
E 46 : Comme activités culturelles à Paris, je
fréquentais les
musées suivants : A – B – C – D
A - Le Palais de la Découverte des scientifiques, au
Petit Palais. Des expériences se réalisent devant les visiteurs. La cage de
Faraday, entre autres, qui émet de grands éclairs sur l’extérieur. Ce Palais
contient un planétarium, dans lequel s’expose une pierre de lune. À la porte,
une boutique écologique « Nature et Découverte » vend, entre autres,
des livres scientifiques.
B - Quelques semaines me fixant sur le Musée d’Orsay
– A proximité vint vers 1990 Ellis, une riche touriste américaine de San
Francisco ou de Los Angeles. Ensemble nous montâmes au dernier étage
panoramique de la Tour Montparnasse. Puis elle déménagea au Ritz, Place
Vendôme. Ellis était fière d’avoir travaillé avec les chirurgiens, leurs
passant les instruments aux moments de leurs charcuteries, et avait travaillé
aussi à dessiner les logotypes sur les paquets de cigarettes. Un ami américain
l’avait rejoint à Paris.
C - Quelques mois se passèrent en mes visites
hebdomadaires sur le Musée du Louvre, avec son ancienne porte sur la colonnade,
avant les travaux de la Pyramide de verre du Président François Mitterrand. J’y
découvrais mille tableaux et de nombreuses sculptures. Vers 1989. Un des
tableaux me plut davantage que les autres : « Le verrou » de
Fragonard.
Insérer ici « Le verrou » de Fragonard.
D - Je fréquentais aussi très longtemps le Jardin
des Plantes ou Muséum National d’ Histoire Naturelle. M N H N. L’ École de
botanique s’ouvrait intérieurement sur le Jardin Alpin et ses merveilles de
plantes de toutes les montagnes du Monde. Un passage sous – terrain y
conduisait. Les serres tropicales étaient à visiter ainsi que son parc
zoologique et ses quatre kiosques ou buvettes : celui de l’entrée
principale, celui du zoo, celui du manège des gosses et finalement celui nommé
« Kiosque des otaries » sur lequel un arbre planté par Buffon
étendait son ombre. Le plus grand des bâtiments abritait La Grande Galerie de
l’Évolution. Des bâtiments autres étaient l’ Anatomie Comparée, la Phanérogamie
et la Minéralogie. Des statues de scientifiques et de nymphes ornent le jardin.
Les parterres de fleurs s’étendent, majestueux.
Insérer ici une photo – carte postale de
« L’Histoire Naturelle ».
E 47 : Promenade écologique à Vincennes avec les
copains de Terminale C, et les amies du groupe. Nous faisons un tour en barque
sur la lac inférieur. C’est l’été. En un faux mouvement, je mets un grand coup
de sabot dans la tête à Corinne Lefort Lauvergne, et nous partons tous à la
pharmacie Porte Dorée lui chercher quelque chose pour sa bosse.
E 47 se continue en cet E 48 : Réparation d’un électrophone chez Corinne Lefort
Lauvergne. Bien plus tard, je revins au domicile – cage d’escalier de Corinne
avec les compagnons du stage A F P A. Une boîte de nuit de perdition donnait
sur l’ascenseur, et nous leur subtilisions par une des fenêtres quelques
bouteilles de Whiskey bon marché. Corinne se mit à travailler dans une
entreprise de publicité, avec disait - elle « les créatifs » qui ne
font qu’imaginer des slogans ou des images publicitaires.
E 47 se continue en cet E 49 : Un des compagnons du groupe Binisti
Lelarge Letavernier Polychroniadis était Franck Guillon, karatéka de son passe
– temps. Claudine formait, au début, partie du groupe. Nous nous conumes Place
des Vosges, aux pauses de midi depuis l’école des Francs Bourgeois au lieu de
rester sagement dans les locaux de l’amicale du Lycée.
E 50 : De la Domrémy, Hervé Rocton , Massot, Degos, Jean
Louis Bertrand, Jean Luc Gourmelein et sa sœur Sylvie, leur père ingénieur,
Marie, Boisset, les frères Cerles, dont Roland et celui qui nous disait des
messes, Houbloup, De Los Santos, Grasset, Lévèque, Gasparoni, Gagnaire, Vu
Ngoc, Tarayre, Lepage, Eric Léger, et Jean Marc Hirrien qui suivit aux Francs
Bourgois et Yves Chouteau le fils du fleuriste de la rue de Patay resteront
toujours en ma mémoire.
Pour commencer la classe, avant de nous assoir, nous
devions prononcer en chœur et à haute voix un « Ave Maria ».

E 51 : Photo de 5ème ou de 4ème,
avec Monsieur Touvenin à gauche professeur d’anglais puis le Frère Edouard à
droite, professeur de maths et de chant. Ce frère Édouard tenait le stand de
tir à la fête de la kermesse chaque année. Une chute de fusil ( à balles à
poudre avec détonateur ) déclencha le percuteur et une balle malheureuse lui
perfora la cuisse. « Arrêtez, bande d’imbéciles, je suis touché ». Il
criait avec son plomb dans la jambe.
E 52 : Des Francs Bourgeois, les frères Delhayes quand
je redoublais, puis Gil et Clerc en Seconde C 3, Yves Thébault en Terminale,
Ruffin qui suivait une Terminale A de Philo, Guinard, Maurice qui venait chez
Soinnard, Taravella qui fit occasionnellement partie du groupe, Malahel qui
volait haut avec son Kung Fu, Poitou en Terminale, et Pascal Combes. Nous
allions nous promener à proximité : Place des Vosges, avec un très joli
jardin. Nous y rencontrâmes pour la première fois les filles du groupe
ultérieur : Christine Lelarge, Corinne Lefort Lauvergne, Claudine et
quelque autre fréquentaient le Lycée Paul Bert à quelques pas de là.
E 53 : Du temps de mon redoublement, je prenais déjà les
habitudes de la pause café. En la coupure récréation qui séparait notre matinée
en 2 x 2 heures, je descendais les 6 étages du nouveau bâtiment, et allais au
bar « Le temps des cerises » juste en bas, Rue du Petit Musc, en
plein Marais. Un des camarades m’accompagnait : Patrick Germain Thomas,
que je revis quelques années plus tard. Patrick, venu l’été, séchait les cours,
argumentant qu’il était soi – disant juge de ligne à Rolland Garros, ou alors
ramasseur de balles.
E 53 se continue en cet E 54 : En cette année de redoublement, je
commençais par rater la première demi journée de classe. En effet, je
téléphonais au frère Jacques sous directeur et chef de division depuis un bar
sur la N 20 en lui disant : « Je rentre d’ Espagne, mais je suis
encore à Orléans. J’arrive. »
E 55 : Du club de judo SCPO de la Rue du Chevaleret
: Buniaset, Demichel, Berri, Masaleyrat. ( Sur plus de trente membres ). Nous
nous rendions au Stadium, avec les trois frères Ortel, au Métro Boulets –
Montreuil près de Nation y voir les championnats en soirée. Jean Ortel
progressa, devint ceinture noire, puis professeur et enfin 3ème dan.
En l’an 2000 il abandonna complètement le judo. Il était revenu chez ses
parents à 40 ans. « Télévision et communication » était sa thèse. Il
allait la présenter lorsque mon ordinateur lui fit faux bond, car je partais
subitement vers l’Espagne avec Paco Sorni et Patricia de passage. Je lui
proposais les clefs de l’appartement afin qu’il dispose de l’ordinateur pour
finir et présenter sa thèse, mais « pour des questions de sécurité »
il préféra perdre un an de ces études.
E 56 : De l’école Patay, avec Eric Krief, Crouzette,
Dominique Mano, Philippe Leconte, Jacques Guénéguès, et Mickael Fontaine qui
restera comme compagnon de jeux avec sa sœur Sabine, sa blonde mère allemande
et son père professeur de mathématiques. Il avait une immense planche en bois
sur laquelle se montait un gigantesque train électrique Jouef . Le patin à
roulettes nous emmenait de par les rues. Mickael partit habiter dans l’île de
la Réunion, dans l’océan indien : Cité
Lassay – Ville Tampon. Nous nous écrivions pendant des années.

E 56 B – En une occasion, nous rendions visite à cette
professeur Madame Turc à son domicile de la rue du dessous des berges, face à
l’école de chimie. Monsieur Turc aussi professeur avait une grosse bosse sur la
nuque. Une malformation des vertèbres lui inclinait la tête vers l’avant.
E 57 : De Sup, un passage était resté dans le fichier :
« Un autre des camarades, le compagnon des travaux pratiques de physique
et de chimie n’était autre que Pierre Henri Perret. Ce camarade me loua une des
mobylettes dont je faisais commerce. Je les récupérais et les louais à des
amis. » Le nom Havil me revient aussi en vague mémoire. Serait – ce un
métis de Sup ?
E 58 : Ci après, les photos de dix des copains de Sup

Ce Nota est copié – collé de la page 11 du début de ce document, et son contenu est
expandé, amplifié en les termes que voici :
J’ais oublié deux emplois principaux et quatre
autres activités qui suivent dans le texte :
E 59 : Le Ludo
Jeux – Jouets à Galaxie Centre Commercial Italie 2 ( reponedor de
juguetes ) du à un surcroit des ventes pour la période de Noël. Au deuxième étage
de Galaxie, dans le fond se tenait effectivement un magasin de jouets, un grand
magasin ou grande surface : « Le Ludo – Jeux – Jouets ». Le
travail de magasinier consistait à préparer des Rolls, ou charriots, à les
emplir de jouets qui se destinaient à aller se disposer dans les rayonnages.
Certains des jouets étaient des armes, mitraillettes ou fusils en plastique.
E 59 se continue en cet E 60 : Le chef – magasinier les considérait avant de les
empiler : « Pas de quartier. Aller ! » et ils les mettait
dans le circuit. C’était une sorte de tuerie ludique. Des armes qui tuent.
Environ le troisième jour, je fus convoqué dans le bureau : « Vous
êtes licencié ! ». J’allais sur le balcon de la Place d’ Italie et je
pleurais en fumant. Le surlendemain, je commençais de dessiner chez Samodef –
Bruynzeel que voici décrit.
E 61 : Puis Samodef Bruynzeel, les rayonnages
d’archivage chez qui je créais un produit de rayonnages fixes devant remplacer
les importations de Hollande. Samodef était tenu par un directeur, Monsieur
Evariste qui venait de province. Il n’avait pratiquement aucune notion de
dessin industriel, ni des normes du dessin. Il s’occupait de la partie
commerciale et des facturations. Son frère monteur assemblait les rayonnages
avec, en renfort, des intérimaires avec un statut de presque esclaves. La pose
de rayonnages pour les entreprises et les mairies se destine à recevoir les
archives ou les collections de films ou les collections de V H S par exemple.
Cela suppose un plan théorique du local prévisiblement aménagé et donc un
devis. La concurrence était sévère. Il y avait deux types de rayonnages :
d’abord le rayonnage fixe supposait une perte d’espace car il fallait réserver
des couloirs d’accès entre chaque rayon. Le rayonnage mobile ne laissait qu’un
seul et unique couloir déplaçable, perdu en espace, mais supposait davantage de
matériel avec par exemple des poulies, des manivelles et une chaîne.
Insérer ici une photo des rayonnages hollandais
prise d’Internet.
E 61 se continue en cet E 62 : Monsieur Evariste avait acheté un normographe
électronique qui écrivait les textes avec un Rotring calibré à encre de Chine
vissé dans l’appareil. C’était un grand luxe. ( Un Appia, je crois ). En ce
temps là, l’ordinateur PC n’existait pas.
E 62 se continue en cet E 63 : Les pièces, montants et étagères étaient
importées de Hollande. Evariste décida que c’en était assez, et il tenta de
créer ses propres rayonnages, tâche de conception technique qu’il me confia. Je
dus tout inventer de A jusqu’à Z. En cette époque, j’allais parfois à la
piscine le midi, je me cherchais des fruits au supermarché d’à côté et
j’étudiais la Physiologie en un gros Atlas médical édité au Canada que
j’amenais au bureau.
E 63 se continue en cet E 64 : Les pièces de Hollande portaient toutes un aigle
gravé, ce qui me repoussait. Cet aigle ressemblait à celui de Hitler. Encore
les animaux, ici en pleine sidérurgie. J’inventais donc un rayonnage bien
français dessiné par un espagnol. Le dernier jour travaillé je remis les plans finis,
et je ne sais si ces rayonnages ont été ou non mis en fabrication. A
l’initiative du directeur, et en fonction de ses moyens. Lieu de travail :
je crois Cachan en proche banlieue sud. Ne travaillaient au bureau que la
secrétaire à mi temps le matin et le commercial Sadalian très antipathique. Les
monteurs venaient de temps à autre prendre ou déposer du matériel. Plusieurs
devis pouvaient être proposés, variant avec différentes dispositions des
rayonnages : transversal ou parallèle à l’axe de la pièce. Des caves et
des greniers principalement recevaient les archives. Possiblement vers 1987. Je
me rendais de chez moi au bus Porte d’Italie en patins à roulettes acquis chez
mon ancien employeur : Le Ludo – Jeux – Jouets. Je montais avec dans le
bus jusqu’à ce que cette insécurité me fut interdite par le chauffeur.
