient très intéressantes, mais je n’en vendis pas une seule. Je les avais étalées par terre devant le bar Casa Mundo, de l’ancien footballeur d’autrefois. J’allais avec la bicyclette. Vers 1988 possiblement. 

E 66 : Et encore : “ Clases de verano en la Academia Castellano “. Je sortais de mes traitements inhumains de San Onofre à Quart de Poblet. Les électrochocs ont effacé ma mémoire locale. Simplement je me souviens qu’en prenant des notes à ces cours d’été, je tremblais et ressentais de la panique inspirée par mes camarades qui riaient et riaient sans cesse. Cours de maths et de chimie. Je ne me souviens de rien que de l’adresse des locaux et du prénom de la prof de chimie : Delfina et encore parce que je le notais dans me archives.

E 67 : Il manque deux essais de publications : un livre dont j’étais l’auteur sur le jeûne vers 1984, que je proposais chez « Maloine » et d’autres éditeurs médicaux mais sans aucune chance. Un comité de lecture fit un rapport sur mon ouvrage. Puis un livre sur les pilosités « Spécial Poils » en 2001 ( Voir le paragraphe E 19 B en la première partie du CV sur les marathons comme origine de cette étude sur les poils et les pilosités ). Ce deuxième essai de publication fut fait depuis Paris, juste avant de partir sur l’Espagne. 

E 68 : Je montais aussi un système d’alarme électronique à ultra sons en le domicile de la grand - mère ( au Métro Eglise de Pantin ) de Jean Marc Vieillevigne, un camarade de classe de TC de l’ école des Francs Bourgeois. Xavier Fénard s’interrogeait en cours sur la relativité qui ne figurait pas au programme. Il portait une barbe clairsemée. Quelle horreur de saleté. Aucun des profs des Francs Bourgeois ne portait de barbe.  

E 69 : En voyage de fin d’année de ma première Terminale C des Francs Bourgeois du 21 Rue Saint Antoine, nous eûmes l’occasion de nous rendre en train dans le Pas de Calais au château des parents de Omer Gourlet. Une famille aristocratique composait Omer camarade de classe, son frère Paul qui avait suivi Math Sup au Lycée Charlemagne, leur mère qui avait repris ses études de droit, et le père agent d’assurances.

E 69 se continue en cet E 70 : Ils avaient donc un grand château bien habitable et confortable dans les Côtes du Nord, à Saint Omer près de Lille. Nous nous y rendîmes Paul – Henri, Omer et moi passer quelques jours. Là bas, la voiture DS Pallas que Omer essayait dans le parc immense, les statues, les sept salles de bains de ce château ouvraient les perspectives sur le grand luxe. Du château nous nous rendîmes à la plage de cette Mer du Nord. Il y avait à table des  repose – couverts, soient un ustensile qui permet de reposer le couteau et la fourchette sans qu’ils ne touchent la nappe de leurs pointes. Dans les jardins du château, des ateliers de maquettes d’avions à moteur deux temps étaient le passe temps de Paul Gourlet. Par la suite Omer entra en « Sup », suivit « Spé » et devint ingénieur. À ma connaissance il aurait eu deux filles. Ingénieur chez Renault ou chez Peugeot. Ils habitaient à Paris Boulevard Beaumarchais près de la Place de la Bastille. Nous faisions des réunions chez Omer : boire et téléphoner et aussi faire les devoirs, puis fumer. Devant son domicile, on me vola une de mes Mobylettes garées en bas de chez lui. Paul – Henri, qui avait les cheveux frisés, devint par la suite militaire Gendarme. Il s’installa à Auxerre dans l’Yonne, et eut au moins une petite fille, qui dit – il dans sa lettre, le rendait « gaga ». De visite bien plus tard à Auxerre chez Albert et Jacqueline Buttée collègues de mes parents de la S A T et aussi voisins du 109 berges en leur premier étage, j’essayai de me rendre chez Paul – Henri Barthet, mais je ne réussis pas à le trouver.

E 71 : Durant sa classe de Terminale, Paul Henri bénéficiait d’un studio Avenue de Corbéra près de la Gare de Lyon. Il avait une paix royale pour étudier, et parfois je me rendais chez lui pour réviser ensemble. Un jour que j`’étais assis sur le trône à déféquer, il entra et me fit une photo. Il n’y avait pas de verrou. Paul Henri me revendit sa mobylette, une nerveuse Peugeot 103 qui finit par tomber en pièces.

E 72 : Bien auparavant, à La Domrémy, je fréquentais Jean Louis Bertrand un camarade de 3ème qui devait par la suite intégrer aussi les Francs Bourgeois. Jean Louis, fils unique habitait Ivry – sur – Seine. Je me rendais chez lui chaque semaine le mercredi ou le jeudi y jouer ou partir en promenade. En une des promenades nous fîmes des tas de photos du cimetière d’Ivry avec des appareils sortis de Pif Gadget. Son père était policier Gardien de la Paix et aussi gardien de nuit à l’ U N E S C O. Leur appartement 6 Rue Baudin près du Moulin d’Ivry était grand et luxueux. La télé était dans un coffre laqué noir de Chine. Il avait, pour jouer, une petite machine à vapeur qui fonctionnait avec de l’eau et des plaquettes d’alcool à brûler comme combustible sous la chaudière. Le bâtiment était aussi celui de Jean – Luc Gourmelen. Jean Luc se branlait et regardait son sperme au microscope. Ce même Jean Luc fit un voyage en Espagne et passa quelques jours au village de Massarrochos. Ma tante Francisca se souvient des pétards que le français explosait. Jean – Louis avait une collection de papillons, un modèle réduit de machine à vapeur à pastilles d’alcool, et toute sorte de jouets fabuleux, mais aux échecs, je le battais. Il fit des études de dessin et entra dans une boîte de Design Alain Carré. Ses parents lui donnèrent un studio dans Paris où il s’installait la dernière fois que je l’y vis. Il allait se marier avec une espagnole. Ils avaient aussi un appartement à Nice qu’ils refusèrent de me prêter bien plus tard.

E 73 : Entre temps, à La Domrémy et aux Francs Bourgeois, je fréquentais Dominique Soinnard qui habitait au métro Pasteur dans un bel appartement. Nous fîmes des voyages à la maison de campagne de ses parents, à La Chapelle aux Moines près de Flers de l’Orne en Normandie. J’y connus Brigitte Lebailly de Flers, amie qui venait à la maison et me présenta son amie Huguette Brault de Montreuil.

E 73 se continue en cet E 74 : Un soir, nous étions ivres, sortant de bar de La Chapelle aux Moines, et je lui cassais intégralement la tête. Immobilisé par une prise de judo, il recevait coup sur coup jusqu’à ce qu’il finit par échapper, le visage tout bleu. Il partit dans la nuit noire fumer de la drogue dans une station de service proche. Il avait eu le malheur de me traiter de « fils d’ivrogne ». D’abord nous allions en  auto – stop puis à moto par la suite. Nous achetions du Calvados de contrebande chez les paysans les voisins. De l’alcool presque pur, violent et interdit à la vente à base de pomme fermentée puis distillé. Nous avions passé l’année à faire les devoirs ensembles, particulièrement une étude sur la Renaissance qui nous centrait sur Gargantua et son professeur Pantagruel. Nous usions chez Dominique un cendrier qui n’était autre qu’une super – mini botte bien vernie. Dominique fut l’instigateur de ce que j’achète la M Z. Il me la mit presque dans les mains.

E 74 se continue en cet E 75 : Le concessionnaire était  M C E 2000 soit Moto Cycles Equipements 2000 rue d’Alésia. Le jour où j’allais chercher la moto, je roulais sans rien comprendre en première jusqu’à mon domicile. Le moteur hurlait et chauffait. Ce soir là, Jean François Goubely qui faisait du footing vint me voir avec ma nouvelle moto chez moi. Par la suite, Goubely devait acheter la même, la peindre en noir, moto qu’il finit par me revendre après avoir fait le Cap Nord avec.

E 76 : Dominique Soinnard avait appris la photographie à l’Ecole de Commerce Boulevard Saint Marcel, pratiquement à l’angle des Gobelins. Il m’enseigna chez ses parents comment se servir d’un agrandisseur photo et m’offrit un bel appareil Réflex 24 x 36 Asahi Pentax que je prêtais et que je ne revis jamais.

Insérer une des photos de Soinnard


E 77 : Reste à narrer : Michel Lesturgeon ( « Le grand » ). Sa moto MZ 250 cm3 qui permit le premier contact à un feu rouge alors que j’étais coursier avec ma MZ 125 cm3. Il était fraiseur P3, ouvrier hautement qualifié, avec un bon salaire, mais intérimaire de ci de là. Son domicile initial : Saint Leu – la – Forêt en banlieue Nord. Divorcé. Il vint à la maison chez Dominique Soinnard Rue Eugène Carrière se nourrir car il était sans manger depuis trois jours. Par la suite il s’installa à l’hôtel près de chez nous à Montmartre, puis à un autre hôtel Rue des Gobelins dans le 13ème . Michel était alcoolique, et je l’orientais sur les A A. Souvent fauché, il m’empruntait de l’argent. Une des fois, je lui fis ses courses chez ED, l’Epicier Discount, où il chargea abondamment. Plus avant, il venait à mon domicile du 30 Avenue Madon à Viry Chatillon en banlieue sud. Michel était haut de taille et assez laid, plus âgé que moi de dix ans. Il se joignit au groupe, nous incitant à boire et à fumer. Plusieurs années après, il frappa à la porte de chez ma mère qui refusa d’ouvrir à cet ami connu de la rue. Michel émigra en Angleterre, et cessa de donner quelque signe de vie que ce fut, à part quelque lettre. Entre temps, il m’avait donné l’adresse d’un de ses amis de Londres : Zaïre qui habitait un « squate ». Je passais quelques jours à Londres en un « squate » voisin, échappant par miracle à une descente de la police de Londres qui emmena tous les habitants de l’immeuble « squaté » où j’habitais. J’y écoutais « Summertime » de Janis Joplin encore et encore dans ma chambre du dernier étage emplie de miroirs au sol. Zaïre de sa nationalité algérienne nous prépara un couscous. Pauline était son épouse, et Nassardine était le jeune fils de Zaïre, fervent adepte du Kung – Fu. J’étais allé à Londres à moto par le Ferry. De rouler à gauche me gênait beaucoup. La salle Royal Albert Hall était proche du « squate ». Zaïre m’emmena visiter Hyde Park, un grandissime jardin avec des étendues d’eau.

E 78 : Reste à narrer : mon année d’isolement, de séparation du groupe. Amoureux de Brigitte Binisti, je ne pouvais supporter de la voir flirter avec Loutfi Ouenna. Je fis une crise sociale et restais un an entier isolé sans voir personne de tout le groupe d’amis que j’avais moi – même fondé ou presque. Ça ressemblait à une année sabbatique. Brigitte étudiait les langues à la Rue de l’Ecole de Médecine, à Clichy puis à la fac de langues de Censier.

E 79 : A rajouter : Eric Squizatto, le savoyard du D Et M G 392        ( Stage AFPA décrit en page YZ ? ). Il y avait à côté deux autres promotions, l’une des dessinateurs d’exécution D Ex M G et l’autre du même type que la notre, la D Et M G suivante soit la 393. A l’examen de fin d’année, la moitié de notre promotion a triché à dessiner le soir en temps supplémentaire sur le sujet d’examen. Le professeur principal Falipou ( Papi de son surnom ) exerçant sa dernière année, devait partir à la retraite. En fin d’année, les dégâts causés par les boulettes en papier sur les dalles du plafond endommagées nous furent prélevés sur nos salaires.

E 80 : Reste à narrer Jean Baptiste Desfray de Massy Palaiseau au Square de la Bièvre dans l’Essonne avec son Yamaha 500 XT monocylindre, connu par Martine Dupont, collègue de chez Décorève Posters. Après de nombreuses pérégrinations, je présentais à Jean Baptiste une amie de Corinne Fardet soit Daly Benaïssa, avec qui il se maria et eut un enfant vers 1995.

E 81 : Reste à narrer Younès Othman, ses chiffres arabes avec leur logique de construction et puis mon passage chez lui à Vénissieux, dans la banlieue de Lyon. Camarade de l’ A F P A, un soir il me dévoila le secret des chiffres arabes en un schéma au tableau. Durant le stage, Younès fut à nouveau papa, ce qui donna prétexte à un cocktail au centre de Stains du Boulevard Maxime Gorki. Il se rendit plusieurs fois à mon domicile du 109 berges, et je finis par lui rendre sa visite à Lyon en un de mes passages vers l’Espagne. En une occasion il montait à Paris pour se rendre au salon de l’emballage. Il avait été dessinateur en planches à voile, puis s’occupait des visseries de meubles : charnières et autre articles métallurgiques. A l’ A F P A,  il occupait la chambre en face de la mienne. Younès avait un superbe présentoir à Rotrings avec humidificateur que je me pressais d’acquérir pour le troquer quelques années plus tard à N’ Guyen chez O T E R ( Nanterre ). Othman Younes me fit connaitre une spécialité tunisienne qui consistait en une pâtisserie très sucrée, la Halva aux amandes et aux pistaches dont je prenais plusieurs grands pots métalliques par la suite chez les arabes.

E 82 : Il manquait encore une autre mission : mon poste de un mois chez Universal Det ( Det comme détection ). Je devais faire face à un surcroît de travail. Je devais dessiner des boîtiers de détecteurs à incendie et des circuits électroniques forts complexes qu’un ingénieur modifiait au fur et à mesure. Je ne me souviens pas dans quelle ville, seulement que c’était simultané à mon premier marathon. L’agence d’intérim se situait dans le 14ème arrondissement. Peut – être I B I = Intérim Bureau Industrie. Consulter le plan de ville. ( rue Alphonse Daudet ).

E 83 : Il manque la cimenterie dans laquelle je fus tireur de plans sur machine à ammoniac. Je remplaçais la titulaire tireuse de plans qui partait un mois en vacances en Thaïlande. Je ne faisais que seulement du tirage de plans et du pliage, avec un peu de classement. Il devait y avoir les tirages sur papier et les tirages sur calque. Je ne me souviens même pas dans quelle ville, ni pour laquelle des agences d’intérim. Le chef de bureau d’études devait s’appeler Serge. Je quittais les locaux le midi, je traversais un grand jardin et je déjeunais seul dans un bar.

E 83 se continue en cet E 84 : Le vendredi midi, ils buvaient comme des trous, tous entassés en une petite salle. Peu après la fin de ma mission, Rachid Chekkar le voisin de pallier me cassa violemment la tête et causa ainsi ma séparation d’avec ma fiancée Patricia Malaguarnera. La cimenterie se situait à Clamart, certainement rue de Bièvres ou alors rue de l’Ermitage. Elle se nommait C P C T. Je traversais chaque midi le Parc Forestier.

E 84 se continue en cet E 85 : Peu après cette violence, mes études reprennent à Valencia où je me suis réfugié seul : Maths, physique et chimie en français au domicile de Calle Islas Canarias nº 30, Puerta 10 en un 3ème étage sans ascenseur. J’allais pointer chaque mois à Paris à l’ A N P E durant un an. Le service des douanes me confisqua ma moto qui ne pouvait circuler en territoire espagnol avec une plaque d’immatriculation française. Je lisais quelque roman en Espagnol de Benito Perez Galdos comme « Las novelas de Torquemada » ( I S B N nº 84 – 206 – 1088 – 7 ). Juste avant de me réfugier à Valencia, je fis un voyage avec la camionnette jusqu’au pays, en voyage éclair, après quelques jours passés chez Nono ( Joseph ) l’autre frère de Patou. Celui-ci travaillait à restaurer des châteaux, parvint à acheter une grande villa, et avait deux enfants : Céline et Jérémy. Jérémy était attardé mental, handicapé.

E 86 : En tout dernier lieu, un déplacement à Chartres en voiture fut occasionné par une de mes candidatures et tourna mal car la bleue nuit voiture de Patricia empruntée par moi, une F I A T 127, cassa sa chaîne de distribution que je dus remplacer après m’être fait rapatrier par Jean Pierre, le frère de Patou accompagné de Françoise son épouse. Ils vinrent me chercher en pleine nuit au garage. J’étais venu postuler chez Construction Métalliques Puyenchet. Quelque temps après, le couple remplaça sa ridicule Peugeot 104 par une berline B M W. Ils avaient un grand garage dans leur pavillon.

E 87 : Chez Danzas, je dédouanais occasionnellement quelques camions de vin en citerne. Ils supposaient un acquis de régie, avec d’extrêmes contrôles. Keffir était le collègue de chez Danzas qui m’avait posé des problèmes alors que j’apprenais le métier. Les premiers temps, je me rendais sur le M I N à bicyclette y faire l’ouverture, jusqu’à ce que j’aie pu racheter une moto. Je devais être sur le parking T I R à 06 h 00. En milieu ou début d’après – midi, je rentrais chez moi. Du temps de Danzas, je partis habiter chez un collègue Paul Placide ( antillais ) du village de Mennecy dans le département de l’Essonne. Nous habitions Boulevard Auguste Blanqui. Son frère et sa sœur antillais aussi venaient de temps à autre. Je lui payais la moitié du loyer. Ce rez de chaussée nous permettait, en nos jeux d’entrer et de sortir par la fenêtre. Brigitte Binisti m’y rendait visite

E 88 : Avec Paul Placide, collègue de chez Danzas Denrées, nous fîmes deux voyages : à Bruxelles où nous allions visiter une de ses clientes Marie France que nous ne trouvâmes pas, puis à Kogenheim en Alsace où Paul avait fait les vendanges l’année d’avant. Une fête de la bière nous y réunit avec ses anciens compagnons de vendanges. À Bruxelles, nous dormîmes par terre, sur le palier de cette cliente absente, comme des chiens. Un policier vint nous déloger en pleine nuit.

E 89 : Mon domicile avant Danzas :  Ayant fini Sup, j’allais habiter chez Dominique Soinnard Rue Eugène Carrière à Montmartre. Nous allions parfois dormir chez Jean Baptiste Desfray, au Square de la Bièvre à Massy Palaiseau. Je passais alors plus de trois mois en Espagne, avec l’aventure Clarabelle de cette M Z verte, de la 2 CV Charleston de Jose Palmero del Pozo marié avec Inma ma cousine, et retournais sur Paris, revenu chez mes parents y payer les dettes du voyage en 1980. Ni Inma, ni Carlitos, ni Jose Palmero ne voulurent rembourser les frais d’essence. Ils décèdent un peu plus tard tous les trois.