E 65 : Puis aussi
« Intento de vender láminas A4 con las cifras árabes y antropicas fotocopiadas
» Calle Don Juan de Austria. Valencia. Mes planches
des chiffres arabes et des chiffres anthropiques me paraissaient très
intéressantes, mais je n’en vendis pas une seule. Je les avais étalées par
terre devant le bar Casa Mundo, de l’ancien footballeur d’autrefois. J’allais
avec la bicyclette. Vers 1988 possiblement.
E 66 : Et encore : “ Clases de verano en la Academia
Castellano “. Je sortais de mes traitements inhumains de San Onofre à Quart de
Poblet. Les électrochocs ont effacé ma mémoire locale. Simplement je me
souviens qu’en prenant des notes à ces cours d’été, je tremblais et ressentais
de la panique inspirée par mes camarades qui riaient et riaient sans cesse.
Cours de maths et de chimie. Je ne me souviens de rien que de l’adresse des
locaux et du prénom de la prof de chimie : Delfina et encore parce que je
le notais dans me archives.
E 67 : Il manque deux essais de publications : un
livre dont j’étais l’auteur sur le jeûne vers 1984, que je proposais chez
« Maloine » et d’autres éditeurs médicaux mais sans aucune chance. Un
comité de lecture fit un rapport sur mon ouvrage. Puis un livre sur les
pilosités « Spécial Poils » en 2001 ( Voir le paragraphe E 19 B en la première partie du CV sur les marathons
comme origine de cette étude sur les poils et les pilosités ). Ce deuxième
essai de publication fut fait depuis Paris, juste avant de partir sur
l’Espagne.
E 68 : Je montais aussi un système d’alarme
électronique à ultra sons en le domicile de la grand - mère ( au Métro Eglise
de Pantin ) de Jean Marc Vieillevigne, un camarade de classe de TC de l’ école
des Francs Bourgeois. Xavier Fénard s’interrogeait en cours sur la relativité
qui ne figurait pas au programme. Il portait une barbe clairsemée. Quelle
horreur de saleté. Aucun des profs des Francs Bourgeois ne portait de barbe.
E 69 : En voyage de fin d’année de ma première
Terminale C des Francs Bourgeois du 21 Rue Saint Antoine, nous eûmes l’occasion
de nous rendre en train dans le Pas de Calais au château des parents de Omer
Gourlet. Une famille aristocratique composait Omer camarade de classe, son
frère Paul qui avait suivi Math Sup au Lycée Charlemagne, leur mère qui avait
repris ses études de droit, et le père agent d’assurances.
E 69 se continue en cet E 70 : Ils avaient donc un grand château bien habitable
et confortable dans les Côtes du Nord, à Saint Omer près de Lille. Nous nous y
rendîmes Paul – Henri, Omer et moi passer quelques jours. Là bas, la voiture DS
Pallas que Omer essayait dans le parc immense, les statues, les sept salles de
bains de ce château ouvraient les perspectives sur le grand luxe. Du château
nous nous rendîmes à la plage de cette Mer du Nord. Il y avait à table des repose – couverts, soient un ustensile qui
permet de reposer le couteau et la fourchette sans qu’ils ne touchent la nappe
de leurs pointes. Dans les jardins du château, des ateliers de maquettes d’avions
à moteur deux temps étaient le passe temps de Paul Gourlet. Par la suite Omer
entra en « Sup », suivit « Spé » et devint ingénieur. À ma
connaissance il aurait eu deux filles. Ingénieur chez Renault ou chez Peugeot.
Ils habitaient à Paris Boulevard Beaumarchais près de la Place de la Bastille.
Nous faisions des réunions chez Omer : boire et téléphoner et aussi faire
les devoirs, puis fumer. Devant son domicile, on me vola une de mes Mobylettes
garées en bas de chez lui. Paul – Henri, qui avait les cheveux frisés, devint
par la suite militaire Gendarme. Il s’installa à Auxerre dans l’Yonne, et eut
au moins une petite fille, qui dit – il dans sa lettre, le rendait
« gaga ». De visite bien plus tard à Auxerre chez Albert et
Jacqueline Buttée collègues de mes parents de la S A T et aussi voisins du 109
berges en leur premier étage, j’essayai de me rendre chez Paul – Henri Barthet,
mais je ne réussis pas à le trouver.
E 71 : Durant sa classe de Terminale, Paul Henri
bénéficiait d’un studio Avenue de Corbéra près de la Gare de Lyon. Il avait une
paix royale pour étudier, et parfois je me rendais chez lui pour réviser
ensemble. Un jour que j`’étais assis sur le trône à déféquer, il entra et me
fit une photo. Il n’y avait pas de verrou. Paul Henri me revendit sa mobylette,
une nerveuse Peugeot 103 qui finit par tomber en pièces.
E 72 : Bien auparavant, à La Domrémy, je
fréquentais Jean Louis Bertrand un camarade de 3ème qui devait par
la suite intégrer aussi les Francs Bourgeois. Jean Louis, fils unique habitait
Ivry – sur – Seine. Je me rendais chez lui chaque semaine le mercredi ou le
jeudi y jouer ou partir en promenade. En une des promenades nous fîmes des tas
de photos du cimetière d’Ivry avec des appareils sortis de Pif Gadget. Son père
était policier Gardien de la Paix et aussi gardien de nuit à l’ U N E S C O.
Leur appartement 6 Rue Baudin près du Moulin d’Ivry était grand et luxueux. La
télé était dans un coffre laqué noir de Chine. Il avait, pour jouer, une petite machine à vapeur qui fonctionnait avec de
l’eau et des plaquettes d’alcool à brûler comme combustible sous la chaudière. Le bâtiment était aussi celui de Jean – Luc Gourmelen.
Jean Luc se branlait et regardait son sperme au microscope. Ce même Jean Luc
fit un voyage en Espagne et passa quelques jours au village de Massarrochos. Ma
tante Francisca se souvient des pétards que le français explosait. Jean – Louis
avait une collection de papillons, un modèle réduit de machine à vapeur à
pastilles d’alcool, et toute sorte de jouets fabuleux, mais aux échecs, je le
battais. Il fit des études de dessin et entra dans une boîte de Design Alain
Carré. Ses parents lui donnèrent un studio dans Paris où il s’installait la
dernière fois que je l’y vis. Il allait se marier avec une espagnole. Ils
avaient aussi un appartement à Nice qu’ils refusèrent de me prêter bien plus
tard.
E 73 : Entre temps, à La Domrémy et aux Francs
Bourgeois, je fréquentais Dominique Soinnard qui habitait au métro Pasteur dans
un bel appartement. Nous fîmes des voyages à la maison de campagne de ses
parents, à La Chapelle aux Moines près de Flers de l’Orne en Normandie. J’y
connus Brigitte Lebailly de Flers, amie qui venait à la maison et me présenta son
amie Huguette Brault de Montreuil.
E 73 se continue en cet E 74 : Un soir, nous étions ivres, sortant de bar de La
Chapelle aux Moines, et je lui cassais intégralement la tête. Immobilisé par
une prise de judo, il recevait coup sur coup jusqu’à ce qu’il finit par
échapper, le visage tout bleu. Il partit dans la nuit noire fumer de la drogue
dans une station de service proche. Il avait eu le malheur de me traiter de
« fils d’ivrogne ». D’abord nous allions en auto – stop puis à moto par la suite. Nous
achetions du Calvados de contrebande chez les paysans les voisins. De l’alcool
presque pur, violent et interdit à la vente à base de pomme fermentée puis
distillé. Nous avions passé l’année à faire les devoirs ensembles,
particulièrement une étude sur la Renaissance qui nous centrait sur Gargantua
et son professeur Pantagruel. Nous usions chez Dominique un cendrier qui
n’était autre qu’une super – mini botte bien vernie. Dominique fut
l’instigateur de ce que j’achète la M Z. Il me la mit presque dans les mains.
E 74 se continue en cet E 75 : Le concessionnaire était M C E 2000 soit Moto Cycles Equipements 2000
rue d’Alésia. Le jour où j’allais chercher la moto, je roulais sans rien
comprendre en première jusqu’à mon domicile. Le moteur hurlait et chauffait. Ce
soir là, Jean François Goubely qui faisait du footing vint me voir avec ma nouvelle
moto chez moi. Par la suite, Goubely devait acheter la même, la peindre en
noir, moto qu’il finit par me revendre après avoir fait le Cap Nord avec.
E 76 : Dominique Soinnard avait appris la
photographie à l’Ecole de Commerce Boulevard Saint Marcel, pratiquement à
l’angle des Gobelins. Il m’enseigna chez ses parents comment se servir d’un
agrandisseur photo et m’offrit un bel appareil Réflex 24 x 36 Asahi Pentax que
je prêtais et que je ne revis jamais.
Insérer une des photos de Soinnard
E 77 : Reste à narrer : Michel Lesturgeon (
« Le grand » ). Sa moto MZ 250 cm3 qui permit le premier
contact à un feu rouge alors que j’étais coursier avec ma MZ 125 cm3.
Il était fraiseur P3, ouvrier hautement qualifié, avec un bon salaire, mais
intérimaire de ci de là. Son domicile initial : Saint Leu – la – Forêt en
banlieue Nord. Divorcé. Il vint à la maison chez Dominique Soinnard Rue Eugène
Carrière se nourrir car il était sans manger depuis trois jours. Par la suite
il s’installa à l’hôtel près de chez nous à Montmartre, puis à un autre hôtel
Rue des Gobelins dans le 13ème . Michel était alcoolique, et je
l’orientais sur les A A. Souvent fauché, il m’empruntait de l’argent. Une des
fois, je lui fis ses courses chez ED, l’Epicier Discount, où il chargea abondamment.
Plus avant, il venait à mon domicile du 30 Avenue Madon à Viry Chatillon en
banlieue sud. Michel était haut de taille et assez laid, plus âgé que moi de
dix ans. Il se joignit au groupe, nous incitant à boire et à fumer. Plusieurs
années après, il frappa à la porte de chez ma mère qui refusa d’ouvrir à cet
ami connu de la rue. Michel émigra en Angleterre, et cessa de donner quelque
signe de vie que ce fut, à part quelque lettre. Entre temps, il m’avait donné
l’adresse d’un de ses amis de Londres : Zaïre qui habitait un
« squate ». Je passais quelques jours à Londres en un
« squate » voisin, échappant par miracle à une descente de la police
de Londres qui emmena tous les habitants de l’immeuble « squaté » où
j’habitais. J’y écoutais « Summertime » de Janis Joplin encore et
encore dans ma chambre du dernier étage emplie de miroirs au sol. Zaïre de sa
nationalité algérienne nous prépara un couscous. Pauline était son épouse, et
Nassardine était le jeune fils de Zaïre, fervent adepte du Kung – Fu. J’étais
allé à Londres à moto par le Ferry. De rouler à gauche me gênait beaucoup. La
salle Royal Albert Hall était proche du « squate ». Zaïre m’emmena
visiter Hyde Park, un grandissime jardin avec des étendues d’eau.
E 78 : Reste à narrer : mon année d’isolement, de
séparation du groupe. Amoureux de Brigitte Binisti, je ne pouvais supporter de
la voir flirter avec Loutfi Ouenna. Je fis une crise sociale et restais un an
entier isolé sans voir personne de tout le groupe d’amis que j’avais moi – même
fondé ou presque. Ça ressemblait à une année sabbatique. Brigitte étudiait les
langues à la Rue de l’Ecole de Médecine, à Clichy puis à la fac de langues de
Censier.
E 79 : A rajouter : Eric Squizatto, le savoyard du
D Et M G 392 ( Stage
AFPA décrit en page YZ ? ). Il y avait à côté deux autres promotions,
l’une des dessinateurs d’exécution D Ex M G et l’autre du même type
que la notre, la D Et M G suivante soit la 393. A l’examen de fin
d’année, la moitié de notre promotion a triché à dessiner le soir en temps
supplémentaire sur le sujet d’examen. Le professeur principal Falipou ( Papi de
son surnom ) exerçant sa dernière année, devait partir à la retraite. En fin
d’année, les dégâts causés par les boulettes en papier sur les dalles du
plafond endommagées nous furent prélevés sur nos salaires.
E 80 : Reste à narrer Jean Baptiste Desfray de Massy
Palaiseau au Square de la Bièvre dans l’Essonne avec son Yamaha 500 XT
monocylindre, connu par Martine Dupont, collègue de chez Décorève Posters.
Après de nombreuses pérégrinations, je présentais à Jean Baptiste une amie de
Corinne Fardet soit Daly Benaïssa, avec qui il se maria et eut un enfant vers
1995.
E 81 : Reste à narrer Younès Othman, ses chiffres arabes
avec leur logique de construction et puis mon passage chez lui à Vénissieux,
dans la banlieue de Lyon. Camarade de l’ A F P A, un soir il me dévoila le
secret des chiffres arabes en un schéma au tableau. Durant le stage, Younès fut
à nouveau papa, ce qui donna prétexte à un cocktail au centre de Stains du Boulevard
Maxime Gorki. Il se rendit plusieurs fois à mon domicile du 109 berges, et je
finis par lui rendre sa visite à Lyon en un de mes passages vers l’Espagne. En
une occasion il montait à Paris pour se rendre au salon de l’emballage. Il
avait été dessinateur en planches à voile, puis s’occupait des visseries de
meubles : charnières et autre articles métallurgiques. A l’ A F P A, il occupait la chambre en face de la mienne. Younès
avait un superbe présentoir à Rotrings avec humidificateur que je me pressais
d’acquérir pour le troquer quelques années plus tard à N’ Guyen chez O T E R (
Nanterre ). Othman Younes me fit connaitre une spécialité tunisienne qui
consistait en une pâtisserie très sucrée, la Halva aux amandes et aux pistaches
dont je prenais plusieurs grands pots métalliques par la suite chez les arabes.