E 90 prolonge le E 89 : Mon domicile après Danzas : Je m’établis au 30 Avenue Madon près du Moulin de Viry – Chatillon. J’y restai un an, jusqu’à me voir hébergé au centre A F P A de Stains. Au sortir de l’ A F P A, le 109 berges fut mis à mon nom. Nous dûmes payer une forte somme en pots de vins au gérant qui partait à la retraite afin qu’il m’adjuge l’appartement. En cette époque, 3 500 francs étaient une quantité assez fabuleuse.  

E 91 prolonge le E 90 : Sitôt le 109 berges mis à mon nom, je ne tardais pas à faire venir Patricia Malaguarnera habiter avec moi. Nous restâmes ensembles jusqu’à la séparation causée par les violences du voisin de pallier. Après mon année de refuge à Valencia, je réintégrais mon domicile parisien seul. Au décès de mon père, je dus passer quelque mois en Espagne à nouveau, ( période des électrochocs ) puis je réintégrais Paris à nouveau,

E92 : Le circuit Paul Ricard avec Olivier Souffrice. Formant partie du groupe de motards que nous étions devenus, de la Rue Eugène Carrière chez Dominique Soinnard, Olivier roulait en 500 Honda CB quatre cylindres. Olivier était orphelin de père et travaillait chez Japauto – Honda, Avenue de la Grande Armée comme mécanicien moto. Nous avions fait un voyage en groupe avec Corinne Fardet et Daly Benaîssa en Normandie, camper vers Cabourg, Honfleur, Deauville. En un deuxième voyage nous partîmes Olivier et moi seuls sur sa Honda à destination de Toulon, sur la Côte d’ Azur au circuit Paul Ricard où se courait un championnat du monde de moto. Les moteur 2T – deux temps laissaient une odeur particulièrement délicieuse.


E93 : Un autre voyage m’emmena à Limoges, chez Corinne Fardet ( Le Palais ) avec elle en passagère. J’en profitais pour rendre visite à mes élèves les Ribette, aussi à Limoges. Aussi avec Dominique Soinnard, je traversai la France pour visiter mon père à Clermont – Ferrand, où il était en cure thermale exactement à Riom. La boîte de vitesse déconnait, il fallait forcer sur le levier de vitesse tout du long pour éviter que la vitesse ne saute vers le point mort.

E 94 : Avec Jean Ortel, nous avions une activité culturelle qui consistait à visiter le Salon de l’enfance du C N I T  ( Centre des Nouvelles Industries et Techniques ) à la Défense chaque année. Nous emmenions des sacs de Pop Corn fait à la maison avant de partir. Nous nous rendions aussi à la Foire de Paris, à la Porte de Versailles avec son concours Lépine des inventeurs. A cette époque des métros Sprague en bois, des distributeurs automatiques sur les quais me fournissaient des bonbons blancs très durs à l’anis « Abbaye de Flavigny ». Nous allions à la boulangerie qui faisait l’angle Tolbiac – Dessous des berges y chercher des « bonbecs » avec des chewing – gums « Malabars ». Tant d’abus de sucre m’amena à fréquenter le Centre Dentaire Georges Eastman qui faisait limite avec le Parc de Choisy de mon enfance. En une des opérations dentaires, vu que je ne voulais pas ouvrir la bouche, la dentiste me trompa avec un bonbon en plastique qu’elle réussit à coincer entre mes dents. Il était prévu aussi un appareil dentaire destiné à rectifier la croissance d’une de mes incisives qui se mettait un peu de travers.

E 95 : Les études en seconde et en première ainsi que la classe de Terminale en préparation du baccalauréat ont supposé la lecture et l’étude d’œuvres classiques de la littérature française, telles : Germinal de Emile Zola ( I S B N nº 2 – 253 – 00422 – 7 aux éditions Le Livre de Poche ), Le rouge et le noir de Stendhal, Madame Bovary de Gustave Flaubert ( Les classiques de la civilisation française, de chez Didier Éditeur sans I S B N ), Dom Juan et le Tartuffe de Molière ( Les classiques Larousse ), ainsi que « les femmes savantes », Zadig de Voltaire, « l’échange » de Paul Claudel, Gargantua de Rabelais, la machine infernale de Jean Cocteau, et d’autres classiques. En littérature anglaise, Of Mice and Men de John Steinbeck a été lu en entier puis commenté en classe en anglais.

E 96 : La fréquentation de la C R V , association Casa Regional de Valencia en Paris me permit de voyager à Verdun, voire l’ossuaire des soldats tombés en 1918, et à Reims capitale de Champagne y visiter la cathédrale, et au Luxembourg, puis en une autre occasion sur les plages du débarquement et au Pont de Normandie. Le Pont – Canal de Briare dans le Loiret ainsi que Les Sept écluses de Sully était déjà connus par moi en d’autres occasions. A l’occasion, un autre voyage m’amena seul à Nice ( Avenue du Petit Fabron ) et à Genève où je ne fis que transiter rapidement. La C R V organisait à la campagne un concours de paellas chaque année, suivie d’une dégustation : « Las paellas de la amistad ». ( Voir les trois photos qui suivent ). Le départ se donnait au bar Le Dalou ( un sculpteur de son métier ayant immortalisé La République ), place de la Nation. Nous passions aussi quelques jours à boire et danser au Château de la Valette, ancienne propriété de l’Etat Espagnol. Les autres activités consistaient en des vernissages de peintures au local du 7 Rue Jean Macé.

En une des « Paella de la Amistad », vinrent passer la journée Ève Guerrier, Jean François Goubely et Laurent Dutertre. Nous jouions aux cartes en cette belle journée de printemps. Il y avait des concours de pétanque.

Paellas de la Amistad - Casa Regional de V en P

Paellas de la Amistad - Casa Regional de V en P 001

Paellas de la amistad 001


E 97 : Un autre poste à Clichy : Mr et Mme Gierusz faisaient partie de l’entreprise, mais le lieu exact ne m’est pas resté en mémoire. J’y travaillais à installer les boucles magnétiques de comptage des voitures du parking du Sénat, ainsi qu’à d’autres travaux d’illumination tels le Théâtre du Châtelet. Travail temporaire. Il y avait un restaurant d’entreprise, et au fond de l’impasse, un local des Alcooliques Anonymes. Je passais devant les locaux de L’Oréal chaque matin. Un curieux type dans le restau de l’entreprise semblait ne manger que des crudités et des fruits, exclusivement. Il paraissait en conflit ou en désaccord avec ses collègues de la société qui eux faisaient cadavre alimentaire découpé en tranches, mais il avait le dernier mot. Tout le temps qu’il mangeait, il observait le silence, n’ouvrant le feu de la discussion que seulement quand il eut fini. Ça y est je l’ais retrouvée sur Internet : Société Nouvelle Verger et Delporte, 15 impasse Dumur à Clichy, 92110. Tel : 01 42 70 10 20. Entre temps, Mr Gierusz avec qui je travaillais accepta de devenir père de famille, sa femme travaillant au service du personnel. En son poste, il se mit subitement à chanter la sérénade, vaincu psychologiquement.

E 98 : À Paris, je fréquentai quelque peu le Centre International Bouddhique de Paris situé sur les bords du lac inférieur de Vincennes. Je me rendais à leurs fêtes de la mousson ou du printemps, et aux fêtes données en l’honneur de l’anniversaire du 14ème Dalaï Lama. Le Dzong était un de leurs bâtiments. Ils y vendaient de l’artisanat asiatique pour touristes. Une pagode abritait un grand Bouddha doré et ses mille baguettes d’encens allumées. Couramment je me rendais devant le centre avec mes livres et mon camping – gaz y prendre le café ou cuisiner quelque soupe Knorr près du lac. ( Voir photo ). Une fontaine me permettait d’y faire la vaisselle. Je fréquentais aussi le restaurant « Himalaya » situé dans le quartier Pigalle. Le menu était végétarien, et une affiche de la photo du Dalaï Lama décorait le fond de la pièce. Les légumes étaient à peine identifiables : une cuisine tibétaine bien curieuse. Ce restau « Himalaya » a fait faillite, remplacé par un arabe qui nous nourrit Fernando, Frédéric et moi en 2008.


Vincennes 001

E 99 prolonge le E 98 : Bien plus jeune, à l’époque de mon  B E P C, en classe de 3ème, je prenais la bicyclette ( une Motoconfort blanche pliable ) et j’allais étudier à la grotte sur le lac inférieur ( Le Lac Daumesnil ). L’audace de l’aventure me faisait remonter la petite rivière longeant le chemin dans les bois jusqu’au lac supérieur, celui de l’hippodrome. J’attrapais des têtards avec un bocal dans cette petite rivière aménagée. Bien plus tard, nous allions dormir dans une des îles avec Martine Dupont, collègue et amie de chez Décorève Posters, les motos étant garées là de l’autre côté de la rivière. Martine était amoureuse de Richard.

E 100 : Ma toute première calculatrice arriva par le marché noir. Vers 1974, le voisin de pallier Brahim Boudni, marocain nous la vendit pour cent francs. Cette somme énorme correspondait aux premières calculatrices fabriquées. Ma Novus 820 était pourtant très simple. Boudni eut un ennui matrimonial : il était en train de payer sa femme à crédit à son beau père au Maroc. Mais pendant l’accouchement, sa femme « si chère » mourut à l’hôpital. Il se retrouvait veuf avec le reste des traites à payer à son beau père.

E 101 : Je passai mon permis de conduire pour des nécessités toutes professionnelles car en effet il fallait emmener les douaniers visiter les camions, ce qui n’était pas possible avec la moto. De chez Calberson International, je m’inscrivis donc à l’ auto – école Rue Jeanne d’Arc, au coin de la Rue Jenner. Je l’obtenais au premier coup. Je me souviens du jour de l’examen : je plaçais un paquets de papiers et documents sur la lunette avant, sous le pare brise avec l’air de devoir affirmer : « D’abord mes papiers à moi. Là. Ici, c’est moi qui commande. Je conduis ».

E 102 prolonge le E 101 : Au parking du C3, je commençais par faire une bosse à l’Acadiane Citroën, voiture de service qui dut être réparée. Je ne devais conduire par la suite que ma propre voiture, la F I A T 126, puis celle de Patricia, une F I A T 127 et ma camionnette Combi VW blanche. Très occasionnellement je conduisis sur quelques kilomètres la Renault Supercinq noire de Fernando. Peut – être aussi la voiture de Hobaya Abasse, ( le malgache basané ) une 104 Peugeot. Ah oui, j’oubliais : celle de Gumersindo Garcia, en un voyage qui nous mena de Madrid à Huelva près de Séville, ça devait être une F I A T Uno Diésel. Je lui cassai un rétroviseur en croisant de trop près une voiture de face. A l’époque de l’ A F P A, je fus sur le point d’acheter une Audi 100 d’occasion.

E 103 : Mes plus longs kilométrages ont été parcourus avec les MZ. Mettant bout à bout mes nombreux voyages sur l’Espagne et ceux à Fontainebleau, à Flers de l’Orne, à Deauville, à Biarritz, à Nice, Londres, Amsterdam, Kogenheim, et Clermont Ferrand, à Gibraltar ( deux ou trois fois ) les motos successives toutes du même modèle devaient totaliser environ cent cinquante mille kilomètres. Soit quatre fois le tour du monde qui ne mesure que 40 000 km de circonférence.

E 104 prolonge le E 103 : Cette distance inclut au kilométrage les nombreux trajets Paris – Rungis, Viry - Rungis, Stains – Paris, puis de Paray – Vieille – Poste où habitaient les parents de Patricia ( Angelo et « la grosse » au 117 Rue Marcel Ouvrier ) à Paris. J’allais aussi souvent chercher Brigitte Binisti à Ivry – sur – Seine à son domicile et la raccompagner le soir. Chez Calberson nous étaient versées des indemnités kilométriques de l’ordre de 10 centimes  ( de franc français ) du kilomètre. Ah, j’oubliais : mes parcours de coursier chez Liaisons Courses s’y incluent ( Environ 150 km à 200 km par jour travaillé ).

( Je roulais comme coursier avec une caisse à viande en aluminium fichée en position transversale sur mon porte – bagages arrière ). Sur le réservoir, je plaçais une sacoche – réservoir noire. Je ne compte pas mes trajets quotidiens pour me rendre aux Francs Bourgeois ou au Lycée Raspail.


E 105 prolongeant le E 104 : Je conduisis aussi le  125 cm3 D T M X de Dominique Soinnard, le Yamaha 500 X T monocylindre de Jean Baptiste Desfray, la 250 MZ de Michel Lesturgeon, et un peu le 500 Four d’Olivier Souffrice, outre la toute première Ducati 50 cc de Fernando sur laquelle je fis mes premiers tours de roue motorisée à Massarrochos. Antérieurement, avec Jean Ortel, nous volions le Vélosolex du curé, faisions un tour et le remettions bien en place.  

E 106 prolongeant le E 103 : Soit un kilométrage total parcouru : des paragraphes 1 à 33 qui suivent.

1 - 150 000 km à moto M Z ( M otorradwek Z schopau, Zschopau étant une ville de l’ Allemagne de l’ Est - D D R = Deutsch Democratic Republic = Allemagne de l’ Est ) – Au compteur 150 000 km en totalisant mes trois ou quatre motos identiques rouges.

Image C 089

2 - 50 000 km à Mobylette : mes « bleues » de 49,9 cm3, le Solex avec son moteur à galet sur la roue avant, et la Peugeot 103 que m’avait vendu Paul Henri Barthet.

3 - 120 000 km en train à aller et venir de Valencia à Paris ( 40 fois x 3 000 km ) Nous allions toujours en wagon – lit par Limoges et Toulouse. La correspondance se faisait à Port Bou ou à Cerbère dans les Pirénées Orientales. La douane se passait à pied, avec un contrôle des bagages fouillés. Après un petit déjeuner, il fallait ensuite prendre sur le trajet espagnol le train Talgo ou Mare Nostrum. Le Talgo avait un bar cafeteria à bord.

4 - 10 000 km à vélo en tout si ce n’est pas 20 000 km. Une des randonnées vélo nous amena en camp de vacances S A T vers Revel ou Mazamet, et aux ramparts de Carcassonne. En trois jours nous avions parcouru 200 km, partant de Saint Ferréol. Nous avions emmené les tentes de camping, ça va de soi.

5 - 7 500 km à pied à la résidence San Lorenzo étalés sur 4 ans ( 5 km par jour x 1 500 jours ). 2 x 1,5 km pour aller au métro, puis les distances couvertes dans la ville s’ajoutent.

6 - Quelques autres 60 000 km à pied de toute mon existence. 4 km soit une heure de marche par jour x 365 jours x 40 ans = 60 000 km

7 - 30 000 km à métro RATP ( Régie Autonome des Transports Parisiens ) en tout ( 10 km de Place d’Italie à Bastille x 2 x 300 jours x 4 ans aux Francs Bourgeois, plus les samedis et les dimanches et les trajets R E R ) sur Paris

8 - 10 000 km en bus, dont principalement le 27 ligne pilote, allant souvent au quartier latin depuis l’église Jeanne d’Arc, ou simplement me rendant au métro Place d’Italie, ou au centre commercial Galaxie ( devenu « Italie 2 » ). Parfois j’allais jusqu’au terminus de Saint Lazare, et j’en revenais après un croissant à « La brioche dorée ». Des milliers de fois j’ais pris ce 27, du fait de ma carte orange ou de ma carte Emeraude de la Mairie qui me concédait les transports gratuits.

9 - 3 000 km pour mes colonies de vacances – Allers et retour à Murat probablement dans le Cantal, puis à  Saint Ferréol  dans le bassin aquitain et auparavant à Lisieux en Normandie. A Lisieux je commis une bévue de bas – âge. Je pariais que je pouvais soulever un des camarades. Celui – ci soulevé retomba de si haut qu’il faillit se fendre le crâne.

10 - 12 000 km en avion ( 4 allers et retours sur l’Espagne – Un passage en escale à Barcelone, puis Roquetas de Mar  en voyage avec la IMSERSO et Valencia deux fois de plus avec Fernando Sorni pour aller visiter ma mère ou aller la chercher pour la rapatrier depuis Broca Paris jusqu’à Carlet Valencia )

11 - 3 000 km pour aller à Dublin et en revenir en traversant tout le pays irlandais par le pays de Galles. De Dieppe ou du Havre, je débarquais à Rosslare, près de Cork. Au retour je connus Angela Fergusson. Nous partagions une bière au Pub avant que je n’embarque. Nous échangions nos écharpes, la mienne en tricolore contre la sienne blanche avec des fils d’or. Plus avant, elle déménagea sur Londres, où nous continuions d’échanger des courriers.

12 - Le métro à Valencia Massamagrell de 50 km x 300 jours x 4 ans = 6 000 km comprenant mes 10 stages suivis pendant mon séjour à la résidence. Au début j’étais émerveillé de voir les commerces qui s’étalaient vers Alboraia, puis plus avant, les godasses de sport et les téléphones des autres usagers avaient raison de ma patience. Les blousons de cuir et les blues – jeans me mettaient aussi hors de moi. Vers la fin, je m’occupais à répéter et à rabâcher la liste des 193 pays de  l’ O N U sur la Casio dictionnaire bilingue en son fichier « sin formato ».

13 - Le trajet en métro à Carlet résidence maternelle depuis Massamagrell de 100 fois x 120 km = 12 000 km. Il y avait 1 km aller puis 1 km au retour à pied de la gare de Carlet jusqu’à la résidence maternelle. Plus 3 km à Massamagrell à pied. Le métro parcourait bien plus des 120 km aller et retour. Outre la traductrice Casio, je passais le plus clair de mon temps à regarder le vert feuillage des arbres, des orangers, des kakis ( plaqueminier ).

14 - 15 fois 150 km pour me rendre à Alzira à 60 km au sud de Valencia y visiter ma mère mourante à l’hôpital. J’avais  Métro + Train RENFE + Bus. Mon état d’esprit devant l’agonie de ma mère était des plus dramatiques. Inma m’accompagna deux fois la visiter. Nous allions fumer et prendre le café à l’hôpital sur le trottoir en face de la porte. A la cafeteria j’allais prendre une table à y manger mon sandwich à la mortadelle pas chère qui me dégoutait, ou alors celui au thon.

15 - 9 000 km en voiture avec Fernando Sorni et Paco Sorni Alos. Un retour sur Valencia avec Fernando ( 1500 km ), un retour sur Valencia avec Paco et Santiago ( 1500 km ), puis deux allers et retour de 3 000 km chacun.

16 - 10 000 km avec la F I A T  126 ( Nice et les Alpes ) et autant avec le Combi VW aménagé. Avec la F I A T je commençais par me rendre à Genève en escale éclair. De là je continuais vers Sallanches visiter Ortel qui était moniteur de ski. Entre temps j’avais remplacé l’embrayage dans la neige sur une route. Je continuais jusqu’à Nice où m’attendaient Jean – Claude Boireau et Marinette Malaguarnera la sœur de Patricia. Là j’avais laissé la moto en mon voyage antérieur, et je la chargeais sur la F I A T en la galerie, sur le toit. À mon retour sur Paris, je retrouvais Patricia demi congelée dans le noir car elle ne savait même pas allumer le chauffage.

17 - 4 000 km avec la 2CV Charleston de Jose Palmero del Pozo et Inma Sorni Alos. En ce très long voyage, je commençais par doubler une moto 125 MZ verte bien chargée, dont les passagers français acceptent de boire un coup un peu plus loin. Jean Claude et Claudine Séguinau faisaient un long voyage, prévoyant de descendre par Gibraltar sur le Maghreb, puis de remonter par la Sicile. Nous faisons la route ensemble jusqu’à Granada où ils s’arrêtent. Le rendez – vous est fixé à Gibraltar, mais entre temps ils cassent leur moto renversée au Portugal ( près de Seville ). Jean Claude et moi partons la chercher. Nous faisons de la mécanique au camping San Roque, car ma moto avait des problèmes d’allumage, et la leur un problème de châssis. (( Plus tard je découvre la problème de ma MZ : la gaine du câble joignant la dynamo à la batterie était dénudée de son plastique usé ce qui faisait un coupe – circuit ou masse )). Nous remontons comme nous pouvons jusqu’à Valencia. Là, entrent en course Jose Palmero del Pozo, son épouse Inma Sorni Alos ma cousine et Carlitos frère de Inma. Ils laissent leur chatte Miss seule à l’appartement de la rue Maldonado, car il est question de remonter en Deux chevaux sur Paris aller leur chercher un châssis de MZ. Ils attendent, les vendéens chez moi à Valencia, Calle Islas Canarias nº 30 ( puerta 10, je crois au 3ème étage ). Lui jouait de l’accordéon, et elle faisait du tricot. Sur Paris, nous troquons un châssis contre une bouteille de Brandy, mauvaise imitation espagnole du Cognac français. Nous y volons une galerie de voiture pour mettre le châssis de moto dessus. Inma vole chez un épicier arabe sur la route une bouteille de vrai Cognac Fine Napoléon. À la frontière, en une terrasse nous partons sans payer, en courant vers la voiture. Rentrant de Paris, nous avons oublié mon chien Tommy à Barcelone chez Fernando Margareto Layunta qui nous hébergea au Paseo Valldaura, ce qui occasionne 700 km supplémentaires. Nous livrons le châssis, remontons leur moto et ils continuent leur périple par le Maroc jusqu’en Sicile. Entre temps, j’ais laissé mes sacoches moto déposées au camping San Roque, que je récupère l’année suivante. Je roulais en permanence avec une bonne sacoche – réservoir noire.

18 - Mes 1000 ou 2 000 km avec l’ancien train F E V E  ou  Ferrocarriles Españoles de Vía Estrecha ( Le MetroValencia d’autrefois désservait aussi le village de Massarrochos ) et mes trajets en Tramway du temps de Franco. En chacune de mes vacances, nous allions et venions au centre ville puis à la plage. Maman nous emmenait parfois Fernando Sorni et moi dans les profondeurs du port y faire un voyage touristique avec les « golondrinas » ( bateaux portuaires pour touristes ) qui nous emmenaient loin jusqu’à la jetée de l’époque. Nous passions entre les élevages de moules qui flottaient dans le port. Mon père se laissait flotter, couché sur le dos dans l’eau. Il fallait aussi aller et venir jusqu’à Massarrochos et Alfara del Patriarca en train. Insérer ici la photo du petit train vert.


19 - Mes 500 km pour aller à Folkestone chez Jean François, aller et retour par le Shuttle, canal sous la Manche. Il travaillait sur la côte anglaise où il se rendait chaque semaine, ignorant la statue de Wlliam Harvey que je lui fais découvrir : le découvreur britannique de la fonction du cœur.

20 - Mes 2 000 km pour aller trois fois depuis Paris au château du Saulier près de Chasseneuil. Les deux premières fois j’allais en voiture avec Jean François Goubely Al Ateen qui allait partir en tourisme visiter les glaciers d’Argentine et l’Antarctique en bateau. Il était tout content : « Je pars enculer les pingouins ». Après un « Pêtard » de drogue dans les chiottes de la station service, il se distingue. « Et tu sais pourquoi je t’emmène avec moi ? … C’est au cas où je trouve pas de pingouins ». Goubely passait son temps sur la route, et ne fumait pas de tabac : que des pêtards de hachiche ( cannabis ). Il le paye cher d’un cancer à la gorge dès mon départ. Il se fait opérer. La troisième fois, en l’an 2000, je me rendais au château à Mobylette. Je continuais mon voyage jusqu’à Bort – Les – Orgues chez une amie de ma mère, épouse d’un franc maçon Manuel décédé en 1992 et mère d’un chef d’entreprise Bruno Lauzier qui m’écrit en 2010.


21 - Mes 500 km aller et retour à Sarreguemines, frontière belge – Stage AFPA. Nous allons en car depuis Stains, et rentrons le jour même après la visite de l’usine de montage Citroën. 20 participants à ce tourisme industriel.

22 - Mes 500 km de voyage à Tours avec Fabienne durant mon stage A F P A, avec son avortement à la clé au cours de cette escapade. Voir le récit dramatique quatre ou cinq pages plus loin. E XYZ ?

23 - Mes 2 500 km avec la C R V ( Le Luxembourg après Reims et Verdun – La Normandie et les plages du débarquement – Le château de la Valette ). Nous allions toujours en car. Parfois une cassette passait des blagues humoristiques en espagnol dans le haut – parleur.  Voir photo faite au Luxembourg qui suit :

Luxembourg - About 1 995

24 - 1000 km de mes deux voyages en train à Auxerre dans l’ Yonne chez les Buttée, Albert et Jacqueline. Ils avaient en outre une maison de campagne proche à Jarry ou La Croix Jarry. Albert avait eu les oreillons en bas – âge, ce qui l’empêchait d’avoir des enfants. Chaque midi il parlait de sa déportation en Allemagne et des allemands.

25 - Mes 500 km pour aller deux fois à Aillant sur Milleron chez les parents de Ortel. « Les Bélinières » se nommait le hameau. Mes parents avaient dû payer mon séjour. Nous allions à la ferme chercher le lait à bicyclette. La maman préparait des yaourts dans une yaourtière avec un ferment lactique. Il fallait aussi couper du bois de chauffage. La mère de Jean, Pierrette me demande ce que je pense de sa cuisine. « C’est mangeable » que je lui réponds. Alors Jean entre en furie et il s’ensuit une folle poursuite dans le jardin qui se termine en prises de judo. Nous avions notre chambre à l’étage, là ou nous jouions au Monopoly avec Jacques et Joël. J’y découvris le disque Opéra Rock « La Révolution Française ».

Rock Opera

26 - Mon voyage à Salornay – sur – Guye – Chalons sur Saône en train à la colonie de vacances. Ayant échoué à mon baccalauréat, je me rendais en retard à cette colonie, y allant seul en train. Retour en car avec les gosses

27 - Mon voyage à Huelva, passant par Madrid, de 2 000 km avec la voiture de Gumersindo García et retour en train par Seville. Le train nous emmène à Madrid où nous passons la nuit. De là, Gumersindo essaye de conduire, mais il abandonne et me passe les clés de la voiture. Nous arrivons à Huelva et sur place, il me prêtait la voiture. Il était commerçant grossiste en farine de blé et huiles et sel pour la confection des traditionnels beignets consommés à Madrid ( churros ).

28 - Mon voyage chez Valérie Oertlib ( amie de l’ Eau Vive ) en Bretagne, j’allais lui ouvrir son robinet de flotte, son robinet d’eau au compteur ainsi inauguré. Elle me paya l’aller, puis je rentrais seul sur Paris. Nous prîmes le TGV. En soirée, au coin du feu, Valérie me racontait avec insistance comment son fils agent de sécurité en ayant marre de sa mère avait fini par l’attacher et la mener chez le psychiatre, les pieds et les poings liés. Valérie était comédienne soit artiste de cinéma.

29 - Mon voyage à Dinan chez Mme Lucas, dans les Côtes d’Armor. J’y occupais la grande chambre du sous – sol. La fille de Mme Lucas était venue passer quelques jours. Je prenais quelque revue érotique. Le Jerzual était un lieu de promenade très touristique. En ce rude hiver, la Rance, rivière locale gela complètement. Une épaisse couche de glace recouvrit toute la surface. Nous faisions des promenades sur les petites routes locales à travers bois, pour tomber sur une auberge de jeunesse où je partageais une partie d’échecs. Madame Lucas la propriétaire et notre hôte décéda peu après. Non seulement ma mère était « dame de compagnie » mais en plus elle voulait nous facturer l’hébergement. La ville de Dinan garde encore ses murailles médiévales.

Insérer ici deux cartes postales du Jerzual et de la Rance. À scanner.

30 - Mon aller et retour à Ibiza, en bateau avec Angel Palanca. J’y connus une jeune belge de Namur, Patricia Carrier avec qui j’échangeai longtemps du courrier. Angel connut sur le bateau une jeune française Françoise qui venait de France à mobylette, avec sa toile de tente crasseuse et trouée. Il la sauta, ce qui leur fit le plus grand bien à tous deux. Angel trafiquait avec de la cocaïne et avec du hachiche, qui déjà me repoussait. En ces vacances d’été, je devais être en stage A F P A. Si ma mémoire est bonne, j’étais venu cette année là par Madrid y visiter le musée « El Prado » et l’Escorial, le « Valle de los Caidos » et la tombe de Franco, et j’avais connu cette année là Eleonor Gil de Ramales Iranzo ou Leonor avec qui je flirtais, la soustrayant à mon cousin Carlos. Leonor s’était ainsi sauvée du Sida qu’allait lui transmettre Carlos. Son aventure avec moi la sauva du chemin de l’héroïne que prenaient Carlitos et sa sœur Inma. Leonor, chilienne était la sœur de Patricia Gil mariée avec mon cousin Paco Sorni Alos, propriétaire du restaurant Patos. Je la sautais bien vaillamment à l’appartement Balcon del Levante où nous avions fait une fête à base de viandes. Récemment sorti de chez Calberson, mes instincts étaient bien sanguinaires. Cette année là, je chutais à moto avec Javier Sorni mon cousin en passager, juste en quittant le village de Massarrochos vers le « Camino hondo de Borboto ». J’avais laissé la béquille latérale ( gauche ) sortie, qui accrocha au premier virage. J’en garde une assez grande cicatrice circulaire au genou gauche. 

31 - Mon voyage très jeune dans la campagne de Tours, là où j’appris à monter à bicyclette. Chez des voisins, Mr et Mme Bégout ou plutôt leur famille. La maison de campagne était bien misérable, chez des cutéreux. À l’aller et au retour en train, je longeai une voie ferrée qui était construite sur le principe du train sur paliers magnétiques, projet qui ne dura pas. Les pilonnes et la voie surélevée se détachaient sur l’horizon.

32 – Mes 600 km à Albarracin : Par trois fois j’allais de Valencia à Albarracin, un petit village pittoresque fiché dans une montagne : Les Montes Universales près de Teruel. Mon oncle l’avocat Pepe Cristobal Sorni Bailach nous y emmenait avec sa SEAT 1500 blanche biphare. Nous pêchions le crabe de montagne avec un filet ou piège panier en métal. Une des fois, je m’y rendis seul, avec presque la totalité du trajet en stop. Je dormais dans mon hamac en une des îles de la rivière.

33 – 30 x 100 km. Une trentaine de fois je me rendis à Alfara de Algimia, où ma tante Palmira Sorni Bailach sœur de ma mère passait l’été. J’y fréquentais mes quatre cousines ses filles, et leurs gosses mes neveux et nièces. Parfois, j’y allais en voiture avec mes oncles, mais le plus souvent avec un autocar désigné comme « Expreso Segorbina ». Là bas nous allions nous baigner dans les canaux d’irrigation, puis nous montions à « La hermita » au sommet de la colline. Il y avait des arbres donnant des gousses noires de caroube. Le caroubier peut se consommer ainsi cru, mais habituellement il se destine à l’alimentation du bétail. La poudre de caroube se vend à Paris, d’importation, par exemple chez Camomille Place Jeanne d’Arc.

Palmira - Alfara de Algimia 
A Alafara de Algimia – Mon chien et puis Palmira Sorni de dos.

E 107 : Soit un total en 51 ans de : 500 000 kilomètres soit plus de 12 fois le tour du globe. Ma moyenne est de 10 000 km par an sur 50 ans. C’est pharamineux. Une moyenne globale de 27 km par jour depuis ma naissance.  27 km = 3 x 3 x 3 km.

E 108 : A narrer : mon régime au volant. Au début, en Sup et à la rue Eugène Carrière chez Dominique Soinnard, je buvais quelque bière, et même plus d’une. Néanmoins, par la suite, surtout après le stage A F P A, je commençais de me mettre au café. Les longs trajets à moto sur Valencia, seul, se faisaient au café. En Espagne, c’était le « Café Solo ». Je devins abstinent. Les dernières bières de mes habitudes furent bues avec Frédo, quand je l’invitais à dîner au 109 berges. La toute dernière bière de ma vie fut bue au « Bar Aduana », dans l’enceinte du port de Valencia, en 2005. Avec ce régime de sobriété, je n’eus jamais d’accident aucun. Sur 150 000 km, je ne fis qu’une seule et unique glissade toute banale et sans conséquence alors que je roulais coursier pour Liaisons Courses, en une bretelle de périphérique et qu’il pleuvait. Je n’eus jamais de PV Procès Verbal non plus, à part une contredanse pour mauvais stationnement avec le Combi VW ( que mes parents payèrent ) et une contredanse avec la Mobylette près de la pagode du Bouddha pour un feu rouge qui en fait n’a jamais existé en cette limite d’interdiction de pénétrer les bois. ( Route de Saint Louis ). 

E 109 : A narrer : Fréquentation du Centre Culturel Suédois de Paris – 11 Rue de Payenne dans le Marais. Les restaurants scandinaves de Paris. Je m’intéressais aux Vikings, du fait de leur attraction. Le Centre Culturel suédois proposait des dépliants de documentation sur la Suède en réception, desquels je me servis largement. Chacun traitait d’un thème particulier relatif au pays. Je me rendis à des expositions photo et à des conférences telles celle centrée sur « Anta le Lapon ». C’était une distraction culturelle. Sur les Champs Elysées, je fréquentais « Ollson’s » de la Rue Pierre Charon qui déménagea Rue de la Pompe, puis bien – sûr l’inévitable « Flora Danica », restaurant Danois qui vendait à emporter des mets suédois, dont le pain craquant suédois en forme de disque avec un trou au milieu, et le pain plus tendre au cumin. Le fond de la salle servait du renne cuisiné, mais j’évitais, en bon végétarien cet animal des neiges autant que les autres. Je me réservais des salades et du poisson froid. Parfois j’invitais ma mère à dîner chez ces scandinaves.

E 110 prolongeant le E 109 : De là, je commençais de prendre contact sur l’Avenue avec  le Drugstore Publicis ( chaîne qui fit faillite après mon départ ) puis avec Le Piano Bar de cinq étages aux « Cascades Elysées » dans lequel chantait Joy, plus bas sur l’Avenue la plus belle du monde. Le mouvement des lèvres de la chanteuse m’inspira pour dessiner les premiers croquis de lettres grecques puis latinisées. En cette période, je cultivais quelques dizaines de tournesols sur mon balcon du 109 berges. Je rentrais à bicyclette tard dans la nuit. Parfois, le personnel du Piano Bar me crevait mes pneus de vélo. Alors je rentrais à pied, arrivant à l’aube, ou alors je réparais à la pompe Boulevard Raspail.

E 111 : Par hasard, un soir je rencontrais sur les Champs Elysées un camarade de classe Frédéric Driès de la Domrémy, avec qui je devais par la suite beaucoup échanger. En 2012, nous nous écrivons encore régulièrement.


Rep 3 - Images - Area 158

E 112 A : Une de mes études étalée sur plusieurs années fut celle de Beaubourg, ou le  C N A C  Centre National d’Art et de Culture, ou Centre Georges Pompidou. La B P I ou Bibliothèque Publique d’Information était gratuite, surmontée au dernier étage par une cafétéria ( Eliance ). Elle n’était, cette BPI avant les travaux, pas encore informatisée. J’y cherchais toutes sortes de livres, jusqu’à ce que je tombe en diététique sur le Jeûne par Herbert Mac Golfin Shelton vers 1984. Je m’étais cantonné jusque là presque exclusivement sur l’anatomie humaine, puis la physiologie, outre l’encyclopédie R I A L P espagnole publiée par l’Opus Dei, et quelque étude sur le calendrier julien. Je passais des milliers d’heures en salle de lecture. Beaubourg recense quelque 400 000 livres. En une après – midi, je communiquais à un étudiant en biochimie l’existence de Shelton avec son livre du « Courrier du Livre » à l’appui, puis comme par magie, La Théorie Anthropique me tomba dans les mains : subitement le Soleil avait trouvé sa limite existentielle, et la Terre était en danger.

E 112 A se continue en cet E 112 B - Pour aller à Beaubourg, je prenais le bus 27 jusqu’à Saint Michel, et de là j’allais à pied. Je passais à la Tour Saint Jacques, début des pérégrinations du Chemin de Santiago et devant la cathédrale Notre Dame de Paris, majestueusement plantée sur son parvis. Par la suite, je me rendais quelquefois au 21 Rue de Seine, à la librairie « Le courrier du livre » y chercher tous les ouvrages hygiénistes que je trouvais comme non ésotériques. Dr Edward Hooker Dewey, Albert Mosséri libanais, Helmut Lutzner, Dr Berthellot, et Alain Saury suivirent cette merveilleuse découverte du Jeûne. Il ne leur manque qu’une dimension politique ajoutée de quelques intuitions mathématiques, mais on ne peut pas tout demander à des médecins cantonnés à la stricte biologie restrictive. Il leur aurait manqué aussi l’étymologie des chiffres, puis celle des lettres, etc. Non, ils ne pouvaient ni comprendre le monde, ni le refaire. En 2012, je me recense comme possédant dix ouvrages sur le thème exclusif du Jeûne. Neuf sont en français.

E 113 : Il reste comme souvenir d’étudiant la fréquentation du Wimpy, un fast – food situé en 1978 à l’angle de la Rue Soufflot et du Boulevard Saint Michel. Nous allions avec les motos, puis je retournais avec mes notes. Ce Wimpy laissa la place à un Free Time puis enfin au Mac Donald.

E 114 : Reste à narrer : Comment je remplaçais un dimanche et un second jour de travail le faisceau électrique complet de la MZ 125 de Martine Wanstock de Grigny. Electicien – moto me rapporta une petite somme. Martine avait un frère handicapé, et devint maman.