E 82 : Il manquait encore une autre mission : mon
poste de un mois chez Universal Det ( Det comme détection ). Je devais faire
face à un surcroît de travail. Je devais dessiner des boîtiers de détecteurs à
incendie et des circuits électroniques forts complexes qu’un ingénieur
modifiait au fur et à mesure. Je ne me souviens pas dans quelle ville,
seulement que c’était simultané à mon premier marathon. L’agence d’intérim se
situait dans le 14ème arrondissement. Peut – être I B I = Intérim
Bureau Industrie. Consulter le plan de ville. ( rue Alphonse Daudet ).
E 83 : Il manque la cimenterie dans laquelle je fus
tireur de plans sur machine à ammoniac. Je remplaçais la titulaire tireuse de
plans qui partait un mois en vacances en Thaïlande. Je ne faisais que seulement
du tirage de plans et du pliage, avec un peu de classement. Il devait y avoir
les tirages sur papier et les tirages sur calque. Je ne me souviens même pas
dans quelle ville, ni pour laquelle des agences d’intérim. Le chef de bureau
d’études devait s’appeler Serge. Je quittais les locaux le midi, je traversais
un grand jardin et je déjeunais seul dans un bar.
E 83 se continue en cet E 84 : Le vendredi midi, ils buvaient
comme des trous, tous entassés en une petite salle. Peu après la fin de ma
mission, Rachid Chekkar le voisin de pallier me cassa violemment la tête et
causa ainsi ma séparation d’avec ma fiancée Patricia Malaguarnera. La
cimenterie se situait à Clamart, certainement rue de Bièvres ou alors rue de
l’Ermitage. Elle se nommait C P C T. Je traversais chaque midi le Parc
Forestier.
E 84 se continue en cet E 85 : Peu après cette violence, mes
études reprennent à Valencia où je me suis réfugié seul : Maths, physique
et chimie en français au domicile de Calle Islas Canarias nº 30, Puerta 10 en
un 3ème étage sans ascenseur. J’allais pointer chaque mois à Paris à
l’ A N P E durant un an. Le service des douanes me confisqua ma moto qui ne
pouvait circuler en territoire espagnol avec une plaque d’immatriculation
française. Je lisais quelque roman en Espagnol de Benito Perez Galdos comme
« Las novelas de Torquemada » ( I S B N nº 84 – 206 – 1088 – 7 ).
Juste avant de me réfugier à Valencia, je fis un voyage avec la camionnette
jusqu’au pays, en voyage éclair, après quelques jours passés chez Nono ( Joseph
) l’autre frère de Patou. Celui-ci travaillait à restaurer des châteaux,
parvint à acheter une grande villa, et avait deux enfants : Céline et
Jérémy. Jérémy était attardé mental, handicapé.
E 86 : En tout dernier lieu, un déplacement à Chartres
en voiture fut occasionné par une de mes candidatures et tourna mal car la
bleue nuit voiture de Patricia empruntée par moi, une F I A T 127, cassa sa
chaîne de distribution que je dus remplacer après m’être fait rapatrier par
Jean Pierre, le frère de Patou accompagné de Françoise son épouse. Ils vinrent
me chercher en pleine nuit au garage. J’étais venu postuler chez Construction
Métalliques Puyenchet. Quelque temps après, le couple remplaça sa ridicule
Peugeot 104 par une berline B M W. Ils avaient un grand garage dans leur
pavillon.
E 87 : Chez Danzas, je dédouanais occasionnellement
quelques camions de vin en citerne. Ils supposaient un acquis de régie, avec
d’extrêmes contrôles. Keffir était le collègue de chez Danzas qui m’avait posé
des problèmes alors que j’apprenais le métier. Les premiers temps, je me
rendais sur le M I N à bicyclette y faire l’ouverture, jusqu’à ce que j’aie pu
racheter une moto. Je devais être sur le parking T I R à 06 h 00. En milieu ou
début d’après – midi, je rentrais chez moi. Du temps de Danzas, je partis
habiter chez un collègue Paul Placide ( antillais ) du village de Mennecy dans
le département de l’Essonne. Nous habitions Boulevard Auguste Blanqui. Son frère
et sa sœur antillais aussi venaient de temps à autre. Je lui payais la moitié
du loyer. Ce rez de chaussée nous permettait, en nos jeux d’entrer et de sortir
par la fenêtre. Brigitte Binisti m’y rendait visite
E 88 : Avec Paul Placide, collègue de chez Danzas
Denrées, nous fîmes deux voyages : à Bruxelles où nous allions visiter une de
ses clientes Marie France que nous ne trouvâmes pas, puis à Kogenheim en Alsace
où Paul avait fait les vendanges l’année d’avant. Une fête de la bière nous y
réunit avec ses anciens compagnons de vendanges. À Bruxelles, nous dormîmes par
terre, sur le palier de cette cliente absente, comme des chiens. Un policier
vint nous déloger en pleine nuit.
E 89 : Mon domicile avant Danzas : Ayant fini Sup, j’allais habiter chez Dominique
Soinnard Rue Eugène Carrière à Montmartre. Nous allions parfois dormir chez
Jean Baptiste Desfray, au Square de la Bièvre à Massy Palaiseau. Je passais
alors plus de trois mois en Espagne, avec l’aventure Clarabelle de cette M Z
verte, de la 2 CV Charleston de Jose Palmero del Pozo marié avec Inma ma
cousine, et retournais sur Paris, revenu chez mes parents y payer les dettes du
voyage en 1980. Ni Inma, ni Carlitos, ni Jose Palmero ne voulurent rembourser
les frais d’essence. Ils décèdent un peu plus tard tous les trois.
E 90 prolonge le E 89 : Mon domicile après Danzas :
Je m’établis au 30 Avenue Madon près du Moulin de Viry – Chatillon. J’y restai
un an, jusqu’à me voir hébergé au centre A F P A de Stains. Au sortir de l’ A F
P A, le 109 berges fut mis à mon nom. Nous dûmes payer une forte somme en pots
de vins au gérant qui partait à la retraite afin qu’il m’adjuge l’appartement.
En cette époque, 3 500 francs étaient une quantité assez fabuleuse.
E 91 prolonge le E 90 : Sitôt le 109 berges mis à mon nom,
je ne tardais pas à faire venir Patricia Malaguarnera habiter avec moi. Nous
restâmes ensembles jusqu’à la séparation causée par les violences du voisin de
pallier. Après mon année de refuge à Valencia, je réintégrais mon domicile
parisien seul. Au décès de mon père, je dus passer quelque mois en Espagne à
nouveau, ( période des électrochocs ) puis je réintégrais Paris à nouveau,
E92 : Le circuit Paul Ricard avec Olivier Souffrice.
Formant partie du groupe de motards que nous étions devenus, de la Rue Eugène
Carrière chez Dominique Soinnard, Olivier roulait en 500 Honda CB quatre
cylindres. Olivier était orphelin de père et travaillait chez Japauto – Honda,
Avenue de la Grande Armée comme mécanicien moto. Nous avions fait un voyage en
groupe avec Corinne Fardet et Daly Benaîssa en Normandie, camper vers Cabourg,
Honfleur, Deauville. En un deuxième voyage nous partîmes Olivier et moi seuls
sur sa Honda à destination de Toulon, sur la Côte d’ Azur au circuit Paul
Ricard où se courait un championnat du monde de moto. Les moteur 2T – deux
temps laissaient une odeur particulièrement délicieuse.
E93 : Un autre voyage m’emmena à Limoges, chez Corinne
Fardet ( Le Palais ) avec elle en passagère. J’en profitais pour rendre visite
à mes élèves les Ribette, aussi à Limoges. Aussi avec Dominique Soinnard, je
traversai la France pour visiter mon père à Clermont – Ferrand, où il était en
cure thermale exactement à Riom. La boîte de vitesse déconnait, il fallait
forcer sur le levier de vitesse tout du long pour éviter que la vitesse ne
saute vers le point mort.
E 94 : Avec Jean Ortel, nous avions une activité
culturelle qui consistait à visiter le Salon de l’enfance du C N I T ( Centre des Nouvelles Industries et
Techniques ) à la Défense chaque année. Nous emmenions des sacs de Pop Corn
fait à la maison avant de partir. Nous nous rendions aussi à la Foire de Paris,
à la Porte de Versailles avec son concours Lépine des inventeurs. A cette
époque des métros Sprague en bois, des distributeurs automatiques sur les quais
me fournissaient des bonbons blancs très durs à l’anis « Abbaye de
Flavigny ». Nous allions à la boulangerie qui faisait l’angle Tolbiac –
Dessous des berges y chercher des « bonbecs » avec des chewing – gums
« Malabars ». Tant d’abus de sucre m’amena à fréquenter le Centre
Dentaire Georges Eastman qui faisait limite avec le Parc de Choisy de mon
enfance. En une des opérations dentaires, vu que je ne voulais pas ouvrir la
bouche, la dentiste me trompa avec un bonbon en plastique qu’elle réussit à coincer
entre mes dents. Il était prévu aussi un appareil dentaire destiné à rectifier
la croissance d’une de mes incisives qui se mettait un peu de travers.
E 95 : Les études en seconde et en première ainsi que la
classe de Terminale en préparation du baccalauréat ont supposé la lecture et
l’étude d’œuvres classiques de la littérature française, telles : Germinal
de Emile Zola ( I S B N nº 2 – 253 – 00422 – 7 aux éditions Le Livre de Poche ),
Le rouge et le noir de Stendhal, Madame Bovary de Gustave Flaubert ( Les
classiques de la civilisation française, de chez Didier Éditeur sans I S B N ),
Dom Juan et le Tartuffe de Molière ( Les classiques Larousse ), ainsi que
« les femmes savantes », Zadig de Voltaire, « l’échange »
de Paul Claudel, Gargantua de Rabelais, la machine infernale de Jean Cocteau,
et d’autres classiques. En littérature anglaise, Of Mice and Men de John
Steinbeck a été lu en entier puis commenté en classe en anglais.
E 96 : La fréquentation de la C R V , association Casa
Regional de Valencia en Paris me permit de voyager à Verdun, voire l’ossuaire
des soldats tombés en 1918, et à Reims capitale de Champagne y visiter la
cathédrale, et au Luxembourg, puis en une autre occasion sur les plages du
débarquement et au Pont de Normandie. Le Pont – Canal de Briare dans le Loiret
ainsi que Les Sept écluses de Sully était déjà connus par moi en d’autres
occasions. A l’occasion, un autre voyage m’amena seul à Nice ( Avenue du Petit
Fabron ) et à Genève où je ne fis que transiter rapidement. La C R V organisait
à la campagne un concours de paellas chaque année, suivie d’une
dégustation : « Las paellas de la amistad ». ( Voir les trois
photos qui suivent ). Le départ se donnait au bar Le Dalou ( un sculpteur de
son métier ayant immortalisé La République ), place de la Nation. Nous passions
aussi quelques jours à boire et danser au Château de la Valette, ancienne
propriété de l’Etat Espagnol. Les autres activités consistaient en des
vernissages de peintures au local du 7 Rue Jean Macé.
En une des « Paella de la Amistad », vinrent
passer la journée Ève Guerrier, Jean François Goubely et Laurent Dutertre. Nous
jouions aux cartes en cette belle journée de printemps. Il y avait des concours
de pétanque.



E 97 : Un autre poste à Clichy : Mr et Mme Gierusz
faisaient partie de l’entreprise, mais le lieu exact ne m’est pas resté en
mémoire. J’y travaillais à installer les boucles magnétiques de comptage des
voitures du parking du Sénat, ainsi qu’à d’autres travaux d’illumination tels
le Théâtre du Châtelet. Travail temporaire. Il y avait un restaurant
d’entreprise, et au fond de l’impasse, un local des Alcooliques Anonymes. Je
passais devant les locaux de L’Oréal chaque matin. Un curieux type dans le
restau de l’entreprise semblait ne manger que des crudités et des fruits,
exclusivement. Il paraissait en conflit ou en désaccord avec ses collègues de
la société qui eux faisaient cadavre alimentaire découpé en tranches, mais il
avait le dernier mot. Tout le temps qu’il mangeait, il observait le silence, n’ouvrant
le feu de la discussion que seulement quand il eut fini. Ça y est je l’ais
retrouvée sur Internet : Société Nouvelle Verger et Delporte, 15 impasse
Dumur à Clichy, 92110. Tel : 01 42 70 10 20. Entre temps, Mr Gierusz avec
qui je travaillais accepta de devenir père de famille, sa femme travaillant au
service du personnel. En son poste, il se mit subitement à chanter la sérénade,
vaincu psychologiquement.