E 115 : Reste à intégrer au texte : Chez MV2 Maxiphone Montrouge, nos noms commerciaux se confondaient. Nous nous appelions tous « Dominique Leroy ». Le questionnaire du panel S N C F commença des milliers de fois ainsi : « Bonjour Madame, ou Monsieur, je suis Dominique Leroy, enquêteur chez MV2. Au cours des trois derniers mois, avez-vous fait au moins un déplacement de plus de 100 kilomètres ? ». Le tout premier jour, comme erreur prémonitoire de cet ordinateur qui devait être installé à la fin, j’essayais dans ma panique de débutant de composer le numéro d’appel de l’abonné sur le pavé numérique de l’ordinateur destiné à recueillir les réponses. Mon code enquêteur devait être  S 18, avec S comme Serrano. Collègues : Anne Majetic – Laetitia Tardivel

E 116 : Comme le titre de ce fichier vient de changer, devenant une biographie, je vais donc me défouler à raconter mes 400 coups ou des épisodes non strictement professionnels mais plutôt privés.

E 117 : Du temps de Raspail, ou même en Terminale C, nous fréquentions le Pub Saint Germain, ou « Parrot’s Tavern » ( la taverne du perroquet ) dans une rue du quartier latin qui donnait sur la Place de l’Odéon. Consulter le plan des rues : Rue XY à déterminer. ( rue de l’ancienne comédie, semble – t – il ). À proximité immédiate se trouve le Procope, soit le plus ancien de tous les restaurants de Paris. Au Pub Saint Germain, nous allions en groupe boire des bières belges comme la Gueuse. Une pinte ou une demie pinte nous remplissaient d’un demi – litre ou d’un litre. J’y appréciais aussi cette bière noire irlandaise à l’aspect café dont le nom ne me revient pas. Ah oui, j’y suis, la Guiness. L’avantage de ce Pub outre ses salons installés en sous – sol, en caves aménagées est de ne jamais fermer. Même aux heures les plus imbues de la nuit ou de l’aube, ils sont ouverts. Ils disposaient de 300 marques de bières. En l’an 2000, je m’y rendais vers 3 h car téléphonant à Dominique Ledoux vers 02 h du matin, celle mi me rétorquait : « Si tu amènes des cigarettes, viens, sinon ne vient pas ». Dominique garda un de mes plus précieux livres que je lui avais prêté : « Les héros de la médecine ». Elle le donna à son père mèdecin et je ne le revis jamais. Éditions je ne sais quoi, rue du Bac dans la bas de la rue de Rennes.

E 118 A : Du temps de Calberson, une nuit, à un festival de musique bretonne au son de la cornemuse, quelque part en banlieue sud, je connus Fabienne Baetens. Ses amis et famille dansaient alors qu’elle reposait seule sur la pelouse. Encouragé par les présences de Michel Lesturgeon et de Hobaya Abasse, j’abordais la jeune femme qui commença par me mentir : « Je ne danse pas parce que je suis handicapée ». Avec obstination j’arrivais à lui tirer son adresse, et le surlendemain je passais la chercher chez ses parents. Les parents Baetens étaient concierges du sous préfet de Corbeil. Ils avaient donc un appartement de fonctions, une grande maison financée par la sous – préfecture. En plus, le père était jardinier. Fabienne vint dîner à la maison, amena un gâteau au citron, et resta dormir cette nuit – là à Viry Chatillon où j’habitais au 30 Avenue Madon. La relation s’établit rapidement.

E 118 B prolonge le E 118 A - Fabienne n’avait pas d’études et ne travaillait pas. Je dus la mener à des agences d’intérim, par lesquelles elle se trouva des postes, entre autres celui de conditionneuse dans une usine de détergents. Le soir, elle avait les mains attaquées par sa poudre – lessive de toute la journée. Fabienne dormait souvent chez moi. Il suffisait que je téléphone et elle accourait à la gare de Viry où j’allais la chercher à moto. Nous partîmes camper souvent à Fontainebleau, et partagions beaucoup. La grotte « le velu » était une de nos destinations. Ensembles nous faisions mes courses au Moulin de Viry, exactement au Super M Monoprix y charger la moto à bloc. Elle se lia d’amitié avec Martine Wanstock connue à un bar du carrefour de la pyramide de Juvisy. Elle venait aussi dormir à mon centre A F P A de Stains, quoique cela était interdit.

E 119 : Puis un jour, alors que nous étions en voyage à moto près de Tours dans une pauvre maison de campagne de sa famille y passer des vacances, nous nous rendîmes compte qu’elle était enceinte. Nous dûmes consulter avec une assistante sociale de la ville proche. J’hésitais un peu sur la décision, mais alors il fallut lui payer l’avortement. Le délai était limite, je crois que de huit semaines sur dix. Cela me fit mal et me coûta un mois de salaire à payer le médecin. L’ I V G ou Interruption Volontaire de Grossesse se fit par aspiration du fœtus. Après coup, je la dédommageais à la brancher sur un stage de formation au secrétariat, ce qui devint son métier, son gagne – pain. Plus tard, Fabienne eut une fille Nouria avec un autre père, dont elle me parla. Elle l’élevait seule. En une des premières périodes, elle se laissait prêter une caravane mise dans un champ par sa sœur, ( Sarah, je crois ) dans un champ de Boussy – Saint – Antoine dans l’Essonne. Nous y passions des fins de semaine à demi nus.

E120 prolongeant le E119 : Peu après l’avortement, j’invitais un camarade de stage AFPA, Christian Vella partager un repas chez les parents de Fabienne. La scène fut horrible, elle m’attrapait par les cheveux et me jetant à terre, elle refusait absolument que je m’en aille. Christian attendait sur sa moto dans la nuit noire.

E 121 prolongeant le E 119 : Depuis, les enfants me répugnent. Ce sont les couilles des autres, le contraire des miennes. Des couilles à peine grandies de quelques mois ou de quelques années. Très souvent le père est alcoolique, et la mère a tendance à la drogue. Des couilles des fils d’ivrognes. La consommation de cadavre alimentaire va toujours bon train, ça va de soi. Les enfants des animaux, du cadavre pustulent.

E 122 prolongeant le E 119 : Fabienne avait des cheveux d’un blond vénitien soit à peine un peu rouquine par-dessus sa blondeur. Elle avait, je crois des taches de rousseur. Elle faisait partie d’une famille nombreuse. Une de ses sœurs Sarah aménageait un bateau de plaisance à voile garé auprès d’une péniche, vers Draveil dans le but de parcourir les océans, à faire le tour du monde. Un de ses frères vendait en « L’hippocampe » ( aquariophilie ou poissons rouges ) à Draveil dans la même banlieue sud. Les chambres à la sous – préfecture étaient à l’étage. Un soir j’y dormis après un repas en famille. Fabienne, à Viry Chatillons me fit un soir une colère : elle voulut me fendre la tête armée d’un   tire – bouchons. Souvent je lui laissais le studio, elle restait dormir et moi je partais faire ma nuit à Rungis. Quelquefois j’offrais de bons morceaux de viande du bâtiment V2M de Rungis à la mère de Fabienne. Il me semble qu’à Viry, nous avions un chat au studio. Je garais ma moto devant la fenêtre, en un minuscule jardin qui me séparait de la rue. Un voisin assez âgé à la retraite depuis longtemps me vendit un détendeur pour mon chauffage au gaz. Puis j’en vins aux mains avec lui pour un motif futile. J’avais acheté ma grande armoire à linge à l’armée du salut, transportée avec la camionnette Acadiane de chez Calberson.

E 123 prolongeant le E 119 : Si j’avais eu cet enfant avec Fabienne, j’aurais eu toutes les peines du monde à l’élever. Je serais devenu un banal père de famille, et je serais peut – être devenu un forcené de la bouteille, comme mon père. Il ou elle aurait en 2011 quelque chose comme 28 ans, et il lui aurait fallu un petit frère ou sœur. Je n’aurais pas repris mes études d’autodidacte, et l’Anthropisme n’aurait jamais vu le jour.

E 124 A : Peu après la mésaventure Fabienne, je renouais avec Patricia Malaguarnera qui vint s’installer à la maison , comme fuyant de sa mère tendant à l’obésité, de Paray – Vieille – Poste. Dès le début, je la prévenais : « C’est momentané ». Nous vivions ensemble jusqu’à ce que la violence du voisin de pallier qui me défonce la tête ne nous sépare. Nous avions fait des fiançailles officielles avec bague et chaînette en or de façon à rassurer nos deux familles. Le repas de fiançailles avait été assez pénible, un soir d’été dans le jardin de Paray. Camille et Emilienne Fauvet AA étaient venus à la fête. Quand nous fîmes la rupture, la famille de Patricia s’obstina à couper très radicalement toute relation.

E 124 B - C’est alors que j’achetais le Combi VW. Entre temps, un des voyages avorta pour deux raisons : d’une part la voiture de Patou ( Patricia Malaguarnera la sicilienne d’origine ) cassa sur l’autoroute à peine arrivés à Fontainebleau, dégageant un nuage d’huile brûlée jusqu’au retour presque impossible, et d’autre part, à peine garés, je fus pris d’une crise aigüe d’appendicite. Jean Pierre, le frère de Patricia organisa mon hospitalisation, en une chambre que Angelo le père vint partager avec moi, car il se faisait opérer d’une hernie causée par le poids des sacs de ciment. Nous avions donc essayé ou projeté d’aller jusque chez moi à Valencia, et nous devions faire une partie du chemin avec Jean Claude Boireau le beau frère de Patricia, de Nice.

E 125 : Le seul concert auquel je sois jamais allé de ma vie, en dehors des concerts du « Rocking Frog », le groupe dans lequel chantait Jean – François Goubely. En math sup, Pascal Lenoir m’avait prêté une cassette de David Bowie : « Ziggy plays guittar. »( Ziggy Stardust ). Quelques années plus tard, je décidais de me rendre à un concert de Bowie. A la Porte d’Auteuil. Les bières et les joints allaient bon train dans l’assistance. Au devant de la scène, la furie agitait les fanes qui se pressaient de plus en plus près du chanteur. Bowie aux yeux bleus était tout habillé de bleu clair. Juste au devant de la scène, la barrière n’était pas assez haute, tant et si bien que les admirateurs se pressant passaient par-dessus, pour être ramassés derrière. A la sortie, mes pneus étaient crevés. ( La MZ 125 cc ). Je réparais dans la nuit noire car la boîte à outils contenait y compris des démonte pneus. Ah si, je m’étais rendu avec maman que j’invitas, à un concert de Luis Llach au Châtelet, bien avant. Le chanteur catalan m’avait dédicacé un disque 33 tours.

E 126 : Mon engramme vers l’âge de six ou huit ans. Nous étions à la maison au 2ème étage du 109 dessous des berges bien avant d’emménager au 3ème. Ce local allait devenir les vestiaires de chez Cablaccès entreprise. C‘était un soir. Mon père devait avoir bu beaucoup, car il brandissait a bout de bras un de ses couteaux de marin, et l’orientant vers ma mère, il lui répétait de se taire. Elle criait et même hurlait, la fenêtre de la chambre grande ouverte, qu’elle allait se suicider. Il n y avait qu’un étage de dénivelé plus bas, mais elle criait qu’elle voulait se jeter par la fenêtre. Lui menaçait de la tuer avec son couteau tendu. Moi, je les regardais, sans rien dire, complètement impuissant. Tous les deux voulaient la mort de ma mère. Lui la tuer, et elle se suicider. Vers cette période, quand il gisait ivre au sol, elle enceinte devait le ramasser avec sa faible corpulence de femme enceinte. Peu de temps après, ma mère fit une fausse couche. Elle accoucha à l’hôpital Cochin d un enfant mort né.

E 127A : Mon aventure à jouer les docteurs dans la cour de récréation de l’école maternelle rue de Domrémy. À cette époque innocente, à l’âge de 5 ou 6 ans, en une après – midi, je me mis à observer de près le sexe d’une de mes camarades. Quelle étrange chose ! Comme c’est curieux.

E 127B : « C’est pour écrire ou pour dessiner ? » que me demande la professeur alors que je lui demandais un crayon ou un stylo. Je ne sus pas lui répondre, mais aujourd’hui je pourrais car écrire revient à dessiner des dessins de bouche ( étymologie des lettres ou Théorie 5 ). Ecrire et dessiner sont la même opération, l’écriture étant un ensemble de croquis codifiés.

E 128 : Mon opération des verrues plantaires lorsqu’on m’accompagna à la clinique Ponscarme. Madame Bégout, une voisine qui avait rapport avec Cablaccès ainsi qu’une blonde jeune femme m’accompagnèrent à la clinique me faire brûler mes verrues sous les voûtes plantaires, car de fait je ne pouvais plus marcher. De cet épisode, je ne me souviens de rien d’autre que du départ.

E 129 : Mon opération chirurgicale de la phimosis à la clinique Ponscarme. Une visite médicale à l’école Patay diagnostiqua que mon prépuce était trop serré dans sa peau périphérique, et que plus tard, cela m’occasionnerait des problèmes. L’opération fut donc décidée et effective. Le chirurgien me coupa la peau et me la cousu à mon pénis. Je ne me souviens de rien que d’une pommade, cicatrisante probablement, que je mettais autour de mon gland : Alphachimotrypsine Sandoz.

E 130 : La coupe que je gagnais au stand de tir à la kermesse de l’école. J’étais en compétition avec Jean – Louis Bertrand. Nous étions les deux meilleurs mais il fallait nous départager. Faisant chacun un dernier carton, je l’emportais et emmenais la coupe « La Domrémy 1975 » que j’ais encore.

E 131 : A la kermesse de fin d’année de l’école Domrémy, une bande de voyous nous suivent Jean Ortel et moi jusqu’au 3ème étage, au grand galop. Après le feu d’artifice, une bande s’en prend à nous, nous menaçant. Une fuite échevelée nous amène jusqu’à mon domicile, au pas de course. Juste quand nous arrivions au 3ème étage, les poursuivants renoncent et rebroussent chemin. Ma mère tardait à ouvrir la porte.

E 132 : Le train électrique. Celui que j’achetais au voisin d’en bas, et celui que je vendais à Jacques Ortel. Mon voisin d’en bas me vendit « son réseau ferré » dont j’étais très content. Une des locomotives me posait un problème de connection, motif pour lequel j’accourais trouver un camarade Martinoïa qui habitait dans ma rue afin qu’il me la soude de son superbe fer à souder. Le camarade en eut assez de me voir revenir encore et encore. Puis, ayant grandi, je décidai de vendre le tout, rail, transfo et matériel roulant au frère de Jean Ortel, soit Jacques.

E 133 A : Mon dépucelage. Le père Barthet était préoccupé au sujet de son fils Paul – Henri encore puceau. Il nous suggéra d’aller voir les putes. Au lieu de cela vint l’occasion de Noël 1977 ( ou alors 1976 ou 1978 ). La soirée commença chez Raymonde Trouin, une collègue SAT de ma mère qui avait invité une jeune amie à elle, Josiane. Nous dansions avec Albert et Jacqueline Buttée aussi de la SAT et Josiane. C’était le soir de Noël. Puis la soirée se prolongea chez Juan Rodriguez, un voisin proche et famille éloignée. Dominique Soinnard des Francs Bourgeois était là. Nous étions tous éméchés. Je courtisais Josiane, ainsi que le faisaient Dominique et Juan ( « El bolico » ) qui avait pourtant trois enfants de son mariage avec Felicidad Da Silva portuguaise. La soirée se termina chez mes parents, dans ma chambre avec Josiane, Dominique et Juan. Dominique, qui avait le blues de Catherine Letavernier partit à pied poster un télégramme en pleine nuit depuis la poste du Louvre ( ouverte jour et nuit ) à destination de Catherine à Marseille. Le texte de son télégramme fut simple : « Je vous aime » ( alors qu’il la  tutoyait ). Juan Rodriguez quitta aussi les lieux, bien ivre. Je restai donc seul dans ma chambre avec Josiane. Alors je me dépucelai.

E 133 A se prolonge en cet E 133 B - Ma compagne avait gardé ses bottes, mais de toute façon j’étais mi – ivre. Ma mère vint frapper à la porte, toute indignée, colérique. Nous dûmes nous rhabiller très rapidement et prendre la fuite. Ma mère nous suivit dans la nuit noire alors que je raccompagnais Josiane qui dormait chez Raymonde à proximité rue de Patay. Ma mère redoublait de cris et d’insultes. C’est ainsi qu’en ce soir de Noël 1976 je perdis mon pucelage. Je n’y pris qu’à peine un peu de plaisir. Je ne revis jamais Josiane, je crois lui avoir téléphoné sans suites le lendemain. La suivante devait être Patricia Malaguarnera ou alors Fabienne Baetens, après Leonor Gil de Ramales Iranzo, puis María José Palmero del Pozo. Je sautais aussi une vendéenne ( Véronique peut – être ) qui était venue rendre visite à Olivier Souffrice rue Eugène Carrière. Ah oui, j’oubliais Corinne Fardet de Limoges amie de Dominique Soinnard, amie qui habitait un studio rue des Pyrénées. Mes relations avec Dominique Ledoux se sont multiplié, mais sans pénétration. Avec Martine Dupont, la relation s’est limitée à quelques attouchements, de même qu’avec Brigitte Lebailly de Flers de l’Orne. Jamais, au grand jamais je ne suis allé voir les putes. Je n’ais jamais payé expressément.

E 134 – Ah oui, j’oubliais : Inma Roig Dalmau parvint à me céder ses faveurs en date du 6 février 2011. Voir « Journal 19 » pages 40 et 41. Je ne payais pas expressément cette femme ayant été putain professionnelle, mais je lui avais offert le café deux fois la semaine pendant plus d’un an avec condescendance. Avec mon argent de chez Espace Tutelles gérant les comptes de ma mère, soit mes 10 € ou 20 € par semaine, j’étais comparativement à Inma, richissime. 

E 135 – Ma préhistoire politique remonte à l’époque Décorève. Je parlais à Barthet le père, de l’autogestion ou socialisme autogestionnaire qu’il voyait comme une chose impossible. Mon père avait fait la guerre d’ Espagne du côté Républicain. Mon cousin Paco Sorni Alos ayant trouvé un refuge politique chez moi fuyant du régime franquiste finit de me faire pencher à gauche. Je me rendais une fois ou deux à la fête de l’huma organisée par le parti communiste à la Courneuve. Néanmoins je gardais des traditions profondément chrétiennes du fait de mes deux écoles privées fréquentées tenues par des frères de l’ordre de Saint Jean Baptiste de la Salle.

E 136 – Mes premières réflexions politiques sérieuses débutèrent vers 1989 – 90 quand parcourant le Mémo Larousse 1991, j’y découvrais l’organigramme des Nations Unies. Une question me vint à l’esprit : « Fast in politics ? ». Comment se comporterait le jeûne en politique ?. A ce jour, 20 ans après, l’organigramme est encore en transcription. O1 – O2 – O3. Ma préhistoire politique résidait en un livre : « L’autogestion » modèle socialiste de Daniel Chauvey. I S B N nº introuvable – Éditions du seuil – 27 rue Jacob – Paris – Imp. Bussière, Saint Amand ( Cher ) – D. L. 4ème trim. 1970. Nº 2673.2    ( 1661 ).

E 137 – Alors que je viens de composer la Powerpoint Mondio nº 26 bien avancée, je me souviens comme, étant jeune, je faisais une petite collection de billets de banque. Je mettais le Cinq francs avec la photo de Louis Pasteur en un cadre rouge. 1970. Je gardais aussi un Dix francs de Voltaire. Vers l’époque du Drugstore Publicis, soit vers 1992, je collectionnais aussi nombre de billets de banque, avant l’ Euro. Un agent de change hollandais à Saint Michel m’avait vendu les pièces numismatiques. Un autre agent de change sur les Champs Elysées.

E 138 – Je fais cet hiver 2011 un autre stage au C S I F, orienté par Patricia Perez Jimeno qui me téléphone un matin de la - bas. Le stage dure depuis le 15 septembre jusques au 15 novembre. J’y révise les habituels Word Excel Access, mais surtout j’y apprends à faire une présentation Powerpoint et à créer un Blog soit une page Web sur le net. Professeur : Javier Santamans Caballero. La liste des noms de mes camarades de stage figure en le « journal 29 ( ou 28 ) bibliothèque » page XY. Ma première page Web s’intitule « elmundio.blogspot.com ». Elle se compose de trois onglets.

E 139 – Étant jeune sur Paris, je réalisais des tas de bricolages électriques et électroniques. Je ramassais des postes à lampes dans la rue, que je réparais. Je montais un réveil électrique à frotteurs métalliques qui déclenchait mon électrophone préparé au son ou volume à fond.

E 140 – Comme péché gentil, je volais des lanternes de chantier dans la rue afin de récupérer le matériel. La lanterne était munie d’une cellule photoélectrique sur son circuit imprimé. Cette captation de lumière éteignait la lampe durant le jour et la rallumait sitôt la nuit tombée. Lampes de chantier. Cet effet photoélectrique fut découvert par Albert Einstein en 1905, ce qui lui valut le Prix Nobel. Ces lampes de chantier clignotaient.

E 141 – La plus grande de toutes mes haines s’oriente contre la psychiatrie et par extension contre la médecine. La psychiatrie m’a usé, enlaidi et fatigué. Chaque fois, elle paralysait mes études.

Mon tout premier contact avec la psychiatrie était un grand coup de poignard dans le dos que m’adressait ma mère. Lors du décès de mon père, la question se posa de l’héritage. Jeune et naïf, je ne pensais pas à cet argent. Mais ma mère, obsédée par le fric s’arrangea en quelques mois pour tout conserver à son nom. Elle procéda ainsi : de 1 à 19 + 20 A + 20 B + 20 C qui suivent

1 + Au décès, en 1986, elle était en vacances à Zaragoza. Je l’appelais et lui demandais de rentrer sur Paris. J’allais la chercher à l’aéroport, où elle me tourna grandement le dos alors que j’étendais les bras grands ouverts pour l’accueillir à la descente de l’avion.

2 + Arrivée à la maison, chez moi, elle sortit de son sac un hideux bocal en verre, emballage de cerises à l’eau de vie emplie de porcheries grasses et bien cuites où la graisse de porc avait figé en blanc. Elle annonçait la couleur : « Médecine de sanguinaire ». Ecœuré, je ne goûtais pas cette porcherie.

3 + Elle me décide à faire les funérailles par avion en cercueil soudé au zinc à destination de Valencia. Elle annonçait encore : « Ma famille ». Les funérailles auraient très bien pu se faire à Paris. Le coût du transport du corps à Valencia fut énorme : 23 000 francs français en 1896.

4 + Arrivés à Valencia ( nous faisons elle et moi le trajet en train ) il faut réceptionner le corps à Manises, soit à l’aéroport. Toute sa famille est là, y compris son frère mon oncle le médecin qui avait acheté mon passeport volé chez moi six mois auparavant par son fils Carlitos Sorni Alos héroïnomane qui décèdera du Sida. Carlos avait volé mon passeport chez moi un soir et l’avait vendu à son père le médecin pour s’offrir deux doses d’héroïne. Prix de mon passeport : 5 000 pesetas. À Manises, Paco Sorni Alos le deuxième fils du médecin et Javier Querol Sancho son ami avocat me distraient à me faire une prenante conversation. Quand je me rends compte, le médecin avait pris la veuve par le bras, et en hauteur, à la vue de tous il assumait la situation et le veuvage. Quand à moi, je disparaissais avec son fils et Javier Querol.

5 + Noël arrive, que nous passons chez la sœur Palmira Sorni Bailach de ma mère. Village de Alfara de Algimia. La maison est reconstruite neuve et ne m’est pas du tout familière. Grande réunion de famille. Tous sont là, y compris les maris de mes cousines filles de Palmira. Tous boivent de l’alcool. Je traine avec mon livre d’anatomie humaine qui ne me quitte pas d’un centimètre. Atlas d’anatomie humaine – Flammarion – Tome 3 – le système nerveux.

6 + Ma mère s’entend avec le neuropsychiatre qui traitait son frère le médecin. À mon insu, elle achète en pharmacie un flacon d’ Haldopéridol prescrit par le professeur Federico Pallardo Salcedo. Elle me verse tout le flacon dans ma soupe. Le poignard chimique.

7 + Sans rien comprendre, je suis pris de mystérieuses crampes. Je n’arrive plus à respirer. Mes bras se tordent ainsi que mes jambes et mon cou. Des convulsions me parcourent. Je suis tellement mal, distordu et tordu qu’un médicament en pharmacie n’y fait rien.

8 + Alors je suis mené chez mon oncle Paco Sorni Bailach le médecin, puis en consultation chez ce neuropsychiatre. À me voir, Pr Federico Pallardo est pris de panique. Il me fait des radios ou des rayons X. En son cabinet, il fourre sa pipe dans sa bouche, l’allume et attaque : « Que te pasa, Pedro ? ». Lui-même avait prescrit le poison qui me paralysait.

9 + Par la suite, je suis interné à la clinique de San Onofre à Cuart de Poblet. La clinique pour hommes est séparée de celle des femmes. On m’anesthésie de temps à autre et on me mène en lit à roulettes en une porte qui est toujours fermée. Je perds connaissance. J’ais une perfusion dans le bras. Par la suite, la doctoresse Danièle L’espagnol 10 ans plus tard me dévoile le traitement qu’on me faisait. Derrière cette mystérieuse porte, on me faisait des électrochocs.

10 + Cette clinique ressemblait, avec ses murs noirs, à une prison turque du type de Midnight Express. On me douchait … les souvenirs sont flous car les électrochocs effacent la mémoire. Je ne me souviens donc plus très bien. Ils distribuaient des pilules dans le réfectoire … La doctoresse aux yeux bleus Guadalupe Soler D’Hiver venait me visiter.

11 + Sortant de la clinique, je me vois obligé à signer un document comme quoi je renonçais à tous mes droits sur l’héritage paternel. Ma mère venait de gagner.

12 + Par la suite, j’étais devenu un patient. Rentré sur Paris, ma mère m’emmène consulter avec le Dr Richard Uhl médecin chef et l’infirmière Mme Chabeuf au centre de Santé Mentale Philippe Paumelle. Cette consultation est sans suite aucune, dans l’immédiat.

13 + En un des scandales de rage que me fait ma mère chez moi, celle-ci hurle et hurle. Elle se couche sur mon paillasson devant ma porte. Un psychiatre Dr François Costi de la rue Clisson vient la ramasser au sol, et me laisse un mot sous la porte. Par la suite, il s’attaque à moi au lieu de traiter ma mère qui était complètement folle et hystérique. Première consultation : « La police … attention ».

14 + Premier contact, puis deuxième … le calvaire de leur cruauté nazie venait de commencer. 

15 + Premières conséquences : Paco Sorni Bailach le médecin trop sordide est atteint d’un cancer. Il en meurt. Quand à Federico Pallardo, il paye d’un infarctus qui presque l’emporte. En 2011, il doit être tellement mort que je ne peux même pas me venger. Il avait enfermé aussi mon cousin Javier Sorni Domenech, et traitait Marga l’épouse de mon cousin direct Juan Francisco Marti Sorni. La médecine par le biais de l’ O M S me payera des dommages et intérêts au nom de leur cruauté dégradante et inhumaine. En 2011, les électrochocs sont interdits. À cette époque de 1987, ils étaient déjà interdits en France. Nom dans leur jargon : « sismothérapie ». La sécurité sociale de la République Française remboursa ensuite ces frais d’internement qui s’élevaient à 300 000 pesetas. Pallardo avait un yacht. Il faisait des bèse – main à ma mère comme à une comtesse.

16 + Dernièrement, à la résidence, ils m’ont fait marcher 1500 jours à 5 km par jour soit un total de  7 500 kilomètres. J’en ais des séquelles irréversibles dans les jambes. Ils continuent de me castrer chimiquement tous les 14 jours par injection. Me coupent les couilles. Disgracié, et castré. Avec la photo de Hitler en plein milieu de l’infirmerie.

17 + À Paris se joignaient un psychiatre Italien, un allemand et une japonaise. Allemagne – Italie – Japon. L’ Axe de 1942 dans toute sa splendeur. Le docteur Danièle L’Espagnol avait son père boucher en une vente de viande de cheval dans l’ Essonne. Il parait qu’elle passait beaucoup de nuits bien folles. Fille de boucher sanguinaire. Quand je lui ais dit que j’étais végétarien, ils m’ont attrapé en force quatre grands gaillards et m’on injecté. Je croyais que le grand nègre allait m’enculer pour de vrai. Hitler avait aussi obligé les associations végétariennes à fermer.

18 + Vision d’ensemble : la psychiatrie commence par un grand coup de poignard dans le dos. Le médecin te fout en l’air et après il fait semblant de te soigner. Avec le cadavre alimentaire, ils font pareil : à coups de bestialité cadavérique, ils provoquent la folie et la maladie. Ensuite ils font semblant de soigner les gens qu’ ils ont eux – même rendu malades et fous.

19 + La psychiatrie qui provoque la folie ne m’a jamais « payé ». Leur folie admise par tous fait qu’il est impossible de travailler à cause de la jungle qu’ils mettent. Donc en quelque sorte toute cette bestialité ( par le cadavre et par le poison ) source de folie m’a empêché de travailler normalement. La médecine s’oppose toujours au travail. Quand à la science, elle est pour eux à détruire en priorité.

20 A – Ils raisonnent avec l’estomac et la cervelle pleines de cadavre animal et donc bestial. Leur démarche est simple : « Au départ la mort pour commencer ». Ensuite ils discutent en vain : la souffrance, la cruauté, la maladie, le traitement, etc, par-dessus la mort initiale comme base. De plus, pour ces animaux, le travail n’existe pas. Que seulement des problèmes de mort en tous genres … et même quand ils parlent d’argent, c’est pour acheter encore plus de cadavre et crever davantage.

20 B - Vérification : sur l’emballage du médicament injecté, les laboratoires Jansen Cilag, est dessiné un renne avec les cornes. Un animal qui vit en Laponie, dans la neige. Une bête.                                                                       Labo hollandais.

20 C – Traduction de 20 C  : « Je te mets les animaux dans le trou du cul ». Afin que tu sois encore plus stupide et ainsi que le psy ait du travail. Ils créent la maladie et la folie dont ils « vivent ».

E – 142 – La médecine partage sa culpabilité criminelle de sanguinaires. Par exemple « La Sierra » des montagnes, faute de pouvoir cultiver, élève des cochons. De la porcherie abjecte. Le célèbre et connu « jambon Serrano » s’exporte jusqu’à Paris ( le boucher de la rue Jeanne d’Arc le détaille ). Il n’y a rien de plus sale qu’un morceau de cadavre en plein milieu de l’assiette. La conséquence de ceci est bien plus grave car toute dégénérescence par le règne animal provoque de la colère par le règne végétal qui se rebiffe. Une des manifestations de la colère végétale est, par exemple la coke originaire des altitudes des Andes. Cette cocaïne s’est répandu.

Explication : qui tue en consommant de la chair animale porte en lui la mort, mort qu’il perpètre en lui – même d’une façon ou d’une autre. La drogue est une bonne façon « de se finir peu à peu ». Le concret de la psychiatrie ne consiste qu’à administrer ces drogues. Ils ne font rien d’autre. 

Les richesses « normales » de la montagne ne sont que minérales, soit l’eau minérale et les  minéraux d’altitude ( le Cuivre, l’Argent, l’Or ).

Nota : Cet E – 142 n’a rien à faire en cette biographie, mais prolonge une culpabilité. Celle des Serranos prolonge les médecins criminels.

E – 143 – Le mal et son remède. ( remède en E 144 )

De la même manière que la solution d’un problème de mathématiques se trouve sous – entendu dans son énoncé, le remède contre la médecine est d’ordre médical. Le Docteur Carton, puis Herbert Mac Golphin Shelton, médecins hygiénistes rectifient ces tirs criminels. En partie, du moins.

Pour les Serranos, c’est Pedro Serrano Sorni qui a l’intention d’apaiser ces mœurs. Le remède est dans le mal.

E – 144 – Extrait du « Journal 30 » pages 41 et 42 :

Georges Louis Leclerc Comte de Buffon, ( végétarien comme Einstein ) trop génial dans son domaine, ne parvenait pas à se faire écraser la cervelle par des erreurs. Illuminé par ses écritures, il restait une semaine sans fermer l’œil. 

Substitution à la ψ psychiatrie : L’épistémologue serait le spécialiste qui, en consultation individuelle indiquerait à chacun quel serait son domaine d’étude. Il a été vu que chacun étudie son propre métier une heure par jour. En principe tous ou presque pourraient fixer eux – mêmes leur domaine d’étude. Pourtant, pour les plus ignorants, intervient cet épistémologue qui les guide.

+ Il se pratiquera des tests ( semblables aux tests psychotechniques ) établis pour chaque matière et pour chaque métier.

+ L’épistémologue pourra faire des observations en atelier ou sur le terrain professionnel de son client ou patient.

+ Des concertations avec les collègues du client et avec son supérieur hiérarchique termineront de compléter son emploi du temps.

+ Ces 60 minutes d’étude peuvent se répartir en deux ou en trois matières :        30’ + 30’  =  20’ + 20’ + 20’.


Exemples de consultations avec épistémologue : ABCD - E


A – Je veux changer de métier et devenir X.

B – Je prépare un doctorat Y en cours du soir

C – Mon supérieur hiérarchique se plaint, proteste, mais je ne comprends pas bien mes lacunes … mes insuffisances …

D – J’ais une mission en intérimaire en tant que Z dans un mois.

E – Je prépare un déménagement en Asie. Quelles sont les équivalences de mes diplômes ? Quelle mise à niveau ? Quelles adaptations ?

E 145 en prolongation de E 141 et E 142 – Le médecin se comporte comme un vampire qui vit de massacrer ses patients ( « Avalez du cadavre, tuez, et rendez vous bien malade – Je serai toujours là » ( avec mes factures bien sûr )). Plus qu’un vampire, à faire glisser son patient vers le bestialité animale et donc la jungle, il le transforme en combattant, en « mercenaire » ou en tueur à son service. Par exemple le toubib de la résidence Jose Vicente mettait des avions de chasse et des porte avions comme fond d’écran sur son PC de l’infirmerie. La guerre à l’état pur. Il ne parlait que de guerres, nous étions ses soldats qui faisions soit « la première guerre mondiale » ( à 13 h en passant au réfectoire ) soit qu’il me conseilla en blaguant qu’à être libéré, je pouvais devenir « gladiateur ». À son initiative, et donc à son service. C’est pourquoi les médecins vivent plus longtemps que le commun des combattants.

À vrai dire, ils se livrent entre eux, par combattants interposés une jungle encore plus impitoyable. Le serpent ne connait ni les excuses ni la paix jamais. Ils s’entretuent par patients interposés. Soit les patients les plus valeureux ou les plus courageux qui font du zèle avec la drogue après le cadavre … ainsi ils « vivent leur guerre continuelle » avec le sang de leurs victimes zélées ou non. Combattants : des tueurs à gage … pour les hommes. Quand aux femmes …

[ Dans cette optique du carnage de soumission à la loi ( mensonge ) médicale, les végétariens sont considérés comme hostiles. En effet, ils refusent de tuer et refusent de se soumettre à de telles erreurs, à une telle comédie sanguinaire. ]

La position du médecin actuel est sans issue vraiment. Comme image, de devenir végétarien supposerait de couper avec une scie la branche sur laquelle il est assis. Il se ferait très mal en arrivant au sol. À moins qu’il prenne la peine d’étudier 35 000 heures et de parvenir aux vérités des 9 théories. Entre temps, à peine arrivé à 1 000 heures, il se ferait dévorer par les autres serpents.

E 146 – La sélection et concurrence déloyale. Le darwinisme nous apprend que la loi principale ou terminale de la jungle est la sélection « naturelle” entre espèces. Les plus inaptes ou inadaptées disparaissent au profit des plus évoluées.

En cette lutte sans pitié, l’espèce humaine doit éliminer toutes les autres. C’est l’éternelle loi de la jungle et de la théorie de l’évolution.

Seulement pour éliminer ces espèces, l’homme pratique actuellement la concurrence déloyale : il tue avec sa fourchette et son couteau. Pour cela il paye l’abattoir et aussi reproduit les volailles et les porcins à tuer, ce qui est stupide. Il combat avec sa fourchette et son porte monnaie au lieu de sa cervelle.

Toutes les espèces animales se doivent juger comme parasites car elles consomment notre oxygène et nos végétaux. Chaque fois qu’une espèce s’éteint, par extinction, c’est un point de plus pour notre espèce.

[ Sous réserve, les papillons pollinisateurs et les abeilles indispensables aux plantes à fleurs sont conservés ainsi que les mammifères qui donnent du lait Tolérances aussi pour les poissons d’élevage. Les moules et les huitres immobiles se peuvent considérer comme des végétaux statiques ]

Charles Darwin était végétarien. Il se maria avec sa cousine fortunée afin de couvrir les frais d’imprimerie et pouvoir ainsi écrire et divulguer sa théorie.