E 98 : À Paris, je fréquentai quelque peu le Centre
International Bouddhique de Paris situé sur les bords du lac inférieur de
Vincennes. Je me rendais à leurs fêtes de la mousson ou du printemps, et aux
fêtes données en l’honneur de l’anniversaire du 14ème Dalaï Lama. Le
Dzong était un de leurs bâtiments. Ils y vendaient de l’artisanat asiatique
pour touristes. Une pagode abritait un grand Bouddha doré et ses mille
baguettes d’encens allumées. Couramment je me rendais devant le centre avec mes
livres et mon camping – gaz y prendre le café ou cuisiner quelque soupe Knorr
près du lac. ( Voir photo ). Une fontaine me permettait d’y faire la vaisselle.
Je fréquentais aussi le restaurant « Himalaya » situé dans le
quartier Pigalle. Le menu était végétarien, et une affiche de la photo du Dalaï
Lama décorait le fond de la pièce. Les légumes étaient à peine identifiables :
une cuisine tibétaine bien curieuse. Ce restau « Himalaya » a fait
faillite, remplacé par un arabe qui nous nourrit Fernando, Frédéric et moi en
2008.

E 99 prolonge le E 98 : Bien plus jeune, à l’époque de
mon B E P C, en classe de 3ème,
je prenais la bicyclette ( une Motoconfort blanche pliable ) et j’allais
étudier à la grotte sur le lac inférieur ( Le Lac Daumesnil ). L’audace de
l’aventure me faisait remonter la petite rivière longeant le chemin dans les
bois jusqu’au lac supérieur, celui de l’hippodrome. J’attrapais des têtards avec
un bocal dans cette petite rivière aménagée. Bien plus tard, nous allions
dormir dans une des îles avec Martine Dupont, collègue et amie de chez Décorève
Posters, les motos étant garées là de l’autre côté de la rivière. Martine était
amoureuse de Richard.
E 100 : Ma toute première calculatrice arriva par le
marché noir. Vers 1974, le voisin de pallier Brahim Boudni, marocain nous la
vendit pour cent francs. Cette somme énorme correspondait aux premières calculatrices
fabriquées. Ma Novus 820 était pourtant très simple. Boudni eut un ennui
matrimonial : il était en train de payer sa femme à crédit à son beau père
au Maroc. Mais pendant l’accouchement, sa femme « si chère » mourut à
l’hôpital. Il se retrouvait veuf avec le reste des traites à payer à son beau
père.
E 101 : Je passai mon permis de conduire pour des
nécessités toutes professionnelles car en effet il fallait emmener les
douaniers visiter les camions, ce qui n’était pas possible avec la moto. De
chez Calberson International, je m’inscrivis donc à l’ auto – école Rue Jeanne
d’Arc, au coin de la Rue Jenner. Je l’obtenais au premier coup. Je me souviens
du jour de l’examen : je plaçais un paquets de papiers et documents sur la
lunette avant, sous le pare brise avec l’air de devoir affirmer :
« D’abord mes papiers à moi. Là. Ici, c’est moi qui commande. Je
conduis ».
E 102 prolonge le E 101 : Au parking du C3, je commençais
par faire une bosse à l’Acadiane Citroën, voiture de service qui dut être réparée.
Je ne devais conduire par la suite que ma propre voiture, la F I A T 126, puis celle
de Patricia, une F I A T 127 et ma camionnette Combi VW blanche. Très
occasionnellement je conduisis sur quelques kilomètres la Renault Supercinq
noire de Fernando. Peut – être aussi la voiture de Hobaya Abasse, ( le malgache
basané ) une 104 Peugeot. Ah oui, j’oubliais : celle de Gumersindo Garcia,
en un voyage qui nous mena de Madrid à Huelva près de Séville, ça devait être
une F I A T Uno Diésel. Je lui cassai un rétroviseur en croisant de trop près
une voiture de face. A l’époque de l’ A F P A, je fus sur le point d’acheter
une Audi 100 d’occasion.
E 103 : Mes plus longs kilométrages ont été parcourus
avec les MZ. Mettant bout à bout mes nombreux voyages sur l’Espagne et ceux à
Fontainebleau, à Flers de l’Orne, à Deauville, à Biarritz, à Nice, Londres,
Amsterdam, Kogenheim, et Clermont Ferrand, à Gibraltar ( deux ou trois fois )
les motos successives toutes du même modèle devaient totaliser environ cent
cinquante mille kilomètres. Soit quatre fois le tour du monde qui ne mesure que
40 000 km de circonférence.
E 104 prolonge le E 103 : Cette distance inclut au
kilométrage les nombreux trajets Paris – Rungis, Viry - Rungis, Stains – Paris,
puis de Paray – Vieille – Poste où habitaient les parents de Patricia ( Angelo et
« la grosse » au 117 Rue Marcel Ouvrier ) à Paris. J’allais aussi
souvent chercher Brigitte Binisti à Ivry – sur – Seine à son domicile et la
raccompagner le soir. Chez Calberson nous étaient versées des indemnités
kilométriques de l’ordre de 10 centimes
( de franc français ) du kilomètre. Ah, j’oubliais : mes parcours
de coursier chez Liaisons Courses s’y incluent ( Environ 150 km à 200 km par
jour travaillé ).
( Je roulais comme coursier avec une caisse à viande en
aluminium fichée en position transversale sur mon porte – bagages arrière ). Sur
le réservoir, je plaçais une sacoche – réservoir noire. Je ne compte pas mes
trajets quotidiens pour me rendre aux Francs Bourgeois ou au Lycée Raspail.
E 105 prolongeant le E 104 : Je conduisis aussi le 125 cm3 D T M X de Dominique
Soinnard, le Yamaha 500 X T monocylindre de Jean Baptiste Desfray, la 250 MZ de
Michel Lesturgeon, et un peu le 500 Four d’Olivier Souffrice, outre la toute
première Ducati 50 cc de Fernando sur laquelle je fis mes premiers tours de
roue motorisée à Massarrochos. Antérieurement, avec Jean Ortel, nous volions le
Vélosolex du curé, faisions un tour et le remettions bien en place.
E 106 prolongeant le E 103 : Soit un kilométrage total
parcouru : des paragraphes 1 à 33 qui suivent.
1 - 150 000 km à moto M Z ( M otorradwek Z schopau,
Zschopau étant une ville de l’ Allemagne de l’ Est - D D R = Deutsch
Democratic Republic = Allemagne de l’ Est ) – Au compteur 150 000 km en totalisant
mes trois ou quatre motos identiques rouges.

2 - 50 000 km à Mobylette : mes « bleues »
de 49,9 cm3, le Solex avec son moteur à galet sur la roue avant, et
la Peugeot 103 que m’avait vendu Paul Henri Barthet.
3 - 120 000 km en train à aller et venir de Valencia à
Paris ( 40 fois x 3 000 km ) Nous allions toujours en wagon – lit par Limoges et
Toulouse. La correspondance se faisait à Port Bou ou à Cerbère dans les
Pirénées Orientales. La douane se passait à pied, avec un contrôle des bagages fouillés.
Après un petit déjeuner, il fallait ensuite prendre sur le trajet espagnol le
train Talgo ou Mare Nostrum. Le Talgo avait un bar cafeteria à bord.
4 - 10 000 km à vélo en tout si ce n’est pas 20 000 km. Une
des randonnées vélo nous amena en camp de vacances S A T vers Revel ou Mazamet,
et aux ramparts de Carcassonne. En trois jours nous avions parcouru 200 km,
partant de Saint Ferréol. Nous avions emmené les tentes de camping, ça va de
soi.
5 - 7 500 km à pied à la résidence San Lorenzo étalés sur 4
ans ( 5 km par jour x 1 500 jours ). 2 x 1,5 km pour aller au métro, puis les
distances couvertes dans la ville s’ajoutent.
6 - Quelques autres 60 000 km à pied de toute mon
existence. 4 km soit une heure de marche par jour x 365 jours x 40 ans = 60 000
km
7 - 30 000 km à métro RATP ( Régie Autonome des Transports
Parisiens ) en tout ( 10 km de Place d’Italie à Bastille x 2 x 300 jours x 4
ans aux Francs Bourgeois, plus les samedis et les dimanches et les trajets R E
R ) sur Paris
8 - 10 000 km en bus, dont principalement le 27 ligne
pilote, allant souvent au quartier latin depuis l’église Jeanne d’Arc, ou
simplement me rendant au métro Place d’Italie, ou au centre commercial Galaxie
( devenu « Italie 2 » ). Parfois j’allais jusqu’au terminus de Saint
Lazare, et j’en revenais après un croissant à « La brioche dorée ».
Des milliers de fois j’ais pris ce 27, du fait de ma carte orange ou de ma
carte Emeraude de la Mairie qui me concédait les transports gratuits.
9 - 3 000 km pour mes colonies de vacances – Allers et
retour à Murat probablement dans le Cantal, puis à Saint Ferréol
dans le bassin aquitain et auparavant à Lisieux en Normandie. A Lisieux
je commis une bévue de bas – âge. Je pariais que je pouvais soulever un des
camarades. Celui – ci soulevé retomba de si haut qu’il faillit se fendre le
crâne.
10 - 12 000 km en avion ( 4 allers et retours sur l’Espagne
– Un passage en escale à Barcelone, puis Roquetas de Mar en voyage avec la IMSERSO et Valencia deux
fois de plus avec Fernando Sorni pour aller visiter ma mère ou aller la
chercher pour la rapatrier depuis Broca Paris jusqu’à Carlet Valencia )
11 - 3 000 km pour aller à Dublin et en revenir en
traversant tout le pays irlandais par le pays de Galles. De Dieppe ou du Havre,
je débarquais à Rosslare, près de Cork. Au retour je connus Angela Fergusson.
Nous partagions une bière au Pub avant que je n’embarque. Nous échangions nos
écharpes, la mienne en tricolore contre la sienne blanche avec des fils d’or. Plus
avant, elle déménagea sur Londres, où nous continuions d’échanger des
courriers.
12 - Le métro à Valencia Massamagrell de 50 km x 300 jours x
4 ans = 6 000 km comprenant mes 10 stages suivis pendant mon séjour à la
résidence. Au début j’étais émerveillé de voir les commerces qui s’étalaient
vers Alboraia, puis plus avant, les godasses de sport et les téléphones des
autres usagers avaient raison de ma patience. Les blousons de cuir et les blues
– jeans me mettaient aussi hors de moi. Vers la fin, je m’occupais à répéter et
à rabâcher la liste des 193 pays de l’ O
N U sur la Casio dictionnaire bilingue en son fichier « sin formato ».
13 - Le trajet en métro à Carlet résidence maternelle depuis
Massamagrell de 100 fois x 120 km = 12 000 km. Il y avait 1 km aller puis 1 km
au retour à pied de la gare de Carlet jusqu’à la résidence maternelle. Plus 3
km à Massamagrell à pied. Le métro parcourait bien plus des 120 km aller et
retour. Outre la traductrice Casio, je passais le plus clair de mon temps à
regarder le vert feuillage des arbres, des orangers, des kakis ( plaqueminier
).
14 - 15 fois 150 km pour me rendre à Alzira à 60 km au sud
de Valencia y visiter ma mère mourante à l’hôpital. J’avais Métro + Train RENFE + Bus. Mon état d’esprit
devant l’agonie de ma mère était des plus dramatiques. Inma m’accompagna deux
fois la visiter. Nous allions fumer et prendre le café à l’hôpital sur le
trottoir en face de la porte. A la cafeteria j’allais prendre une table à y
manger mon sandwich à la mortadelle pas chère qui me dégoutait, ou alors celui au
thon.
15 - 9 000 km en voiture avec Fernando Sorni et Paco Sorni
Alos. Un retour sur Valencia avec Fernando ( 1500 km ), un retour sur Valencia
avec Paco et Santiago ( 1500 km ), puis deux allers et retour de 3 000 km
chacun.
16 - 10 000 km avec la F I A T 126 ( Nice et les Alpes ) et autant avec le
Combi VW aménagé. Avec la F I A T je commençais par me rendre à Genève en
escale éclair. De là je continuais vers Sallanches visiter Ortel qui était
moniteur de ski. Entre temps j’avais remplacé l’embrayage dans la neige sur une
route. Je continuais jusqu’à Nice où m’attendaient Jean – Claude Boireau et
Marinette Malaguarnera la sœur de Patricia. Là j’avais laissé la moto en mon
voyage antérieur, et je la chargeais sur la F I A T en la galerie, sur le toit.
À mon retour sur Paris, je retrouvais Patricia demi congelée dans le noir car
elle ne savait même pas allumer le chauffage.