« Les plus grands génies » de l’humanité étaient tous végétariens : Albert Einstein, Socrates, Platon, Aristote, Bouddha, Buffon, Montesquieu, Voltaire, JJ Rousseau, Newton, Darwin, Rambo, Madonna, Sharon Stone, les quatre Beatles, Bill Clinton, etc. Voir liste de végétariens célèbres. Non pas qu’ils fussent vraiment des génies, mais COMPARATIVEMENT : « Dans le royaume des aveugles, les borgnes sont rois ».

E 147 – Extrait du « Journal 31 » page 7   du  jeudi 29 décembre 2011 :          21 h 00 – Ayant remarqué cette Anne Igartiburu en rouge vif en une nécessaire de mes pauses, je passe au JT de 15 h. Blanco est en jolie veste bleu jade ou bleu topaze très réussie avec un superbe chemisier blanc. Sitôt fini le JT ( je l’écoute avec politesse ) je ne me souviens de rien au contenu, si ce n’est vaguement des avions de chasse turcs en Iraq, le tremblement de terre de Lorca, et une scène d’enfants avec des jouets. Rien ne reste ou presque. Deux livres sur le Jeûne ( Hygiénisme ) sortent de leur caisse en chambre remise et prennent leur place dans la bibliothèque. Littérature hygiéniste par des médecins hygiénistes. Endormi de 17 h à 20 h 30, troublant ainsi mon rythme de sommeil.

A – Le Jeûne par le Dr Herbert Mac Golfin Shelton de San Antonio au Texas.
Éditions de la nouvelle hygiène – Librairie Le courrier du Livre – 21 rue de Seine – Paris 6ème – I S B N nº 2 – 7029 – 0016 – X –  360 pages – Traduit de l’américain – Technique médicale de physiologie – Herbert fut proposé à la présidence des USA par le parti des végétariens. Hélas, une chute à cheval le blessa à la mâchoire et lui posa de sérieuses difficultés de mastication. ( sur Internet Wikipedia ). Décédé en 1986, il ne put répondre à un de mes courriers que par son secrétariat. Homme de terrain, Shelton a dirigé 10 000 jeûnes dans sa vie de médecin.

B – Retour à la Santé par le Jeûne – Édouard Bertholet – Pierre Génillard éditeur – Éditions de la rose croix – Lausanne – Suisse. Bien plus intellectif que le trop techniquement détaillé Shelton en A. Beaucoup plus culturel et général. 280 pages -  I S B N introuvable, mais disponible sur Internet en français en format pdf aux éditions Aryana. Gratuit sur le net. En les premières pages, des considérations sur la physiologie comparée poussent l’espérance de vie humaine à un courant et banal « 120 années pour tous ».

C – Herbert M. Shelton – Les combinaisons alimentaires et votre santé – Pour bien digérer – Les menus dissociés à la portée de tous – Collection « Le Système Hygiéniste » - Courrier du Livre – Paris – I S B N nº 2 – 7029 – 0055 – 0 – 126 pages – Indique des morales et des conseils hygiénistes en « comprimés hygiénistes » littéraires de chacun un court paragraphe.

D – Sylvie Truffaut – De la diète au jeûne – Les encyclopédies du mieux – être. Éditions Retz – 114 Champs Élysées – 75008 – Paris – I S B N nº 2-7256-0430-3 – La bibliothèque du CEPL – 192 pages

E – Docteur Edward Hooker Dewey – Le jeûne qui guérit – Précédé de la méthode des deux repas – Le courrier du livre – 21 rue de Seine – Méthodes et techniques de la vie saine – I S B N nº 2 – 7029 – 0026 – 7 . Dewey doit son intérêt à l’hygiénisme à un traumatisme d’enfance car en effet, enfant, il devait verser dans le caniveau une bassine de sang de sa mère qui était passée à la saignée ( sangría ). Cette saignée vide, soulage en quelques minutes comme un jeûne de plusieurs jours. 208 pages

F –  Docteur Helmut Lützner – Munich – Comment revivre par le Jeûne    Maigrir Éliminer Se désintoxiquer – Le guide autonome du Jeûne – Editions Terre Vivante – 6 rue Saulnier 75009 Paris – I S B N nº 2 – 904 082 – 05 – 0
94 pages

G – Albert Mosséri ( libanais ) – Jeûner pour revivre – Le courrier du livre – 21 rue de Seine – Techniques de l’hygiénisme – 316 pages – Mosséri non médecin correspondait avec Dr Shelton de qui il tire une part de ses informations. I S B N nº 2 – 7029 – 0095 – X

H – Alain Saury – Régénération par le Jeûne – Éditions Dangles – Collection « Psycho – Soma » - 18 rue Lavoisier – 45800 – Saint Jean de Braye – 190 pages - Préface par le docteur Jacques M. Kalmar – I S B N nº 2 – 7033 – 0193 – 6 – L’évangile diététique selon Jésus Christ végétarien en pages 33 et 34 est impossible à retrouver dans la bible. Alain Saury, brésilien, initialement acteur était d’une grande beauté ( Voir sur Internet ). Frappé par la maladie, il eut recours au Jeûne et se sauva. Son pêché d’acteur artiste : « L’amour » qui se considère normalement raisonnablement en Francs, en Euros et en Dollars. De ce livre sort le logotype de l’ Anthropiste, la silhouette debout. On ne sait pas si cette silhouette est homme ou femme.

J – Autre livre : la Sainte Bible traite des Jeûnes de Jésus.

Plus la diète est sale et dégénérée, plus le recours au Jeûne devient nécessaire. De même,

plus le diable est sollicité, alors davantage Dieu devient nécessaire.

La morale n’est qu’une réaction.

E 148 – La psychiatrie était très subjective. Comme exemple, une consultation avec le Dr Richard Uhl médecin chef autrefois de Centre de Santé Mentale : + +

+ Je lui montrais une publication de l’ O M S « Santé du monde » que je tenais en mains propres. Il me jette : « C’est de la merde »

+ À prendre lui – même ce livre en mains, il la considère alors « très intéressante ». Vers1995.

Uhl est une ville en Forêt Noire, dans le Wurtemberg en Allemagne. Ce médecin prit la fuite de CSM Centre de Santé Mentale avec la doctoresse Danièle L’Espagnol pour monter un cabinet privé. Le médecin directeur de l’ ASM 13 ( Association de Santé Mentale ) avait publié au moins un ouvrage sur le travail des handicapés. Dr Bonnet.

E 149 - La doctoresse Danièle L’Espagnol se vit gratifiée d’un cadeau que je lui fis en janvier 1998 en rentrant de mes vacances avec Frédo Driès et Valéry son amie. Je lui offris une boîte d’olives espagnoles farcies aux anchois de marque « La Española ». L’infirmière Mme Chabeuf qui me piquait eut aussi la même boîte. Aussitôt, elle me supprima ma piqure d’ haldol qui fut remplacée par un comprimé Zyprexa matinal quotidien que j’oubliais de prendre.

Le docteur Bonnet était très compréhensif. Il me rappela que je ne voulais pas quitter le pavillon « Sept Fermé », pour y couler des jours heureux avec Juliette Bagouet, aussi internée, avec qui je voulais me marier. Juju était végétalienne. Il était permis de fumer car les infirmiers nous distribuaient une cigarette par heure écoulée. Dans ce « 7 fermé » il était impossible de sortir à l’extérieur. Il était sans accès au jardin. Ma mère me rendait visite une fois par semaine. Il y avait une camionnette navette gratuite qui assurait la liaison sur Paris 13éme Albert Bayet Centre Philippe Paumelle. 

Un des pavillons bâtiments se nommait « Anna O » du nom d’une patiente fort belle, parait – il, de Sigmund Freud.

La doctoresse Danièle L’Espagnol avait la phobie des ascenseurs. Elle montait donc à sa consultation à pied. Elle devait aussi descendre à pied.

E 150 – Un soir, vers 1998, j’appelais TF1. Je voulais parler à Claire Chazal présentatrice des journaux télévisés . Ils me dirent qu’elle était au démaquillage. J’appelais aussi Chirac à l’Élysée. Ils se moquèrent : « Appelez chez Danone ». Je téléphonais aussi à Bernard Kouchner au Ministère de la Santé. J’appelais aussi à Genève O M S y cherchant en vain un quelconque médecin végétarien. Dans tout Paris, il n’y en avait aucun non plus. Je finis par appeler chez Danone, au sujet d’une de leurs bouteilles Evian, ( la bouteille en forme de goutte ) que je voulais munir d’un brevet : un tuyau à aspirer devait prolonger le haut de la goutte.

E 151 – Le vaccin partiel, sous forme d’un schéma de raisonnement. Une des diapositives de la Powerpoint Mondio résume : « La médecine te défonce d’abord et te colle ensuite un sparadrap sur la bouche en guise de silence et de complicité ». Illustrations ABC – D à S :

A – Le généraliste conseille, via le nutritionniste, un régime de cadavre animal supposément accompagné d’alcool, auxquels viennent s’ajouter au moins la cigarette. Avec ces trois composants, les maladies sont déclenchées, et le généraliste n’a plus qu’à passer ses factures.

B – Mon dentiste à Paris, le docteur Bernard Sala lors d’une opération me donne un sucre avec quelques gouttes d’alcool de menthe pour me remettre d’un étourdissement. Dans son cabinet, il n’y a aucun autre aliment que le sucre et l’alcool qui fusillent les dents. Il ne lui manquait plus que le chocolat. Ensuite, avec ce bon spectre rassurant pour lui des caries futures, il passe de conséquentes factures. Il pratiquait l’équitation, et soignait au grand galop.

C – Le psychiatre de la résidence San Lorenzo, Paco Bellver arrivait avec son blouson de cuir et sa barbe cradingue sale. Il montrait l’exemple : « Habillez vous de peaux de bêtes, soyez bestials et sales ». Ainsi, la folie crée, il passait ensuite facture à l’État.

D – Lorsque la doctoresse Danièle L’Espagnol fille d’un boucher chevalin sut au premier contact que j’étais végétarien, elle fit signe à quatre grands types de m’injecter immédiatement et de force un médicament sur le flacon lequel il y avait un renne dessiné. Je restais ensuite torturé de crampes au réveil. Pour finir mon séjour à Soisy « l’eau vive », je faillis tomber de la camionnette navette qui me libérait enfin au bout de trois mois perdus. Je titubais dans la rue, ayant du mal à retrouver mon domicile. « Un végétarien bien massacré. Suivant »

E – L’ O M S Genève a sur son logotype et drapeau un serpent : « Jungle » … vénéneux poison … tuer ou mourir … par extension guerres et confits.

FGH , etc pour chacune des spécialités médicales.

J – L’asiatique infirmier avec ses chats. À Soisy, un des infirmiers était particulièrement inhumain. Il passait de longs moments en cuisine à récupérer des morceaux de cadavre animal des restes destinés aux chats de l’hôpital. De la médecine animale, féline.

K – Le Dr Ktorza dermatologue avec sa rue. Rue du Sergent Bobillot, en supposée guerre, j’allais me faire traiter une verrue au pied. Sortant du centre de Santé, la guerre recommençait.

L – « La Seine ». À Soisy, on m’autorise à sortir en promenade. J’ais envie de longer les quais de la rivière comme à Paris. Je demande à l’infirmier Ifrah : « C’est loin, la Seine ? ». Il me rétorque aussitôt : « Vous en êtes là ? » ( Vous foutre à l’eau, suicide ? )

M – La psychologue Maribel Train. Cette psychologue assistant le professeur d’imprimerie nous mettait un stress terrible, des maux de tête avec tous ses moyens. Quand nous en étions à moitié malades, elle procédait alors à débuter la séance de relaxation. Même schéma que les médecins dont ils et elles ne sont qu’un annexe.

N – La psychologue Thérèse du C R I S a installé son chat sur le fond d’écran. L’animal au départ pour commencer. Et à chaque consultation, elle me laisse trainer au moins un on quart d’heure de rue hostile ou de couloirs incertains. Le stress me prend inévitablement, et seulement ensuite elle m’assiste dans le stress qu’elle-même a provoqué.

O – Mme Chabeuf ( infirmière ), nom qui faisait rire ma mère. « Un chat + un bœuf » m’administrait mon médicament.

P – Le fantassin chevalier en peinture avec sa lance dans l’infirmerie. Mme Chabeuf avait installé un tableau en infirmerie, au dessus de la table où je m’appuyais, ayant baissé mon pantalon. J’avais la tête en plein dessus cette lance … qui me rentrait dans les fesses réellement. Je protestais auprès du Dr L’Espagnol qui accepta de retirer cette scène de guerre de l’infirmerie.

Q – Les animaux dans la salle d’attente du Dr Costi. Des hippopotames, des girafes, des fauves et une grande malle du service météorologique des armées donnait le ton « jungle et guerre » de cette salle d’attente qui provoquait malaises et maladie mentale. Il venait ensuite chercher son patient : « Alors, on est fou ? ». Et il passait facture après quelque baratin pour les gens dupes.

R – La psychologue mademoiselle Lidon Mars Aicart passionnée par la musique Heavy, ceux qui « cassent la machine » tellement ils sont fous de rage. Après tout, c’est son problème à elle.

S – Dans le film « Le pont de la rivière Kwai », le médecin militaire de la compagnie a le dernier mot après les explosions :« Folie ! – Folie ! – Folie ! ».

En résumé ou conclusion, chaque fois la médecine crée la maladie et la folie. Quand aux soins, ils ne sont ensuite qu’illusoires.

Les intérêts priment en d’autres professions : les exemples 1 à 7 suivent :

1 - Les JT aussi montrent nombre de reportages en pleine voie publique, dans la frénésie de la rue et des véhicules, ce qui n’arrange rien à la vue de la situation commentée comme davantage grave et anxieuse. 

2 - Certaines compagnies d’assurances mettent l’accent sur les risques en leur couverture de catalogues. Ils semblent favoriser les audaces qui mènent aux accidents.

3 - La montagne Sierra commercialise des jambons, ce qui présuppose une réaction par le jeûne, qui donne davantage de valeur à leur eau minérale.

4 - Les commerçants en automobiles sont bien contents de voir les voitures décorées de peluches et d’animaux. Tous ces animaux ne connaissent que le mouvement. Ça roule ainsi davantage pour eux.

5 - Mon plombier au noir de Paris avait pratiqué un jeûne de 40 jours. Il était donc resté 40 jours + 40 nuits à ne boire que l’eau de … son propre robinet.

6 - Toute religion commence par Satan, en une forme ou une autre. Ils perpètrent.

7 - Les succursales des banques offrent des services de pièces de cuisine ( poêles et casseroles ) et de verres à pinard. Le client ayant consommé toutes ces factures animales de bestialité, alors l’argent a encore davantage d’importance et de primauté comme valeur refuge primordiale. Le banquier d’abord satanique avec ces feux de l’enfer devient ensuite leur dieu.

E 152 -  Trois arguments contre la crasse médicale : ABC exemples de culpabilités médicales qui créent la maladie :

A – En 1968, je saute les marches du perron de la cour et je m’enfonce un clou rouillé dans le talon. Le besoin urgent se situe alors en un vaccin antitétanique que les médecins ont provoqué ainsi : les ouvriers de chez Cablaccès ingéraient leur cadavre crasseux bestial, et buvaient un petit coup de folie de temps à autre. En conséquence, leur comportement devenait celui de dangers ambulants. Ils n’avaient, les pensées occupées par l’animal et par « boire un coup » plus aucune notion de sécurité autre que l’instinct. Ils étaient devenus des dangers contre eux-mêmes et contre les riverains. Ce danger se manifeste par des clous rouillés jetés dans la cour, cause de mon infection. Résumé : les médecins ont causé cette infection, indirectement, et ensuite ils m’ont vendu un vaccin contre le mal par eux provoqué.

B – Si Fabienne avorte en 1981, c’est parce que je me comportais comme un porc abject. Ce comportement m’était dicté par l’ambiance de milliers de tonnes de cadavres animaux que je trafiquais sur Rungis. C’est la médecine crasseuse et abjecte qui exigeait ce trafic de mort et d’ignominie à l’égard de Fabienne. Plus : l’ambiance cadavre et mort commercialisée me menait à dégénérer tant et tant que je fumais de la drogue, et qu’une foi, une seule en ma vie, je sodomisais douloureusement ma compagne.

C – Vers l’âge de huit ans, de multiples verrues sous les plantes des pieds me conduit à la nécessité d’une opération chirurgicale sous mes voûtes plantaire. Là encore la médecine a commencé par créer la maladie en cela : me faisant ingérer du cadavre, mes défenses baissaient en terrain organique morbide. Tant et tant que les virus se manifestèrent en mes pieds. Ce morbide cadavérique exigé par la médecine a donc eu des conséquences chirurgicales.

Médecine donc trois fois coupable d’avoir crée préalablement la maladie.

Et même plus : les enragés de mai 68, qu’avaient – t – ils donc dans le ventre que du bestial cadavre et des coups de folie dans le nez ? Conséquence : les pharmacies en grève ne disposaient plus du vaccin introuvable. Pour l’hexagone, les destructions de mai 68 se chiffrèrent en des milliards de pertes pures et de manque à gagner. Comme seul résultat, la chute prématurée d’un militaire au pouvoir, le Général de Gaulle.

E – 153 : Quelques exemples de conséquences de collaboration avec la médecine ou avec le cadavre animal, ce qui revient au même :

D - À l’hôpital psychiatrique l’ Eau Vive, en 1988 ou 89, un des camarades a un passé médical qui fut pour lui gravissime de conséquences lugubres. Alexis avait travaillé comme représentant en machineries médicales de haute technologie. Il avait tellement travaillé pour ces tueurs criminels, qu’il fut gratifié par le SIDA et par la misère totale. Dans un village où il dormait sous une tente, monsieur le maire avait porté plainte contre lui pour occupation de terrains municipaux. Il était donc interné là, avec pas le moindre centime ni domicile pour envisager une quelconque sortie. Il chantait avec son virus dans le sang. Alexis avait travaillé indirectement pour le cadavérisme, et il en était ainsi « remercié ». Qui sème le vent récolte la tempête.

E – À Rungis, travailler ne me suffisait pas. Il fallait que je tire parti du trafic de cadavre en partie sous mon contrôle. Ainsi, je volais dans les camions. J’alimentais ma belle – famille et mes amis, contre espèces sonnantes. F G H J

F – À Paray Vieille Poste, la famille de ma fiancée Patricia Malaguarnera étant réunie au grand complet dans le sous sol attifé d’une longue, longue table. Ma future belle mère ( « la grosse » disaient – ils ) pose une question piège dans laquelle je fonce tête baissée très courageusement :

-     Qui c’est qui prépare la viande ?

J’étais le fournisseur en gibiers et autres pièces volées dans mes camions, pièces que je leurs revendais. Je ne fis qu’un tout petit pas de plus :

-     Moi, bien sûr

Je ne préparais strictement rien , mais tous m’avaient entendu me porter volontaire à la boucherie. Dans le mois qui suivit, je fus transformé en chair à saucisse par mon voisin de palier le légionnaire. Il me fracassa la tête avec nécessité de points de suture, avec des équimoses multiples au visage, aux mains et aux avant – bras. Deux côtes fêlées. Réellement un bout de viande à se promener autour d’une flaque de son propre sang au milieu du salon.