17 - 4 000 km avec la 2CV Charleston de Jose Palmero del
Pozo et Inma Sorni Alos. En ce très long voyage, je commençais par doubler une
moto 125 MZ verte bien chargée, dont les passagers français acceptent de boire
un coup un peu plus loin. Jean Claude et Claudine Séguinau faisaient un long
voyage, prévoyant de descendre par Gibraltar sur le Maghreb, puis de remonter
par la Sicile. Nous faisons la route ensemble jusqu’à Granada où ils
s’arrêtent. Le rendez – vous est fixé à Gibraltar, mais entre temps ils cassent
leur moto renversée au Portugal ( près de Seville ). Jean Claude et moi partons
la chercher. Nous faisons de la mécanique au camping San Roque, car ma moto
avait des problèmes d’allumage, et la leur un problème de châssis. (( Plus tard
je découvre la problème de ma MZ : la gaine du câble joignant la dynamo à
la batterie était dénudée de son plastique usé ce qui faisait un coupe –
circuit ou masse )). Nous remontons comme nous pouvons jusqu’à Valencia. Là,
entrent en course Jose Palmero del Pozo, son épouse Inma Sorni Alos ma cousine
et Carlitos frère de Inma. Ils laissent leur chatte Miss seule à l’appartement
de la rue Maldonado, car il est question de remonter en Deux chevaux sur Paris
aller leur chercher un châssis de MZ. Ils attendent, les vendéens chez moi à
Valencia, Calle Islas Canarias nº 30 ( puerta 10, je crois au 3ème
étage ). Lui jouait de l’accordéon, et elle faisait du tricot. Sur Paris, nous
troquons un châssis contre une bouteille de Brandy, mauvaise imitation
espagnole du Cognac français. Nous y volons une galerie de voiture pour mettre
le châssis de moto dessus. Inma vole chez un épicier arabe sur la route une
bouteille de vrai Cognac Fine Napoléon. À la frontière, en une terrasse nous
partons sans payer, en courant vers la voiture. Rentrant de Paris, nous avons
oublié mon chien Tommy à Barcelone chez Fernando Margareto Layunta qui nous
hébergea au Paseo Valldaura, ce qui occasionne 700 km supplémentaires. Nous
livrons le châssis, remontons leur moto et ils continuent leur périple par le
Maroc jusqu’en Sicile. Entre temps, j’ais laissé mes sacoches moto déposées au
camping San Roque, que je récupère l’année suivante. Je roulais en permanence
avec une bonne sacoche – réservoir noire.
18 - Mes 1000 ou 2 000 km avec l’ancien train F E V E ou
Ferrocarriles Españoles de Vía Estrecha ( Le MetroValencia d’autrefois
désservait aussi le village de Massarrochos ) et mes trajets en Tramway du
temps de Franco. En chacune de mes vacances, nous allions et venions au centre
ville puis à la plage. Maman nous emmenait parfois Fernando Sorni et moi dans
les profondeurs du port y faire un voyage touristique avec les « golondrinas »
( bateaux portuaires pour touristes ) qui nous emmenaient loin jusqu’à la jetée
de l’époque. Nous passions entre les élevages de moules qui flottaient dans le
port. Mon père se laissait flotter, couché sur le dos dans l’eau. Il fallait
aussi aller et venir jusqu’à Massarrochos et Alfara del Patriarca en train.
Insérer ici la photo du petit train vert.
19 - Mes 500 km pour aller à Folkestone chez Jean François,
aller et retour par le Shuttle, canal sous la Manche. Il travaillait sur la
côte anglaise où il se rendait chaque semaine, ignorant la statue de Wlliam
Harvey que je lui fais découvrir : le découvreur britannique de la
fonction du cœur.
20 - Mes 2 000 km pour aller trois fois depuis Paris au
château du Saulier près de Chasseneuil. Les deux premières fois j’allais en
voiture avec Jean François Goubely Al Ateen qui allait partir en tourisme
visiter les glaciers d’Argentine et l’Antarctique en bateau. Il était tout
content : « Je pars enculer les pingouins ». Après un « Pêtard »
de drogue dans les chiottes de la station service, il se distingue. « Et
tu sais pourquoi je t’emmène avec moi ? … C’est au cas où je trouve pas de
pingouins ». Goubely passait son temps sur la route, et ne fumait pas de
tabac : que des pêtards de hachiche ( cannabis ). Il le paye cher d’un
cancer à la gorge dès mon départ. Il se fait opérer. La troisième fois, en l’an
2000, je me rendais au château à Mobylette. Je continuais mon voyage jusqu’à
Bort – Les – Orgues chez une amie de ma mère, épouse d’un franc maçon Manuel
décédé en 1992 et mère d’un chef d’entreprise Bruno Lauzier qui m’écrit en
2010.

21 - Mes 500 km aller et retour à Sarreguemines, frontière
belge – Stage AFPA. Nous allons en car depuis Stains, et rentrons le jour même
après la visite de l’usine de montage Citroën. 20 participants à ce tourisme
industriel.
22 - Mes 500 km de voyage à Tours avec Fabienne durant mon
stage A F P A, avec son avortement à la clé au cours de cette escapade. Voir le
récit dramatique quatre ou cinq pages plus loin. E XYZ ?
23 - Mes 2 500 km avec la C R V ( Le Luxembourg après Reims
et Verdun – La Normandie et les plages du débarquement – Le château de la
Valette ). Nous allions toujours en car. Parfois une cassette passait des
blagues humoristiques en espagnol dans le haut – parleur. Voir photo faite au Luxembourg qui
suit :

24 - 1000 km de mes deux voyages en train à Auxerre dans l’
Yonne chez les Buttée, Albert et Jacqueline. Ils avaient en outre une maison de
campagne proche à Jarry ou La Croix Jarry. Albert avait eu les oreillons en bas
– âge, ce qui l’empêchait d’avoir des enfants. Chaque midi il parlait de sa
déportation en Allemagne et des allemands.
25 - Mes 500 km pour aller deux fois à Aillant sur Milleron
chez les parents de Ortel. « Les Bélinières » se nommait le hameau.
Mes parents avaient dû payer mon séjour. Nous allions à la ferme chercher le
lait à bicyclette. La maman préparait des yaourts dans une yaourtière avec un
ferment lactique. Il fallait aussi couper du bois de chauffage. La mère de
Jean, Pierrette me demande ce que je pense de sa cuisine. « C’est
mangeable » que je lui réponds. Alors Jean entre en furie et il s’ensuit
une folle poursuite dans le jardin qui se termine en prises de judo. Nous
avions notre chambre à l’étage, là ou nous jouions au Monopoly avec Jacques et
Joël. J’y découvris le disque Opéra Rock « La Révolution Française ».

26 - Mon voyage à Salornay – sur – Guye – Chalons sur Saône
en train à la colonie de vacances. Ayant échoué à mon baccalauréat, je me
rendais en retard à cette colonie, y allant seul en train. Retour en car avec
les gosses
27 - Mon voyage à Huelva, passant par Madrid, de 2 000 km
avec la voiture de Gumersindo García et retour en train par Seville. Le train
nous emmène à Madrid où nous passons la nuit. De là, Gumersindo essaye de
conduire, mais il abandonne et me passe les clés de la voiture. Nous arrivons à
Huelva et sur place, il me prêtait la voiture. Il était commerçant grossiste en
farine de blé et huiles et sel pour la confection des traditionnels beignets
consommés à Madrid ( churros ).
28 - Mon voyage chez Valérie Oertlib ( amie de l’ Eau Vive )
en Bretagne, j’allais lui ouvrir son robinet de flotte, son robinet d’eau au
compteur ainsi inauguré. Elle me paya l’aller, puis je rentrais seul sur Paris.
Nous prîmes le TGV. En soirée, au coin du feu, Valérie me racontait avec
insistance comment son fils agent de sécurité en ayant marre de sa mère avait
fini par l’attacher et la mener chez le psychiatre, les pieds et les poings
liés. Valérie était comédienne soit artiste de cinéma.
29 - Mon voyage à Dinan chez Mme Lucas, dans les Côtes
d’Armor. J’y occupais la grande chambre du sous – sol. La fille de Mme Lucas
était venue passer quelques jours. Je prenais quelque revue érotique. Le
Jerzual était un lieu de promenade très touristique. En ce rude hiver, la
Rance, rivière locale gela complètement. Une épaisse couche de glace recouvrit
toute la surface. Nous faisions des promenades sur les petites routes locales à
travers bois, pour tomber sur une auberge de jeunesse où je partageais une
partie d’échecs. Madame Lucas la propriétaire et notre hôte décéda peu après.
Non seulement ma mère était « dame de compagnie » mais en plus elle
voulait nous facturer l’hébergement. La ville de Dinan garde encore ses murailles
médiévales.
Insérer ici deux cartes postales du Jerzual et de la
Rance. À scanner.
30 - Mon aller et retour à Ibiza, en bateau avec Angel
Palanca. J’y connus une jeune belge de Namur, Patricia Carrier avec qui
j’échangeai longtemps du courrier. Angel connut sur le bateau une jeune
française Françoise qui venait de France à mobylette, avec sa toile de tente
crasseuse et trouée. Il la sauta, ce qui leur fit le plus grand bien à tous
deux. Angel trafiquait avec de la cocaïne et avec du hachiche, qui déjà me
repoussait. En ces vacances d’été, je devais être en stage A F P A. Si ma
mémoire est bonne, j’étais venu cette année là par Madrid y visiter le musée
« El Prado » et l’Escorial, le « Valle de los Caidos » et
la tombe de Franco, et j’avais connu cette année là Eleonor Gil de Ramales
Iranzo ou Leonor avec qui je flirtais, la soustrayant à mon cousin Carlos.
Leonor s’était ainsi sauvée du Sida qu’allait lui transmettre Carlos. Son
aventure avec moi la sauva du chemin de l’héroïne que prenaient Carlitos et sa
sœur Inma. Leonor, chilienne était la sœur de Patricia Gil mariée avec mon
cousin Paco Sorni Alos, propriétaire du restaurant Patos. Je la sautais bien
vaillamment à l’appartement Balcon del Levante où nous avions fait une fête à
base de viandes. Récemment sorti de chez Calberson, mes instincts étaient bien
sanguinaires. Cette année là, je chutais à moto avec Javier Sorni mon cousin en
passager, juste en quittant le village de Massarrochos vers le « Camino
hondo de Borboto ». J’avais laissé la béquille latérale ( gauche ) sortie,
qui accrocha au premier virage. J’en garde une assez grande cicatrice
circulaire au genou gauche.
31 - Mon voyage très jeune dans la campagne de Tours, là où
j’appris à monter à bicyclette. Chez des voisins, Mr et Mme Bégout ou plutôt
leur famille. La maison de campagne était bien misérable, chez des cutéreux. À
l’aller et au retour en train, je longeai une voie ferrée qui était construite
sur le principe du train sur paliers magnétiques, projet qui ne dura pas. Les
pilonnes et la voie surélevée se détachaient sur l’horizon.
32 – Mes 600 km à Albarracin : Par trois fois j’allais
de Valencia à Albarracin, un petit village pittoresque fiché dans une
montagne : Les Montes Universales près de Teruel. Mon oncle l’avocat Pepe
Cristobal Sorni Bailach nous y emmenait avec sa SEAT 1500 blanche biphare. Nous
pêchions le crabe de montagne avec un filet ou piège panier en métal. Une des
fois, je m’y rendis seul, avec presque la totalité du trajet en stop. Je
dormais dans mon hamac en une des îles de la rivière.
33 – 30 x 100 km. Une trentaine de fois je me rendis à
Alfara de Algimia, où ma tante Palmira Sorni Bailach sœur de ma mère passait
l’été. J’y fréquentais mes quatre cousines ses filles, et leurs gosses mes
neveux et nièces. Parfois, j’y allais en voiture avec mes oncles, mais le plus
souvent avec un autocar désigné comme « Expreso Segorbina ». Là bas
nous allions nous baigner dans les canaux d’irrigation, puis nous montions à
« La hermita » au sommet de la colline. Il y avait des arbres donnant
des gousses noires de caroube. Le caroubier peut se consommer ainsi cru, mais
habituellement il se destine à l’alimentation du bétail. La poudre de caroube
se vend à Paris, d’importation, par exemple chez Camomille Place Jeanne d’Arc.

A Alafara de Algimia – Mon chien et puis Palmira Sorni de
dos.
E 107 : Soit un total en 51 ans de : 500 000
kilomètres soit plus de 12 fois le tour du globe. Ma moyenne est de 10 000 km
par an sur 50 ans. C’est pharamineux. Une moyenne globale de 27 km par jour
depuis ma naissance. 27 km = 3 x 3 x 3
km.
E 108 : A narrer : mon régime au volant. Au début,
en Sup et à la rue Eugène Carrière chez Dominique Soinnard, je buvais quelque
bière, et même plus d’une. Néanmoins, par la suite, surtout après le stage A F
P A, je commençais de me mettre au café. Les longs trajets à moto sur Valencia,
seul, se faisaient au café. En Espagne, c’était le « Café Solo ». Je
devins abstinent. Les dernières bières de mes habitudes furent bues avec Frédo,
quand je l’invitais à dîner au 109 berges. La toute dernière bière de ma vie
fut bue au « Bar Aduana », dans l’enceinte du port de Valencia, en
2005. Avec ce régime de sobriété, je n’eus jamais d’accident aucun. Sur 150 000
km, je ne fis qu’une seule et unique glissade toute banale et sans conséquence
alors que je roulais coursier pour Liaisons Courses, en une bretelle de
périphérique et qu’il pleuvait. Je n’eus jamais de PV Procès Verbal non plus, à
part une contredanse pour mauvais stationnement avec le Combi VW ( que mes
parents payèrent ) et une contredanse avec la Mobylette près de la pagode du
Bouddha pour un feu rouge qui en fait n’a jamais existé en cette limite
d’interdiction de pénétrer les bois. ( Route de Saint Louis ).
E 109 : A narrer : Fréquentation du Centre Culturel
Suédois de Paris – 11 Rue de Payenne dans le Marais. Les restaurants
scandinaves de Paris. Je m’intéressais aux Vikings, du fait de leur attraction.
Le Centre Culturel suédois proposait des dépliants de documentation sur la
Suède en réception, desquels je me servis largement. Chacun traitait d’un thème
particulier relatif au pays. Je me rendis à des expositions photo et à des
conférences telles celle centrée sur « Anta le Lapon ». C’était une
distraction culturelle. Sur les Champs Elysées, je fréquentais
« Ollson’s » de la Rue Pierre Charon qui déménagea Rue de la Pompe,
puis bien – sûr l’inévitable « Flora Danica », restaurant Danois qui
vendait à emporter des mets suédois, dont le pain craquant suédois en forme de
disque avec un trou au milieu, et le pain plus tendre au cumin. Le fond de la
salle servait du renne cuisiné, mais j’évitais, en bon végétarien cet animal
des neiges autant que les autres. Je me réservais des salades et du poisson
froid. Parfois j’invitais ma mère à dîner chez ces scandinaves.
E 110 prolongeant le E 109 : De là, je commençais de prendre
contact sur l’Avenue avec le Drugstore
Publicis ( chaîne qui fit faillite après mon départ ) puis avec Le Piano Bar de
cinq étages aux « Cascades Elysées » dans lequel chantait Joy, plus
bas sur l’Avenue la plus belle du monde. Le mouvement des lèvres de la
chanteuse m’inspira pour dessiner les premiers croquis de lettres grecques puis
latinisées. En cette période, je cultivais quelques dizaines de tournesols sur
mon balcon du 109 berges. Je rentrais à bicyclette tard dans la nuit. Parfois,
le personnel du Piano Bar me crevait mes pneus de vélo. Alors je rentrais à
pied, arrivant à l’aube, ou alors je réparais à la pompe Boulevard Raspail.
E 111 : Par hasard, un soir je rencontrais sur les Champs
Elysées un camarade de classe Frédéric Driès de la Domrémy, avec qui je devais
par la suite beaucoup échanger. En 2012, nous nous écrivons encore
régulièrement.

E 112 A : Une de mes études étalée sur plusieurs années fut
celle de Beaubourg, ou le C N A C Centre National d’Art et de Culture, ou
Centre Georges Pompidou. La B P I ou Bibliothèque Publique d’Information était
gratuite, surmontée au dernier étage par une cafétéria ( Eliance ). Elle
n’était, cette BPI avant les travaux, pas encore informatisée. J’y cherchais
toutes sortes de livres, jusqu’à ce que je tombe en diététique sur le Jeûne par
Herbert Mac Golfin Shelton vers 1984. Je m’étais cantonné jusque là presque
exclusivement sur l’anatomie humaine, puis la physiologie, outre l’encyclopédie
R I A L P espagnole publiée par l’Opus Dei, et quelque étude sur le calendrier
julien. Je passais des milliers d’heures en salle de lecture. Beaubourg recense
quelque 400 000 livres. En une après – midi, je communiquais à un étudiant en
biochimie l’existence de Shelton avec son livre du « Courrier du
Livre » à l’appui, puis comme par magie, La Théorie Anthropique me tomba
dans les mains : subitement le Soleil avait trouvé sa limite
existentielle, et la Terre était en danger.
E 112 A se continue en cet E 112 B - Pour aller à Beaubourg, je prenais
le bus 27 jusqu’à Saint Michel, et de là j’allais à pied. Je passais à la Tour
Saint Jacques, début des pérégrinations du Chemin de Santiago et devant la
cathédrale Notre Dame de Paris, majestueusement plantée sur son parvis. Par la
suite, je me rendais quelquefois au 21 Rue de Seine, à la librairie « Le
courrier du livre » y chercher tous les ouvrages hygiénistes que je
trouvais comme non ésotériques. Dr Edward Hooker Dewey, Albert Mosséri libanais,
Helmut Lutzner, Dr Berthellot, et Alain Saury suivirent cette merveilleuse
découverte du Jeûne. Il ne leur manque qu’une dimension politique ajoutée de
quelques intuitions mathématiques, mais on ne peut pas tout demander à des
médecins cantonnés à la stricte biologie restrictive. Il leur aurait manqué
aussi l’étymologie des chiffres, puis celle des lettres, etc. Non, ils ne
pouvaient ni comprendre le monde, ni le refaire. En 2012, je me recense comme
possédant dix ouvrages sur le thème exclusif du Jeûne. Neuf sont en français.
E 113 : Il reste comme souvenir d’étudiant la
fréquentation du Wimpy, un fast – food situé en 1978 à l’angle de la Rue
Soufflot et du Boulevard Saint Michel. Nous allions avec les motos, puis je
retournais avec mes notes. Ce Wimpy laissa la place à un Free Time puis enfin
au Mac Donald.
E 114 : Reste à narrer : Comment je remplaçais un
dimanche et un second jour de travail le faisceau électrique complet de la MZ
125 de Martine Wanstock de Grigny. Electicien – moto me rapporta une petite
somme. Martine avait un frère handicapé, et devint maman.
E 115 : Reste à intégrer au texte : Chez MV2 Maxiphone
Montrouge, nos noms commerciaux se confondaient. Nous nous appelions tous
« Dominique Leroy ». Le questionnaire du panel S N C F commença des
milliers de fois ainsi : « Bonjour Madame, ou Monsieur, je suis
Dominique Leroy, enquêteur chez MV2. Au cours des trois derniers mois,
avez-vous fait au moins un déplacement de plus de 100 kilomètres ? ».
Le tout premier jour, comme erreur prémonitoire de cet ordinateur qui devait
être installé à la fin, j’essayais dans ma panique de débutant de composer le
numéro d’appel de l’abonné sur le pavé numérique de l’ordinateur destiné à
recueillir les réponses. Mon code enquêteur devait être S 18, avec S comme Serrano. Collègues :
Anne Majetic – Laetitia Tardivel
E 116 : Comme le titre de ce fichier vient de changer,
devenant une biographie, je vais donc me défouler à raconter mes 400 coups ou
des épisodes non strictement professionnels mais plutôt privés.
E 117 : Du temps de Raspail, ou même en Terminale C, nous
fréquentions le Pub Saint Germain, ou « Parrot’s Tavern » ( la
taverne du perroquet ) dans une rue du quartier latin qui donnait sur la Place
de l’Odéon. Consulter le plan des rues : Rue XY à déterminer. ( rue de
l’ancienne comédie, semble – t – il ). À proximité immédiate se trouve le
Procope, soit le plus ancien de tous les restaurants de Paris. Au Pub Saint
Germain, nous allions en groupe boire des bières belges comme la Gueuse. Une
pinte ou une demie pinte nous remplissaient d’un demi – litre ou d’un litre.
J’y appréciais aussi cette bière noire irlandaise à l’aspect café dont le nom
ne me revient pas. Ah oui, j’y suis, la Guiness. L’avantage de ce Pub outre ses
salons installés en sous – sol, en caves aménagées est de ne jamais fermer.
Même aux heures les plus imbues de la nuit ou de l’aube, ils sont ouverts. Ils
disposaient de 300 marques de bières. En l’an 2000, je m’y rendais vers 3 h car
téléphonant à Dominique Ledoux vers 02 h du matin, celle mi me
rétorquait : « Si tu amènes des cigarettes, viens, sinon ne vient
pas ». Dominique garda un de mes plus précieux livres que je lui avais
prêté : « Les héros de la médecine ». Elle le donna à son père
mèdecin et je ne le revis jamais. Éditions je ne sais quoi, rue du Bac dans la
bas de la rue de Rennes.
E 118 A : Du temps de Calberson, une nuit, à un festival de
musique bretonne au son de la cornemuse, quelque part en banlieue sud, je
connus Fabienne Baetens. Ses amis et famille dansaient alors qu’elle reposait
seule sur la pelouse. Encouragé par les présences de Michel Lesturgeon et de
Hobaya Abasse, j’abordais la jeune femme qui commença par me mentir :
« Je ne danse pas parce que je suis handicapée ». Avec obstination
j’arrivais à lui tirer son adresse, et le surlendemain je passais la chercher
chez ses parents. Les parents Baetens étaient concierges du sous préfet de
Corbeil. Ils avaient donc un appartement de fonctions, une grande maison
financée par la sous – préfecture. En plus, le père était jardinier. Fabienne
vint dîner à la maison, amena un gâteau au citron, et resta dormir cette nuit –
là à Viry Chatillon où j’habitais au 30 Avenue Madon. La relation s’établit
rapidement.
E 118 B prolonge le E 118 A - Fabienne n’avait pas d’études et ne travaillait
pas. Je dus la mener à des agences d’intérim, par lesquelles elle se trouva des
postes, entre autres celui de conditionneuse dans une usine de détergents. Le
soir, elle avait les mains attaquées par sa poudre – lessive de toute la
journée. Fabienne dormait souvent chez moi. Il suffisait que je téléphone et
elle accourait à la gare de Viry où j’allais la chercher à moto. Nous partîmes
camper souvent à Fontainebleau, et partagions beaucoup. La grotte « le
velu » était une de nos destinations. Ensembles nous faisions mes courses
au Moulin de Viry, exactement au Super M Monoprix y charger la moto à bloc.
Elle se lia d’amitié avec Martine Wanstock connue à un bar du carrefour de la
pyramide de Juvisy. Elle venait aussi dormir à mon centre A F P A de Stains,
quoique cela était interdit.
E 119 : Puis un jour, alors que nous étions en voyage à
moto près de Tours dans une pauvre maison de campagne de sa famille y passer
des vacances, nous nous rendîmes compte qu’elle était enceinte. Nous dûmes
consulter avec une assistante sociale de la ville proche. J’hésitais un peu sur
la décision, mais alors il fallut lui payer l’avortement. Le délai était
limite, je crois que de huit semaines sur dix. Cela me fit mal et me coûta un
mois de salaire à payer le médecin. L’ I V G ou Interruption Volontaire de
Grossesse se fit par aspiration du fœtus. Après coup, je la dédommageais à la
brancher sur un stage de formation au secrétariat, ce qui devint son métier,
son gagne – pain. Plus tard, Fabienne eut une fille Nouria avec un autre père,
dont elle me parla. Elle l’élevait seule. En une des premières périodes, elle
se laissait prêter une caravane mise dans un champ par sa sœur, ( Sarah, je
crois ) dans un champ de Boussy – Saint – Antoine dans l’Essonne. Nous y
passions des fins de semaine à demi nus.
E120 prolongeant le E119 : Peu après l’avortement, j’invitais
un camarade de stage AFPA, Christian Vella partager un repas chez les parents
de Fabienne. La scène fut horrible, elle m’attrapait par les cheveux et me
jetant à terre, elle refusait absolument que je m’en aille. Christian attendait
sur sa moto dans la nuit noire.
E 121 prolongeant le E 119 : Depuis, les enfants me répugnent.
Ce sont les couilles des autres, le contraire des miennes. Des couilles à peine
grandies de quelques mois ou de quelques années. Très souvent le père est
alcoolique, et la mère a tendance à la drogue. Des couilles des fils
d’ivrognes. La consommation de cadavre alimentaire va toujours bon train, ça va
de soi. Les enfants des animaux, du cadavre pustulent.
E 122 prolongeant le E 119 : Fabienne avait des cheveux d’un
blond vénitien soit à peine un peu rouquine par-dessus sa blondeur. Elle avait,
je crois des taches de rousseur. Elle faisait partie d’une famille nombreuse.
Une de ses sœurs Sarah aménageait un bateau de plaisance à voile garé auprès
d’une péniche, vers Draveil dans le but de parcourir les océans, à faire le
tour du monde. Un de ses frères vendait en « L’hippocampe » (
aquariophilie ou poissons rouges ) à Draveil dans la même banlieue sud. Les
chambres à la sous – préfecture étaient à l’étage. Un soir j’y dormis après un
repas en famille. Fabienne, à Viry Chatillons me fit un soir une colère :
elle voulut me fendre la tête armée d’un
tire – bouchons. Souvent je lui laissais le studio, elle restait dormir
et moi je partais faire ma nuit à Rungis. Quelquefois j’offrais de bons
morceaux de viande du bâtiment V2M de Rungis à la mère de Fabienne. Il me
semble qu’à Viry, nous avions un chat au studio. Je garais ma moto devant la
fenêtre, en un minuscule jardin qui me séparait de la rue. Un voisin assez âgé
à la retraite depuis longtemps me vendit un détendeur pour mon chauffage au
gaz. Puis j’en vins aux mains avec lui pour un motif futile. J’avais acheté ma
grande armoire à linge à l’armée du salut, transportée avec la camionnette
Acadiane de chez Calberson.
E 123 prolongeant le E 119 : Si j’avais eu cet enfant avec
Fabienne, j’aurais eu toutes les peines du monde à l’élever. Je serais devenu
un banal père de famille, et je serais peut – être devenu un forcené de la
bouteille, comme mon père. Il ou elle aurait en 2011 quelque chose comme 28
ans, et il lui aurait fallu un petit frère ou sœur. Je n’aurais pas repris mes
études d’autodidacte, et l’Anthropisme n’aurait jamais vu le jour.
E 124 A : Peu après la mésaventure Fabienne, je renouais
avec Patricia Malaguarnera qui vint s’installer à la maison , comme fuyant de
sa mère tendant à l’obésité, de Paray – Vieille – Poste. Dès le début, je la
prévenais : « C’est momentané ». Nous vivions ensemble jusqu’à
ce que la violence du voisin de pallier qui me défonce la tête ne nous sépare.