( Dans « El gran torino » de Clint Eastwood, le héros prépare un barbecue aux chinois. En conséquence il se trouve transformé en cadavre lui – même ).

( Dans le Grand Bleu, à partir du cocktail avec charcuteries étalés, cadavres animaux, les choses commencent à tourner mal, situation qui se termine par les suicides des deux héros )

G – Auparavant, j’avais vendu un gigantesque salami à mon voisin le légionnaire et à sa concubine : « La mort ! … crever ». Dans les mois qui suivirent, sa concubine passait de vie à trépas.

H – Mon collègue de chez Calberson ( viandes ) était entré brutalement à collaborer avec nous. Il entra dans le bureau le premier jour, et resta là sans rien dire du tout, sans même saluer attendant que je cède : « Bonjour, que    veux – tu ? ». Abasse au terme de plusieurs mois paya cher sa collaboration avec le cadavre car toutes ses dents tombaient et il me sollicita un emprunt pour se placer des prothèses. Il était gratifié par le sort de sa collaboration avec la mort physique. Je ne cédais pas un seul centime de mes économies.

J – J’offrais des pièces de viande à mon autre fiancée Fabienne, exactement à sa mère. D’énormes pièces gratuites. Il y en avait pour toute la famille. Le drame arriva : avortement, payé par moi = un mois entier de salaire.

K – Au décès de mon père, ma mère sortit de suite de son sac une crasseuse porcherie abjecte ramenée d’ Espagne en son avion. Ce fut sa première réaction. « La mort ». Dans les trois ou quatre jours, le grand ami de mon père inséparable fit une crise fulgurante et passa de vie à trépas. Jean Chavois. 

L – Ayant quitté repenti ce service des viandes de Rungis, je faisais un stage bien technique de dessinateur à l’ A F P A. Mais j’étais resté en contact avec Abasse qui me fournissait d’immenses pièces de rhumsteak que je revendais à mes camarades de l’ A F P A. Peu de temps après ces pratiques, l’un d’entre nous se tire une balle dans la tête dans sa chambre au centre. Guy devait avoir 22 ou 25 ans. Dans le détail : Guy faisant du chahut et lançant une boulette de papier su ma table, m’empêchait de travailler. Je l’agressais violemment : « Non, c’est toi qui a eu de la chance … ».

Pour moi, qui venais de dédouaner 60 000 tonnes de cadavre, la mort était absolument évidente, clarissime, triviale et quotidienne.

Le suicide de Guy me plongea dans la folie. Le prof principal avait commencé le premier jour de cours avec une blague : « Ici, c’est comme à l’armée, on a droit à 5 % de pertes ». Sur 20 élèves, 5 % = une personne. Je perdis les pédales, fis une crise à tous mes camarades, et je pris une mise à pied en arrêt maladie de 15 jours de repos, alors que je ne manquais strictement jamais.

Au moment où se tirait le coup de feu qui ressemblait à un violent claquement de porte sans importance, j’étais à faire de la musculation dans ma chambre immédiatement voisine de celle de Guy. Jean François Goubely m’avait prêté ses altères. Je forçais physiquement. Sous le lit, comme chauffage, j’avais installé un grill à cuire les croque monsieur.

E 154 - Le schéma de tout mon combat contre l’animal bestial se déterminait en la fin de mes fiançailles avec Patou qui était venue habiter chez moi :

-     Le légionnaire tatoué avec des panthères avait affiché dans les toilettes communes par-dessus ma peinture blanche neuve une série de chevaux au grand galop en bord de plages. Je lui fis retirer.
-     Patricia acheta deux grands posters que je mis à la maison : un lac en montagne et une série de pots de plantes vertes au bord d’une fenêtre. ( minéraux et végétaux ).
Tout y était : l’animal éliminé, puis le minéral et enfin le végétal. Ce fut trop pour le légionnaire et son héroïnomane qui dormait dans les toilettes et entrait par la fenêtre. Le tout devint plus explosif que jamais et éclata à cause d’un gaz lacrymogène que je pulvérisais sur Josiane en furie après moi. Elle partit lui demander secours avec d’abondantes larmes. Il vint exploser sur moi.

Après mon départ de Paris, un an de refuge à Valencia, il continuait de la battre et de lui refuser l’appartement. Par périodes, elle avait le visage tout bleu. Elle décéda d’overdose ou alors sous les coups. Je rentrai alors chez moi, ruiné. Mes fiançailles avaient donc été suspendues pour des raisons de sécurité. La guerre contre le légionnaire continua de 1986 à 2002. Il prit deux chiens de suite pour remplacer Josiane. Il buvait abondamment. Quand je faisais une rature sur mes rédactions la nuit, il toussait aussitôt.

Avant de fuir en Espagne, j’avais passé une semaine avec Patou chez son frère Nono ( Joseph ) en une vieille maison de campagne. Je la ramenais chez ses parents. Puis, avec une camionnette aménagée d’occasion, je partis me perdre dans les Alpes. Je pris un poste de représentant commercial en cartes postales et produits humoristiques, dont je ne fis que des frais : matériel, costume, essence … La vague de froid sibérien faillit me congeler par – 20º C dans cette montagne. J’ais du mal à me rapatrier sur Paris. Mon père entre en maison de repos et ma mère suggère : « Tu pourras faire l’aller – retour sur Valencia ? ». Carlitos mon cousin héroïnomane m’y vole mon passeport identité qu’il vend à la médecine ( son père Paco ) pour se faire deux doses. Puis au retour sur Paris, mon père décède. Ma mère me fait le coup de poignard chimique dans le dos, et ainsi commence le calvaire psychiatrique par des électrochocs interdits en France.

E 155 – 2012 - Mon stage de cet hiver passé 2011 – 2012 chez      C S I F avec Javier Santamans Caballero comme professeur. Développer le texte et faire référence au « Journal XY ( 30 ou 31 ) » pages rz à yT.

   Il manque Raquel


E 156 – Ma cohabitation au domicile « Balcón del Levante » avec Mlle Patricia Alejandra Perez Jimeno âgée de seulement 36 ans, soit durant le mois de mars 2012 que nous passons ensembles. Développer le texte et faire des références au « Journal 32 TD 10 » en ses pages X à Y. Voir ici sa photo d’identité :

   Photo extraite de son CV en pdf


Probable E 157 – La liste de tous mes professeurs suit à partir de la page 135 jusqu’à la page XY ? Quelques commentaires en espagnol affirment que je suis le Messie ( que les Juifs attendent car Jésus Christ n’était qu’un imposteur ).

Cette liste dut être dressée à Paris avant l’an 2002 de mon retour sur Valencia – Espagne.




































             Los Profesores , unos 75

                         Desde los 6 años hasta los 45

                        2012 – Hasta los 52 años




                             También una burla irónica
            y una enseñanza maternas
         


           Recuerdos de fin de año




                          Conclusión -  De oficio  El Profeta , Mesias
                                                                                                  El Redentor
                          El Antropista                       El Organizador









 


Classe de 11ème


Classe de 10ème


Classe de 9ème

Classe de 8ème

Classe de 7ème

 

 

 Mme Zombati

 

 Mme Revel

 Mr Revel

 Mme Turc

 Mr Turc

 

 

  Professeurs uniques            Ecole Patay


  En cours préparatoire  -  CP 1 – CP 2

  En cours moyen           - CM 1 – CM 2

  En cours élémentaire   - CE  1 – CE 2

  Mr Ninat Directeur de l ‘ établissement



Classe de 6ème

Ecole Notre Dame
de la gare



 Frère Bernard

 Mr L ‘ Hermite

 Mr Bigonneau

 Mme Louys



 Français , Travaux manuels , Natation , Titulaire

  Mathématiques

  Histoire et géographie

  Anglais


Classe de 5ème


 Frère Boyer

 Frère Edouard

 Mr Touvenin



  Français , Titulaire ( Gitanes et journal )

  Mathématiques , Chant , stand de tir

  Anglais  ( barbu )


Classe de 4ème


Frère Condon

Frère Raymond

Mr Israel

Non mémorisé



  Français , Titulaire ( très épais surcils )

  Géologie , Biologie

  Anglais ( il n’y a pas que les maths dans la V  )

  Technologie ( tête de crabe )

Classe de 3ème

Frère Hadrien

Mr Martinat

Mme Degast

Non mémorisé


  Français , Espagnol , Latin et Grec , Titulaire

  Mathématiques ,  Sciences Naturelles

  Technologie  ( enregistrée K7 puis perdue  )

  Education physique et sportive





Classe de seconde C 3

Ecole des
Francs
Bourgeois




 Mr Leducq

 Mr Muisel

 Mr Gérard

 Mr Struillou

 Mme Lasnier

 Mr Pel




  Anglais , Titulaire             Abbé Delaunay
                                          Instruction religieuse
  Mathématiques             

  Français
                                         Mr Chassang
  Espagnol                        Inspecteur de division
                                       
  Physique – Chimie  ( tombée enceinte )        

  Histoire et Géographie ( Droits de l ’ homme )

Classe de première C

1er étage

Mr Plard

Mme Salomon

Mr Tifon

Mr Carmel

Mme Levystone


  Français , Titulaire  -  Bibliothécaire

  Mathématiques

  Chimie 

  Histoire et Géographie

  Anglais  (  Literatura Inglesa :  J. Steinbeck  )

Classe de Terminale C

Redoublée
Repetida


5ème étage


Frère Jacques

Frère A. Harivel

Mr Fiard

Mme Cabada

Frère F. Frézel

Mme Rousseau


 Mathématiques , Instruction religieuse , Inspect.

  Physique – Chimie ( André , “Dédé”  )

  Biologie    ( le cyclope )

  Espagnol  (  sud Américaine  )

  Philosophie , Directeur de l ‘ école

  Physique – Chimie  (  Voir photo  )













Math Sup :

Prépa
Classe préparatoire aux grandes écoles
Scientifiques

Lycée Raspail

Monsieur
Raspail était
un chimiste
et biologiste
de
renommée
célèbre.
Homme politique
candidat
socialiste
à la
Présidence
de la
République
1794 - 1878













 Mme Rayer

 Mr Piétryk

 Mlle Lagoutte

 Mr Wogenstall

 Mme Dutrey

 Mr Amat

 Mr Baltel

 Mr Dubeau

 Mme Merkus


    Falta la asignatura : Astronomía

    Seguramente la astronomía fue la primera
    de todas las ciencias. El hombre primitivo
    debía observar a las estrellas, al sol y a la
    luna. Cuando la humanidad se extienda a
    través de las galaxias y su misterioso infinito
    será también la ultima de las ciencias, con
    sus misterios imposibles de resolver.



 Mathématiques , Titulaire ( Martine , deux CV )

 Physique – Chimie

 Anglais

 

 Dessin industriel


 Français

 Colles de Physique – Chimie

 Colles de Physique – Chimie

 Colles de Mathématiques

 Colles d ‘ anglais

El programa contaba con 20 horas de clase de
matemáticas por semana. Aproximadamente
unas 10 horas de física y química. Quedaban
dos horas para la literatura francesa , y dos para el ingles

Toda la clase se pelaba el deporte obligatorio
Se usaban sus dos horas para estudiar .
Además el campo de entrenamiento quedaba
muy alejado


 Stage A F P A
 Dessinateur
 d ‘ Etude en
 Mécanique
 Générale
 D Et M G 392


Mr Falipou

Mr Bocognano

Volvo orange ?
No memorizado


Dessin industriel , Enseignement général , Titulai.

Mécanique , Résistance des Matériaux

Mathématiques , Electricité , Physique - Chimie












    Paroisse













  Père Charles

   La Política se da en Historia y Geografía

  Geografía Económica

  Dos de las escuelas paraban en la calle de
  “ Domrémy “  El nombre es el del pueblo nativo
  de Juana de Arco. “ Domrémy la Virgen “
  ( en el sentido de sin desvirgar ) Todo el barrio
  llevaba los nombres de sus compañeros.


        Instruction religieuse , Cathéchisme

 

   Ecole maternelle



 Noms non mémorisés  –  rue Domrémy

  Education physique et sportive


 Noms non mémorisés

Colonies de vacances : voile , spéléologie photographie , gravures , émail
Moniteurs nombreux  - alpinismo


  Noms non mémorisés             Aquitaine
  Saint Féréol – Murat – Auvergne
 (  Campamentos mediante el comité de )
 (  la empresa en que trabajaban S.A.T   )

 Professeurs de judo  –  grade orange


 Mr Marquay  –  Mr Leiserowiestz

 Professeurs de kung fu : boxe chinoise


Tony Dehas  –  Lachmi  –  Pascal Boucly

 Cours d ‘ électronique par                
 correspondance avec matériel


  Noms non mémorisés : Eurélec Dijon
  Bureau d’inscription à Paris

 Stages C A O – D A O – MS DOS
 Autocad V12 , dessin industriel


 Mr Claude Canderlé  –  Mr Joël Bureau
 Mr Spitzberg , remplaçant

 Stage S O T R E S  à Colombes
 Word – Excel – Access


  Mme Dominique Labro ( végétarienne )
  Un psychologue du travail Mr Coldéfy

 Micro informatique chez M V 2
 Montrouge – sur la RN 20


  Ange , superviseur
  Anne Marie , formation au panel

 Cours d ‘ été en Espagne  1996
 Academia Castellano – Valencia


 Francisco , mathématiques et physique
 Delfina , Chimie

Cette liste de professeurs se doit actualiser car depuis 1996, j’ais bénéficié de 12 stages. Un peu plus loin, ces douze stages s’ajoutent en un tableau ( page 149 de ce même fichier ).

De conclusión, en el 2003, al igual que se me burlaba mi madre ironizando y despotricando contra su hijo,  « Don Sabiondo »                   “ Que lo sabe todo “ …… con las 9 teorías + 1, efectivamente, lo sé Todo.

Eran dos de ellos colegios de pago. San Juan Bautista de la Salle. Un cursillo pagado por el estado, con sueldo, habitación gratis y auto servicio.  Otros dos cursillos también con sueldo del estado ( A N P E  = Servef de Francia ) .

De entre todos los países, de todas las naciones, el que más ha aportado a las ciencias ha sido el pueblo judío. De entre todos los mas ancianos, es el único que ha sobrevivido hasta “ renacer “.

La Ciencia es la acumulación estructurada de saber racionalmente utilizable. La matemática se define como la herramienta fundamental necesaria a todas las ciencias, por tanto no es una de ellas.

De ejemplos de científicos judíos y fundadores de doctrinas destacan:

1 – Moisés – los 10 mandamientos – Moralidad 

2 – Jesucristo ( Jesús de Nazareth Roi des Juifs  I N R I  )

3 – Isaac Newton  siendo Isaac un nombre judío
4 – Fue un judío Luis de Santangel quien convenció la Reina Isabel la Católica para financiar las carabelas de Colon
5 – Sigmund Freud, practicante hasta emigrar debido al antisemitismo

6 – Carl Marx descendía de una familia judía
7 – Albert Einstein, refugiado cuando el 2º conflicto mundial. En alemán ( Ein, una ) y ( Stein, piedra )

Una de las teorías relaciona estrechamente Dios con el Ayuno. 

Dicen que los judíos siguen esperando al mesías.
La iglesia judía no reconoce al Cristo, siendo este un impostor.
Los judíos esperan al Mesías, al profeta que salvara al mundo.

Por ejemplo a un  “ Sabiondo “  venido a aportar la Verdad a la humanidad. Se puede resumir la ciencia útil a una única fórmula.            3 elevado a N resume tanto la estructura de la materia estable, como el conjunto de las 3 X 3 teorías a su vez ramificadas en 3 capítulos…

Estas 9 teorías se reparten en tres temas

A – lo Elemental  
B – el Trabajo
C – la Ciencia                                A – B – C  :  indisociables

Lo previsto esta en que a la era cristiana le suceda la era Científica
Puede que a los pocos milenios les suceda la era Antropista
De conclusión de tres de los colegios se celebró una cena de fin de año: un restaurante denominado  “ El viejo escudo “  (  le vieil Ecu  ) en una zona casi aristocrática de Paris. Hace directamente alusión a una moneda medieval antigua. Se propuso en Bruxelas el nombre de ECU anteriormente al de  “ Euro “.

El primer año fue organizada por dos camaradas de clase. Era la clase   “ Terminal C “ ( C O U ) de la escuela  “ Les Francs Bourgeois “ .  Ya que recordé el sitio que me gustó, decidí volver con los compañeros de la clase de  “ Mathématiques Supérieures “ .  Estos aceptaron la invitación con más entusiasmo ya que la organizaba el delegado de la clase ante los profesores, el rector, y el director : yo mismo .

La tercera vez organice por Navidad la cena de los antiguos del cursillo  ( un año = 1720 horas ) de Diseño Industrial . Acudieron más de la mitad, de diferentes regiones de Francia.

Estas tres cenas eran como un tipo de “ reflexión en común “  sobre las monedas, siendo el nombre del restaurante una moneda medieval.

Las fechas eran : 1977 – 1979 – 1984. Dos de las veces acudí con la moto invitando o bien una amiga estudiante, o bien una de mis alumnas. Por falta de seriedad en horarios tanto de los compañeros como de parte del personal, la tercera vez salí corriendo sin cenar, ya que marchaba un tren hacia Valencia a las 21 h 30.


El Antropismo  ( del griego Anthropos = hombre  ) resulta de 30 000 horas de estudio en autodidacto. 1500 horas X 20 años = 30 000 h

Todas las estrellas del cine y de la información carecen de moralidad. Todas muestran el mal ejemplo, o bien amplían las catástrofes y discordias sin proponer solución ni remedio. También los políticos sufren de falta de solución a sus problemas nacionales o de relación internacionales.

Suponiendo que se pudiese comunicar con estas estrellas del cine y televisión, estas acudirían a purgarse  “ de sus pecados “.  El Antropismo que pretende resolverlo todo, hasta la estructura y eficacia de Naciones Unidas, seria un purgatorio, un lavado de sus almas tan desperfectas.

El Mesías aportaría una salvación a las almas tan corrompidas por la vida. Hasta la Iglesia Cristiana ha degenerado las Verdades de Cristo.

Se ha demostrado ( ver archivo estrellas del firmamento o el Blog elmundio.blogspot.com de 2012 ) que la vida es eterna. También se dispensa la salvación eterna de las almas. Resumiendo, el Antropismo es solo Moralidad.