Nous avions fait des fiançailles officielles avec bague et chaînette en or de
façon à rassurer nos deux familles. Le repas de fiançailles avait été assez pénible,
un soir d’été dans le jardin de Paray. Camille et Emilienne Fauvet AA étaient
venus à la fête. Quand nous fîmes la rupture, la famille de Patricia s’obstina
à couper très radicalement toute relation.
E 124 B - C’est alors que j’achetais le Combi VW. Entre temps,
un des voyages avorta pour deux raisons : d’une part la voiture de Patou (
Patricia Malaguarnera la sicilienne d’origine ) cassa sur l’autoroute à peine
arrivés à Fontainebleau, dégageant un nuage d’huile brûlée jusqu’au retour
presque impossible, et d’autre part, à peine garés, je fus pris d’une crise
aigüe d’appendicite. Jean Pierre, le frère de Patricia organisa mon
hospitalisation, en une chambre que Angelo le père vint partager avec moi, car
il se faisait opérer d’une hernie causée par le poids des sacs de ciment. Nous
avions donc essayé ou projeté d’aller jusque chez moi à Valencia, et nous
devions faire une partie du chemin avec Jean Claude Boireau le beau frère de
Patricia, de Nice.
E 125 : Le seul concert auquel je sois jamais allé de ma
vie, en dehors des concerts du « Rocking Frog », le groupe dans
lequel chantait Jean – François Goubely. En math sup, Pascal Lenoir m’avait
prêté une cassette de David Bowie : « Ziggy plays guittar. »(
Ziggy Stardust ). Quelques années plus tard, je décidais de me rendre à un
concert de Bowie. A la Porte d’Auteuil. Les bières et les joints allaient bon
train dans l’assistance. Au devant de la scène, la furie agitait les fanes qui
se pressaient de plus en plus près du chanteur. Bowie aux yeux bleus était tout
habillé de bleu clair. Juste au devant de la scène, la barrière n’était pas
assez haute, tant et si bien que les admirateurs se pressant passaient
par-dessus, pour être ramassés derrière. A la sortie, mes pneus étaient crevés.
( La MZ 125 cc ). Je réparais dans la nuit noire car la boîte à outils
contenait y compris des démonte pneus. Ah si, je m’étais rendu avec maman que
j’invitas, à un concert de Luis Llach au Châtelet, bien avant. Le chanteur
catalan m’avait dédicacé un disque 33 tours.
E 126 : Mon engramme vers l’âge de six ou huit ans. Nous
étions à la maison au 2ème étage du 109 dessous des berges bien
avant d’emménager au 3ème. Ce local allait devenir les vestiaires de
chez Cablaccès entreprise. C‘était un soir. Mon père devait avoir bu beaucoup,
car il brandissait a bout de bras un de ses couteaux de marin, et l’orientant
vers ma mère, il lui répétait de se taire. Elle criait et même hurlait, la
fenêtre de la chambre grande ouverte, qu’elle allait se suicider. Il n y avait
qu’un étage de dénivelé plus bas, mais elle criait qu’elle voulait se jeter par
la fenêtre. Lui menaçait de la tuer avec son couteau tendu. Moi, je les
regardais, sans rien dire, complètement impuissant. Tous les deux voulaient la
mort de ma mère. Lui la tuer, et elle se suicider. Vers cette période, quand il
gisait ivre au sol, elle enceinte devait le ramasser avec sa faible corpulence
de femme enceinte. Peu de temps après, ma mère fit une fausse couche. Elle
accoucha à l’hôpital Cochin d un enfant mort né.
E 127A : Mon aventure à jouer les docteurs dans la cour de
récréation de l’école maternelle rue de Domrémy. À cette époque innocente, à
l’âge de 5 ou 6 ans, en une après – midi, je me mis à observer de près le sexe
d’une de mes camarades. Quelle étrange chose ! Comme c’est curieux.
E 127B : « C’est pour écrire ou pour
dessiner ? » que me demande la professeur alors que je lui demandais
un crayon ou un stylo. Je ne sus pas lui répondre, mais aujourd’hui je pourrais
car écrire revient à dessiner des dessins de bouche ( étymologie des lettres ou
Théorie 5 ). Ecrire et dessiner sont la même opération, l’écriture étant un
ensemble de croquis codifiés.
E 128 : Mon opération des verrues plantaires lorsqu’on
m’accompagna à la clinique Ponscarme. Madame Bégout, une voisine qui avait
rapport avec Cablaccès ainsi qu’une blonde jeune femme m’accompagnèrent à la
clinique me faire brûler mes verrues sous les voûtes plantaires, car de fait je
ne pouvais plus marcher. De cet épisode, je ne me souviens de rien d’autre que
du départ.
E 129 : Mon opération chirurgicale de la phimosis à la
clinique Ponscarme. Une visite médicale à l’école Patay diagnostiqua que mon
prépuce était trop serré dans sa peau périphérique, et que plus tard, cela
m’occasionnerait des problèmes. L’opération fut donc décidée et effective. Le
chirurgien me coupa la peau et me la cousu à mon pénis. Je ne me souviens de
rien que d’une pommade, cicatrisante probablement, que je mettais autour de mon
gland : Alphachimotrypsine Sandoz.
E 130 : La coupe que je gagnais au stand de tir à la
kermesse de l’école. J’étais en compétition avec Jean – Louis Bertrand. Nous
étions les deux meilleurs mais il fallait nous départager. Faisant chacun un
dernier carton, je l’emportais et emmenais la coupe « La Domrémy
1975 » que j’ais encore.
E 131 : A la kermesse de fin d’année de l’école Domrémy,
une bande de voyous nous suivent Jean Ortel et moi jusqu’au 3ème
étage, au grand galop. Après le feu d’artifice, une bande s’en prend à nous,
nous menaçant. Une fuite échevelée nous amène jusqu’à mon domicile, au pas de
course. Juste quand nous arrivions au 3ème étage, les poursuivants
renoncent et rebroussent chemin. Ma mère tardait à ouvrir la porte.
E 132 : Le train électrique. Celui que j’achetais au
voisin d’en bas, et celui que je vendais à Jacques Ortel. Mon voisin d’en bas
me vendit « son réseau ferré » dont j’étais très content. Une des
locomotives me posait un problème de connection, motif pour lequel j’accourais
trouver un camarade Martinoïa qui habitait dans ma rue afin qu’il me la soude
de son superbe fer à souder. Le camarade en eut assez de me voir revenir encore
et encore. Puis, ayant grandi, je décidai de vendre le tout, rail, transfo et
matériel roulant au frère de Jean Ortel, soit Jacques.
E 133 A : Mon dépucelage. Le père Barthet était préoccupé
au sujet de son fils Paul – Henri encore puceau. Il nous suggéra d’aller voir
les putes. Au lieu de cela vint l’occasion de Noël 1977 ( ou alors 1976 ou 1978
). La soirée commença chez Raymonde Trouin, une collègue SAT de ma mère qui
avait invité une jeune amie à elle, Josiane. Nous dansions avec Albert et
Jacqueline Buttée aussi de la SAT et Josiane. C’était le soir de Noël. Puis la
soirée se prolongea chez Juan Rodriguez, un voisin proche et famille éloignée.
Dominique Soinnard des Francs Bourgeois était là. Nous étions tous éméchés. Je
courtisais Josiane, ainsi que le faisaient Dominique et Juan ( « El
bolico » ) qui avait pourtant trois enfants de son mariage avec Felicidad
Da Silva portuguaise. La soirée se termina chez mes parents, dans ma chambre
avec Josiane, Dominique et Juan. Dominique, qui avait le blues de Catherine
Letavernier partit à pied poster un télégramme en pleine nuit depuis la poste
du Louvre ( ouverte jour et nuit ) à destination de Catherine à Marseille. Le texte
de son télégramme fut simple : « Je vous aime » ( alors qu’il
la tutoyait ). Juan Rodriguez quitta
aussi les lieux, bien ivre. Je restai donc seul dans ma chambre avec Josiane.
Alors je me dépucelai.
E 133 A se prolonge en cet E 133 B - Ma compagne avait gardé ses bottes,
mais de toute façon j’étais mi – ivre. Ma mère vint frapper à la porte, toute
indignée, colérique. Nous dûmes nous rhabiller très rapidement et prendre la
fuite. Ma mère nous suivit dans la nuit noire alors que je raccompagnais Josiane
qui dormait chez Raymonde à proximité rue de Patay. Ma mère redoublait de cris
et d’insultes. C’est ainsi qu’en ce soir de Noël 1976 je perdis mon pucelage.
Je n’y pris qu’à peine un peu de plaisir. Je ne revis jamais Josiane, je crois
lui avoir téléphoné sans suites le lendemain. La suivante devait être Patricia
Malaguarnera ou alors Fabienne Baetens, après Leonor Gil de Ramales Iranzo,
puis María José Palmero del Pozo. Je sautais aussi une vendéenne ( Véronique
peut – être ) qui était venue rendre visite à Olivier Souffrice rue Eugène
Carrière. Ah oui, j’oubliais Corinne Fardet de Limoges amie de Dominique
Soinnard, amie qui habitait un studio rue des Pyrénées. Mes relations avec
Dominique Ledoux se sont multiplié, mais sans pénétration. Avec Martine Dupont,
la relation s’est limitée à quelques attouchements, de même qu’avec Brigitte
Lebailly de Flers de l’Orne. Jamais, au grand jamais je ne suis allé voir les
putes. Je n’ais jamais payé expressément.
E 134 – Ah oui, j’oubliais : Inma Roig Dalmau parvint à me
céder ses faveurs en date du 6 février 2011. Voir « Journal 19 »
pages 40 et 41. Je ne payais pas expressément cette femme ayant été putain
professionnelle, mais je lui avais offert le café deux fois la semaine pendant
plus d’un an avec condescendance. Avec mon argent de chez Espace Tutelles
gérant les comptes de ma mère, soit mes 10 € ou 20 € par semaine, j’étais
comparativement à Inma, richissime.
E 135 – Ma préhistoire politique remonte à l’époque Décorève.
Je parlais à Barthet le père, de l’autogestion ou socialisme autogestionnaire
qu’il voyait comme une chose impossible. Mon père avait fait la guerre d’
Espagne du côté Républicain. Mon cousin Paco Sorni Alos ayant trouvé un refuge
politique chez moi fuyant du régime franquiste finit de me faire pencher à
gauche. Je me rendais une fois ou deux à la fête de l’huma organisée par le
parti communiste à la Courneuve. Néanmoins je gardais des traditions
profondément chrétiennes du fait de mes deux écoles privées fréquentées tenues
par des frères de l’ordre de Saint Jean Baptiste de la Salle.
E 136 – Mes premières réflexions politiques sérieuses
débutèrent vers 1989 – 90 quand parcourant le Mémo Larousse 1991, j’y
découvrais l’organigramme des Nations Unies. Une question me vint à
l’esprit : « Fast in politics ? ». Comment se comporterait
le jeûne en politique ?. A ce jour, 20 ans après, l’organigramme est
encore en transcription. O1 – O2 – O3. Ma préhistoire politique résidait en un
livre : « L’autogestion » modèle socialiste de Daniel Chauvey. I
S B N nº introuvable – Éditions du seuil – 27 rue Jacob – Paris – Imp. Bussière,
Saint Amand ( Cher ) – D. L. 4ème trim. 1970. Nº 2673.2 ( 1661 ).
E 137 – Alors que je viens de composer la Powerpoint Mondio nº
26 bien avancée, je me souviens comme, étant jeune, je faisais une petite
collection de billets de banque. Je mettais le Cinq francs avec la photo de
Louis Pasteur en un cadre rouge. 1970. Je gardais aussi un Dix francs de
Voltaire. Vers l’époque du Drugstore Publicis, soit vers 1992, je
collectionnais aussi nombre de billets de banque, avant l’ Euro. Un agent de
change hollandais à Saint Michel m’avait vendu les pièces numismatiques. Un
autre agent de change sur les Champs Elysées.
E 138 – Je fais cet hiver 2011 un autre stage au C S I F,
orienté par Patricia Perez Jimeno qui me téléphone un matin de la - bas. Le
stage dure depuis le 15 septembre jusques au 15 novembre. J’y révise les
habituels Word Excel Access, mais surtout j’y apprends à faire une présentation
Powerpoint et à créer un Blog soit une page Web sur le net. Professeur :
Javier Santamans Caballero. La liste des noms de mes camarades de stage figure
en le « journal 29 ( ou 28 ) bibliothèque » page XY. Ma première page
Web s’intitule « elmundio.blogspot.com ». Elle se compose de trois
onglets.
E 139 – Étant jeune sur Paris, je réalisais des tas de
bricolages électriques et électroniques. Je ramassais des postes à lampes dans
la rue, que je réparais. Je montais un réveil électrique à frotteurs métalliques
qui déclenchait mon électrophone préparé au son ou volume à fond.
E 140 – Comme péché gentil, je volais des
lanternes de chantier dans la rue afin de récupérer le matériel. La lanterne
était munie d’une cellule photoélectrique sur son circuit imprimé. Cette
captation de lumière éteignait la lampe durant le jour et la rallumait sitôt la
nuit tombée. Lampes de chantier. Cet effet photoélectrique fut découvert par
Albert Einstein en 1905, ce qui lui valut le Prix Nobel. Ces lampes de chantier
clignotaient.
E 141 – La plus grande de toutes mes haines s’oriente contre
la psychiatrie et par extension contre la médecine. La psychiatrie m’a usé,
enlaidi et fatigué. Chaque fois, elle paralysait mes études.