La búsqueda de normas de moralidad…empieza con Moisés, pasa por
los Terapeutas, una secta de Judíos que practicaban el ayuno dos siglos antes de Cristo…sigue con Aristóteles el primero de los científicos que creo la noción de especies clasificándolas en su Anatomía Comparada, se prolonga con el respeto de la Ciencia y del Saber mediante el estudio a tiempos perdidos .

Continua…con la observación de las especies que no han degenerado al opuesto de la nuestra. Mezcla los últimos avances de la física sub nuclear con un tipo de filosofía según la cual,
                   
[  lo Elemental , el Trabajo y la Ciencia ]  quedan indisociables.

Antiguamente se llamaba a lo elemental  “ la Naturaleza “.

El único peligro para cada cual consiste en elegir un tema de estudio diferente del de su oficio. Estudios en fines de semana y en transportes


La solución inmediata, contemporánea esta para todos en la O N U con sus 90 órganos aunque sin estar organizados realmente.  Por ejemplo los artistas dependerían de la U N E S C O con sus principios de Paz y de moralidad  ( “ solidaridad moral e intelectual de la humanidad “ dice el texto fundador de 1948 )

A largo plazo la solución definitiva radica en una O N U dotada de la formula  “ 3 elevado a N “ que supone una arborización y ramificación  perfecta, matemática abarcando los temas y propósitos del más sencillo al más complejo, con graduación evolutiva del órgano 01 al órgano 81     (  3 elevado a la potencia 4  =  81 ). Cada uno de los 81 órganos principales se subdivide a su vez en 3 sub – órganos lo que conduce a la cifra de 243 divisiones  (  3 elevado a 5  = 243  ). Al estar matemáticamente estructurada organizada y saneada de sus fallos, adoptaría la O N U su nombre definitivo : The “ O “  (  O de Organización – ver el proyecto 9 en la penúltima pestaña de  elmundio.blogspot.com ).

Habrían una segunda y una tercera arborizaciones estas temporales no definitivas.  La segunda organizaría los órganos de urgencia ( cascos azules ). La tercera agruparía los órganos de transición permitiendo acoplar como resultado con la primera arborización. Por ejemplo los organismos de formación y de reciclaje ya que se eliminan unos cuantos
oficios muy poco útiles y hasta perjudiciales a nuestro mundo.

Suponiendo que la humanidad sobreviva a la prevista implosión solar,  ya que el Sol es solo una modesta estrella y pues tiene su duración y ciclo de vida, en este porvenir por las estrellas del firmamento, solo importarían las formulas matemáticas, los cálculos, las cifras, las computadoras y las maquinarias. Puede que resulte un ambiente parecido al de la  N A S A  Nacional Aeronotic and Space Administration al de la  E S A   European Space Agency  y de la   U A I   Unión Astronómica Internacional, o al de Baikunur, la ciudad de las estrellas
base de los lanzamientos rusos hoy situada en el sur de Kazajstán.  

El infinito del espacio y el infinitamente pequeño del átomo se han ido desarrollando en paralelo y simultaneas. Microscopio y telescopio tienen la misma edad, y se van desarrollando igualmente. Se entienden las estructuras de las estrellas gracias al átomo. Al extenderse los conocimientos de la física sub – nuclear se amplían también los del infinito del espacio. En el bachillerato se ignora tanto a la una como a la otra : completamente.


Aparte del Mesías o del Profeta se puede usar también :
el Redentor   


Cuando la Redención se abata sobre el mundo,
este se verá lavado de sus pecados.

Porque el Cristo fue solo un impostor :

En aquellos tiempos la Ciencia era muy limitada. Sin embargo estaba en la Verdad al anunciar   A – el ayuno    B – el crudivorismo vegetal  (  Extractos del Nuevo Testamento pasados al libro de Alain Saury : ) ( “ Régénération par le jeûne “  paginas  33 – 34  Ediciones Dangles  )                                                       

Al estar la Ciencia tan limitada en aquellos tiempos, se reduce el exacto mensaje cristiano al equivalente de las Teorías 1 – 2 –  3 .    (  Siendo C la Paz  )

De estas tres enseñanzas, las iglesias católica y protestante han degenerado su mensaje. Se ha pasado de lo crudo sano a dos alimentos degenerados, tóxicos : el pan y el vino. Tanto el uno como el otro fermentan, lo que equivale a pudrirlos, transformando manjares en dos tóxicos.

Entonces se ignoraba todo de etimologías de cifras o de letras, de las medidas del tiempo y de los equinoccios. Los husos horarios en 24 porciones o en 20 no existían.  ( Teorías 4 – 5 – 6 )

Las 400 ciencias y técnicas tampoco existían, ni tampoco la formula para arborizarlas en cualquier ramificación lógica. La estructura ramificada según formula no podía ni imaginarse. Tampoco los                3 elevado a 5  =  243 países no se podían ni sospechar. Ya que la         O N U no existía, no se podía corregirla estructurándola.
( Teorías 7 – 8 –  9 )

También se ignoraba que el Sol deba un día acabar estallando. Los vuelos habitados y el sobrevivir por las estrellas no se podía ni imaginar. Si se quedara la Tierra en su orbita actual , concluiría esta en la  ?     
    « Apocalypse du Jugement Dernier dans le feu des enfers. »

De conclusión Jesucristo era solo un ignorante pretencioso limitado a tres Verdades entre 9 + 1 . Además la cólera contra los mercaderes del templo revela fallos en el comportamiento, que le fueron fatales.

El Nuevo Testamento acaba mal con  “ El Apocalipsis “.  Si Jesucristo hubiera sido el Mesías venido a salvar el Mundo, a aportar la Verdad hubiera concluido la Biblia con la humanidad extendiéndose por los planetas, las estrellas y las galaxias. Con el infinito del Universo, concluiría con la expresión según la cual  “ La vida es eterna  “.

Nota : La precaución esta en evitar lo de Cristóbal Colon que se lanzó a la conquista aun sin haber limpiado ni organizado tras el antes de zarpar. Hoy día se esta todavía pagando las masacres de los conquistadores ya que los indios descendentes cultivan y exportan a Europa unos vegetales dañinos muy muy tóxicos.

Si hubiera un  “ Don Sabiendo “ , un Organizador, o un profeta, o un Mesías, puede que sea el Antropista Pedro Serrano.

En teoría se aporta la verdad y el conocimiento solo al que lo pide. Es receptivo, y se evita así cualquier imposición o inquisición. No se puede imponer la verdad ni el saber al que no los solicita. 

Varias veces han venido los médicos a solicitarme, pero ellos solo pretendían en trabajar y cobrar. De momento ( año 1998 ) todos rechazan la verdad de las 9 teorías, empezando por las 1 – 2 – 3.

27 000 horas  3    x   10   
[ 3 al cubo por 10 al cubo ]


De atractiva coronación terminal a las 9 teorías : la moneda única mundial  =


                           EL MUNDIO



Con los años , se cambia el nombre del mundio al de  EA , siendo este la raiz de la palabra    EA + KUA  =  AGUA  .


Amplios detalles en los  Archivos  : 

-      Contracciones etimológicas
-      El Mundio

EA  =  El dios del agua en Babilonia , Mesopotamia         (  actual Irak  )

Nota : este texto que prolonga la lista de los profesores se escribió a continuación en Paris hace más de 12 años. Desde entonces, el Mundio ha evolucionado mucho. 


E 158 – Liste complémentaire de tous mes professeurs depuis mon retour en Espagne en 2002.

Tableau en page suivante : mes 12 stages de formation ( 10 du temps de INTYF 2004 et de la résidence San Lorenzo commencés en 2007 puis deux après ma libération et retour au domicile en avril 2011 ).

















I N T Y F - 2004

Calle dr Tomás Sala
AutoCAD 702 horas
3 DS Studio Max
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Carlos Navarro
Una profesora más
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F E V A L C E E
2007 – 2008
Granada 3
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Calle Salamanca             ( Canovas )
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Francisco ( Frankie )
Gonzales Calabuig
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I F E S – U G T
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Diseño gráfico
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Photoshop
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José Galcera
A E C C – 1º
La Puebla de Farnals
Dejar de fumar
Curso con éxito de un año de abstinencia
Montiel Chelet Marti de psicóloga
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2010
Local de Fundar en la calle Fuencaliente
Tecnicas de búsqueda de empleo Preparación CV y entrevistas profesión
Cristina Díaz
Rosa Valle
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HH SS - 2010
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Psicólogas
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Pilar ( internet )
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Diseño AutoCAD
Una joven no memorizada – Otro profesor tampoco memorizado
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Sra Ribelles Rocafull ( preñada ) 
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Tutora : Lola 
A E C C – 2º- Sede
Interrumpido por fracaso a mitad
Dejar de fumar una tercera vez imposible
Montiel Chelet Marti
Doctor Buforn de apoyo - parches
C S I F – 2º
2011
Word Excel Access
PowerPoint Internet
Javier Santamans Caballero – Office
E 159 – Desde mi retorno a España, me leo solo tres libros : 1 Mathématiques ( un opuscule de 200 petites pages ), puis 2 « Le soir du vent fou » de Michel Jeury ( Éditions France Loisirs ) y 3 « El clan del oso cavernario” de Jean M Auel aux éditions “El País  Novela histórica” ( 600 pages ). « La Tierra de las cuevas pintadas » ( Los hijos de la Tierra de Jean M Auel ) a été à peine comencé et abandonné.

E 160 – Il me vient l’idée d’établir un sommaire de cette biographie ci . De sa page 1 à sa page 147. ( page 74 de la deuxième partie )

E 161 – Mes parents : 123

1 – Mon père Pedro Victor Serrano Lopez de naissance française le 1er avril 1922 dans les Alpes à Saint Pierre d’Allevard émigra avec ses parents espagnols sur Valencia. Il avait deux sœurs, mes tantes Francisca Serrano Lopez et Manolita Serrano Lopez. Il s’enrôla du côté républicain dans la guerre civile avec son père Manuel Serrano Muñoz. Lorsque la guerre fut perdue, ils durent subir la déportation en un camp de concentration en France pour réfugiés espagnols. Faisant interprète, il bénéficiait de rations supplémentaires de pain qu’il troquait contre du tabac. Le conflit calmé, ils rentrèrent au pays pour y subir le franquisme. Mon grand père Manuel avait des idées communistes, ce qui rendait difficiles les recherches d’emploi. Après son mariage en 1958, je viens au monde en 1959. Afin de nourrir la famille, mon père décide d’émigrer sur Paris. Ainsi il part avant nous travailler chez Cablacces où il a pour tâche d’allumer le poëlle à charbon de très bon matin afin que l’usine soit réchauffée quand les employés arrivent. Puis nous arrivons ma mère et moi en 1961 habiter aussi sur Paris. Ma mère se fait embaucher chez Cablacces où elle est nommée responsable du montage après quelque emploi de femme de ménage ( À l’ Élan rue du château des rentiers ). Ils y travaillent jusque vers 1974, date à laquelle ils embauchent à la S A T proche ( Société Anonyme des Télécommunications rue Cantagrel ) tous deux comme ouvriers. Ils garderont ce poste jusqu’à la pré – retraite. Ma mère eut la quille ( décoration de la S A  T) en 1982. Elle avait embauché en 1969. La S A T fabriquait, entre autres, des pièces de satellites, et aurait travaillé avec la N A S A dans le programme Apollo. Vers 1985, l’entreprise quitta la capitale.

Père était très casanier. Il ne partait ni en voyages ( en dehors de nos vacances d’été en commun à Valencia ) ni au restaurant, ni au cinéma. Sa passion et passe temps était en la philatélie. Il amassait les catalogues de timbres neufs et oblitéré. Ses amis étaient tous collègues de la S A T : María Conti, Jean Chavois, Boulet, Guégan et Jacquet ( ou collègues de Cablacces comme Fernando Maiques ). Il occupait parfois ses week ends à travailler au noir avec Jean Chavois à refaire des appartements aux papiers peints muraux. Tout le temps de sa vie, l’alcool ne l’a jamais quitté. Il vint à quelque réunion AA, mais sans succès. Avant de partir sur Paris, il avait été pris comme serveur au bar à bord d’un navire de la marine marchande. Il navigua aussi sur des pétroliers, sur le Tunisia, sur un bateau suédois, parcourant le monde et le détroit de Panama.

Il fut opéré de l’estomac en Allemagne ( à vif ), d’un bras cassé par lui-même comme prétexte à débarquer, du pancréas à Paris et des artères des jambes qui furent remplacées par des artères en plastique. Il fumait abondamment, des Gitanes Maïs au gros papier jaune et qui s’éteignaient. Dans ses dernières années, il s’occupait à fabriquer des chaînes en bois et divers mobiles qui étaient taillés dans la masse du bois. Il avait donc les mains très esquintées à limer et poncer après sa découpe. Il les avait aussi vernis. Je les garde encore dans la vitrine. Père était très habile de ses mains.

Mon père décéda seul sur un sofa avec sa cigarette à la main à Paris le 15 octobre 1986 à l’ âge de 65 ans. Le trouvant, je le croyais endormi et tentais de le réveiller en lui glissant un écouteur de radio dans l’oreille. La société « Hygiène Funéraire » se chargea des obsèques qui coutèrent l’énorme somme de 24 000 francs de l’époque. Nous le rapatrions en cercueil zingué en avion jusque sur Valencia, et il repose en paix au « Cementerio General » où je me rends chaque année au 1er  novembre, jour de Tous les Saints. Il n’y a jamais de fleurs sur sa tombe que personne ne visite, juchée en un 4ème niveau.

2 – Ma mère Dolores Maria Sorni Bailach ( de surnom Lolita ) née le 11 novembre 1924 était très économe. Issue d’un petit village de valencia ( Alfara del Patriarca . Elle était sœur de Francisco le médecin, de Palmira, de José Cristobal l’avocat et de Marina ) car elle avait connu la faim et le besoin pendant et après la guerre. Mère était très travailleuse, mais instable. Elle passa les dernières années vécues en France à voyager : Venise, Prague, Rome, le Maroc, Madrid, Huelva, Dinan, les Baléares, Lloret de Mar, la Galicie, Moscou, l’Alsace, la Suisse, le Tyrol autrichien, la vallée de Chamonix et cette ville de Maastricht en Hollande où fut signé l’ Euro.

Elle fréquenta pendant des années des amis Al – Anon des A A ( les Goubely, les Fauvet, Ginette ) quoique la fréquentation entre nous en dehors des réunions était interdite par le règlement intérieur ( les 12 traditions ). Quoique parlant le français par nécessité, elle garda toujours un accent espagnol que nous n’avions ni mon père ni moi.  

Durant son emploi à la S A T, elle fut mise un temps aux presses, ce qui lui occasionnait de terribles migraines, puis à « l’attache » au service d’électrolyse. Ses amis ou collègues étaient les Buttée  ( Jacqueline et Albert ) puis Raymonde Trouin du même service. La S A T avait un Comité d’ Entreprise qui outre sa bibliothèque de la rue du Chevaleret où j’allais emprunter des livres ( les séries Bob Morane et Tarzan ainsi que quelque disque 33 tours ), organisait des camps de vacances où je me rendis à l’occasion de deux étés à Saint Ferréol en Aquitaine et à Murat en Auvergne. Je leur écrivais depuis mon centre aéré.

Mille et mille fois je recassais ( répétais ) à ma mère de se conformer au paisible végétarisme, mais jamais elle ne voulut fléchir. Elle buvait à peine un peu d’alcool, très peu. Maman ne lut en sa vie entière que deux ou trois livres. Elle était très peu culte, mais très raisonnable. Elle ne crut jamais à mon projet de monnaie unique mondiale. Comme les ignorants, elle fréquentait parfois l’église.

En 2005 ou 2006, vivant seule à Paris, elle est internée à l’ Hôpital Broca pour cause d’Alzheimer, et ne sera rapatriée sur l’ Espagne par Fernando et moi en avion qu’en 2010, un an avant son décès à sa résidence de Carlet, étant passée aux urgences et en bref séjour en coma à l’ hôpital d’ Alzira dans la région. Elle décède au 31 mars 2011 suite à plus de 40 jours de comma ininterrompu par-dessus sa maladie d’Alzheimer. En ses vieux jours elle fréquenta à Paris un ami Marcel Cordier connu à table à un Restaurant Émeraude de Paris. Marcel vint en visite touristique à Valencia. Il la visitait à Broca chaque semaine, mais il décéda avant elle. Sur la fin, elle avait un comportement erratique, ne pouvant rester assise plus de quelques secondes, et chantait, chantait.  

Le cercueil de mon père étant zingué, ils ne reposent pour l’instant pas ensembles. Il faudrait faire incinérer maman et l’introduire dans l’emplacement de son mari juste assez grand pour les réunir tous deux. Elle n’a même pas de marbre funéraire, juste une petite plaque posée sans fixation. Elle laissa à son décès une dette à l’administration française de 150 000 € de frais d’hôpital. Espace Tutelle gérait ses comptes, en la directrice Mme Guillaumin et Mlle Suire qui me firent des facilités de paiement, entre autres celles des funérailles.

3 – Mes parents ne m’ont jamais violenté : ma mère me donna une seule gifle dans ma vie, un soir où je dansais avec une chaise dans les bras, ivre dans un bar où nous fêtions quelque chose       ( Bar Le Commerce vers 1975 ). Quand à mon père, jamais il ne m’a touché, hormis un matin où je partais pour passer mon baccalauréat que je ratais en ma première année de Terminale. Il était ivre, et manipulait un seau d’eau dans la cuisine. Nous en venions un peu aux mains tous les deux en cette matinée d’examen.

Un jour de ma tendre enfance, vers l’âge de cinq ou six ans, ma mère me fit manger une boîte de pâtée pour chats, car ne parlant pas français, elle ne le lisait pas davantage. À la boutique, la boîte lui avait paru bon marché. Il fallut attendre le retour de mon père pour comprendre, au lu de l’étiquette, ce qu’elle m’avait fait avaler.

Mes deux parents mesuraient bien dix ou quinze centimètres de moins que moi. Mon père resta toujours très maigre. Il portait un dentier, s’étant fait extraire toutes ses dents. Ses jambes, dû à son artérite, lui faisaient mal. Il ne pouvait ni rester debout ni marcher trop longtemps sans faire de pause.

E 162 – Un engramme m’est resté de ma tendre enfance : vers l’âge de six ou sept ans, je dus comprendre que voler est laid. En classe, j’avais mis dans ma poche une gomme ( ou un taille crayons peut – être ) appartenant à un camarade. L’objet m’avait plu, alors je l’avais pris, naturellement. L’objet fut déclaré comme volé, on ne savait pas par qui. Je refusais de me dénoncer, mais nous fumes tous fouillés, et la gomme apparut dans ma poche. Certainement, je dus recevoir une grosse réprimande et une bonne leçon : voler est laid. À partir de là, de toute mon enfance et durant toute mon adolescence, je devins le plus honnête de tous les hommes en ce bas monde.