Mon tout premier contact avec la psychiatrie était un
grand coup de poignard dans le dos que m’adressait ma mère. Lors du décès de
mon père, la question se posa de l’héritage. Jeune et naïf, je ne pensais pas à
cet argent. Mais ma mère, obsédée par le fric s’arrangea en quelques mois pour
tout conserver à son nom. Elle procéda ainsi : de 1 à 19 + 20 A + 20 B + 20 C qui suivent
1 + Au décès, en 1986, elle était en vacances à Zaragoza.
Je l’appelais et lui demandais de rentrer sur Paris. J’allais la chercher à
l’aéroport, où elle me tourna grandement le dos alors que j’étendais les bras
grands ouverts pour l’accueillir à la descente de l’avion.
2 + Arrivée à la maison, chez moi, elle sortit de son sac
un hideux bocal en verre, emballage de cerises à l’eau de vie emplie de
porcheries grasses et bien cuites où la graisse de porc avait figé en blanc.
Elle annonçait la couleur : « Médecine de sanguinaire ». Ecœuré,
je ne goûtais pas cette porcherie.
3 + Elle me décide à faire les funérailles par avion en
cercueil soudé au zinc à destination de Valencia. Elle annonçait encore :
« Ma famille ». Les funérailles auraient très bien pu se faire à
Paris. Le coût du transport du corps à Valencia fut énorme : 23 000 francs
français en 1896.
4 + Arrivés à Valencia ( nous faisons elle et moi le
trajet en train ) il faut réceptionner le corps à Manises, soit à l’aéroport.
Toute sa famille est là, y compris son frère mon oncle le médecin qui avait
acheté mon passeport volé chez moi six mois auparavant par son fils Carlitos
Sorni Alos héroïnomane qui décèdera du Sida. Carlos avait volé mon passeport
chez moi un soir et l’avait vendu à son père le médecin pour s’offrir deux
doses d’héroïne. Prix de mon passeport : 5 000 pesetas. À Manises, Paco
Sorni Alos le deuxième fils du médecin et Javier Querol Sancho son ami avocat
me distraient à me faire une prenante conversation. Quand je me rends compte,
le médecin avait pris la veuve par le bras, et en hauteur, à la vue de tous il
assumait la situation et le veuvage. Quand à moi, je disparaissais avec son
fils et Javier Querol.
5 + Noël arrive, que nous passons chez la sœur Palmira
Sorni Bailach de ma mère. Village de Alfara de Algimia. La maison est
reconstruite neuve et ne m’est pas du tout familière. Grande réunion de
famille. Tous sont là, y compris les maris de mes cousines filles de Palmira.
Tous boivent de l’alcool. Je traine avec mon livre d’anatomie humaine qui ne me
quitte pas d’un centimètre. Atlas d’anatomie humaine – Flammarion – Tome 3 – le
système nerveux.
6 + Ma mère s’entend avec le neuropsychiatre qui traitait
son frère le médecin. À mon insu, elle achète en pharmacie un flacon d’
Haldopéridol prescrit par le professeur Federico Pallardo Salcedo. Elle me
verse tout le flacon dans ma soupe. Le poignard chimique.
7 + Sans rien comprendre, je suis pris de mystérieuses
crampes. Je n’arrive plus à respirer. Mes bras se tordent ainsi que mes jambes
et mon cou. Des convulsions me parcourent. Je suis tellement mal, distordu et
tordu qu’un médicament en pharmacie n’y fait rien.
8 + Alors je suis mené chez mon oncle Paco Sorni Bailach
le médecin, puis en consultation chez ce neuropsychiatre. À me voir, Pr Federico
Pallardo est pris de panique. Il me fait des radios ou des rayons X. En son
cabinet, il fourre sa pipe dans sa bouche, l’allume et attaque :
« Que te pasa, Pedro ? ». Lui-même avait prescrit le poison qui
me paralysait.
9 + Par la suite, je suis interné à la clinique de San
Onofre à Cuart de Poblet. La clinique pour hommes est séparée de celle des
femmes. On m’anesthésie de temps à autre et on me mène en lit à roulettes en
une porte qui est toujours fermée. Je perds connaissance. J’ais une perfusion
dans le bras. Par la suite, la doctoresse Danièle L’espagnol 10 ans plus tard
me dévoile le traitement qu’on me faisait. Derrière cette mystérieuse porte, on
me faisait des électrochocs.
10 + Cette clinique ressemblait, avec ses murs noirs, à une
prison turque du type de Midnight Express. On me douchait … les souvenirs sont
flous car les électrochocs effacent la mémoire. Je ne me souviens donc plus
très bien. Ils distribuaient des pilules dans le réfectoire … La doctoresse aux
yeux bleus Guadalupe Soler D’Hiver venait me visiter.
11 + Sortant de la clinique, je me vois obligé à signer un
document comme quoi je renonçais à tous mes droits sur l’héritage paternel. Ma
mère venait de gagner.
12 + Par la suite, j’étais devenu un patient. Rentré sur
Paris, ma mère m’emmène consulter avec le Dr Richard Uhl médecin chef et
l’infirmière Mme Chabeuf au centre de Santé Mentale Philippe Paumelle. Cette
consultation est sans suite aucune, dans l’immédiat.
13 + En un des scandales de rage que me fait ma mère chez
moi, celle-ci hurle et hurle. Elle se couche sur mon paillasson devant ma
porte. Un psychiatre Dr François Costi de la rue Clisson vient la ramasser au
sol, et me laisse un mot sous la porte. Par la suite, il s’attaque à moi au
lieu de traiter ma mère qui était complètement folle et hystérique. Première
consultation : « La police … attention ».
14 + Premier contact, puis deuxième … le calvaire de leur
cruauté nazie venait de commencer.
15 + Premières conséquences : Paco Sorni Bailach le
médecin trop sordide est atteint d’un cancer. Il en meurt. Quand à Federico
Pallardo, il paye d’un infarctus qui presque l’emporte. En 2011, il doit être
tellement mort que je ne peux même pas me venger. Il avait enfermé aussi mon
cousin Javier Sorni Domenech, et traitait Marga l’épouse de mon cousin direct
Juan Francisco Marti Sorni. La médecine par le biais de l’ O M S me payera des
dommages et intérêts au nom de leur cruauté dégradante et inhumaine. En 2011,
les électrochocs sont interdits. À cette époque de 1987, ils étaient déjà interdits
en France. Nom dans leur jargon : « sismothérapie ». La sécurité
sociale de la République Française remboursa ensuite ces frais d’internement
qui s’élevaient à 300 000 pesetas. Pallardo avait un yacht. Il faisait des bèse
– main à ma mère comme à une comtesse.
16 + Dernièrement, à la résidence, ils m’ont fait marcher
1500 jours à 5 km par jour soit un total de
7 500 kilomètres. J’en ais des séquelles irréversibles dans les jambes.
Ils continuent de me castrer chimiquement tous les 14 jours par injection. Me
coupent les couilles. Disgracié, et castré. Avec la photo de Hitler en plein
milieu de l’infirmerie.
17 + À Paris se joignaient un psychiatre Italien, un
allemand et une japonaise. Allemagne – Italie – Japon. L’ Axe de 1942 dans
toute sa splendeur. Le docteur Danièle L’Espagnol avait son père boucher en une
vente de viande de cheval dans l’ Essonne. Il parait qu’elle passait beaucoup
de nuits bien folles. Fille de boucher sanguinaire. Quand je lui ais dit que
j’étais végétarien, ils m’ont attrapé en force quatre grands gaillards et m’on
injecté. Je croyais que le grand nègre allait m’enculer pour de vrai. Hitler
avait aussi obligé les associations végétariennes à fermer.
18 + Vision d’ensemble : la psychiatrie commence par
un grand coup de poignard dans le dos. Le médecin te fout en l’air et après il
fait semblant de te soigner. Avec le cadavre alimentaire, ils font
pareil : à coups de bestialité cadavérique, ils provoquent la folie et la
maladie. Ensuite ils font semblant de soigner les gens qu’ ils ont eux – même
rendu malades et fous.
19 + La psychiatrie qui provoque la folie ne m’a jamais
« payé ». Leur folie admise par tous fait qu’il est impossible de
travailler à cause de la jungle qu’ils mettent. Donc en quelque sorte toute
cette bestialité ( par le cadavre et par le poison ) source de folie m’a
empêché de travailler normalement. La médecine s’oppose toujours au travail.
Quand à la science, elle est pour eux à détruire en priorité.
20 A – Ils raisonnent avec l’estomac et la
cervelle pleines de cadavre animal et donc bestial. Leur démarche est
simple : « Au départ la mort pour commencer ». Ensuite ils
discutent en vain : la souffrance, la cruauté, la maladie, le traitement,
etc, par-dessus la mort initiale comme base. De plus, pour ces animaux, le
travail n’existe pas. Que seulement des problèmes de mort en tous genres … et
même quand ils parlent d’argent, c’est pour acheter encore plus de cadavre et
crever davantage.
20 B - Vérification : sur l’emballage du médicament
injecté, les laboratoires Jansen Cilag, est dessiné un renne avec les cornes.
Un animal qui vit en Laponie, dans la neige. Une bête.
Labo hollandais.
20 C – Traduction de 20 C : « Je te mets les animaux dans
le trou du cul ». Afin que tu sois encore plus stupide et ainsi que le psy
ait du travail. Ils créent la maladie et la folie dont ils
« vivent ».
E – 142 – La médecine partage sa culpabilité criminelle de
sanguinaires. Par exemple « La Sierra » des montagnes, faute de
pouvoir cultiver, élève des cochons. De la porcherie abjecte. Le célèbre et
connu « jambon Serrano » s’exporte jusqu’à Paris ( le boucher de la
rue Jeanne d’Arc le détaille ). Il n’y a rien de plus sale qu’un morceau de cadavre en
plein milieu de l’assiette. La conséquence de ceci est bien plus grave car
toute dégénérescence par le règne animal provoque de la colère par le règne
végétal qui se rebiffe. Une des manifestations de la colère végétale est, par
exemple la coke originaire des altitudes des Andes. Cette cocaïne s’est
répandu.
Explication : qui tue en consommant de la chair
animale porte en lui la mort, mort qu’il perpètre en lui – même d’une façon ou
d’une autre. La drogue est une bonne façon « de se finir peu à peu ».
Le concret de la psychiatrie ne consiste qu’à administrer ces drogues. Ils ne
font rien d’autre.
Les richesses « normales » de la montagne ne
sont que minérales, soit l’eau minérale et les
minéraux d’altitude ( le Cuivre, l’Argent, l’Or ).
Nota : Cet E – 142 n’a rien à faire en cette biographie,
mais prolonge une culpabilité. Celle des Serranos prolonge les médecins
criminels.
E – 143 – Le mal et son remède. ( remède en E 144 )
De la même manière que la solution d’un problème de
mathématiques se trouve sous – entendu dans son énoncé, le remède contre la
médecine est d’ordre médical. Le Docteur Carton, puis Herbert Mac Golphin
Shelton, médecins hygiénistes rectifient ces tirs criminels. En partie, du
moins.
Pour les Serranos, c’est Pedro Serrano Sorni qui a
l’intention d’apaiser ces mœurs. Le remède est dans le mal.
E – 144 – Extrait du « Journal 30 » pages 41 et 42 :
Georges Louis Leclerc Comte de Buffon, ( végétarien comme
Einstein ) trop génial dans son domaine, ne parvenait pas à se faire écraser la
cervelle par des erreurs. Illuminé par ses écritures, il restait une semaine
sans fermer l’œil.
Substitution à la ψ psychiatrie :
L’épistémologue serait le spécialiste qui, en consultation
individuelle indiquerait à chacun quel serait son domaine d’étude. Il a été vu
que chacun étudie son propre métier une heure par jour. En principe tous ou
presque pourraient fixer eux – mêmes leur domaine d’étude. Pourtant, pour les
plus ignorants, intervient cet épistémologue qui les guide.
+ Il se pratiquera des tests ( semblables aux tests
psychotechniques ) établis pour chaque matière et pour chaque métier.
+ L’épistémologue pourra faire des observations en atelier
ou sur le terrain professionnel de son client ou patient.
+ Des concertations avec les collègues du client et avec
son supérieur hiérarchique termineront de compléter son emploi du temps.
+ Ces 60 minutes d’étude peuvent se répartir en deux ou en
trois matières : 30’ +
30’ =
20’ + 20’ + 20’.
Exemples de consultations avec épistémologue : A – B – C – D - E
A – Je veux changer de métier et devenir X.
B – Je prépare un doctorat Y en cours du soir
C – Mon supérieur hiérarchique se plaint, proteste, mais
je ne comprends pas bien mes lacunes … mes insuffisances …
D – J’ais une mission en intérimaire en tant que Z dans un
mois.
E – Je prépare un déménagement en Asie. Quelles sont les
équivalences de mes diplômes ? Quelle mise à niveau ? Quelles
adaptations ?
E 145 en prolongation de E 141 et E 142 – Le médecin se comporte comme un vampire
qui vit de massacrer ses patients ( « Avalez du cadavre, tuez, et rendez
vous bien malade – Je serai toujours là » ( avec mes factures bien sûr )).
Plus qu’un vampire, à faire glisser son patient vers le bestialité animale et
donc la jungle, il le transforme en combattant, en « mercenaire » ou
en tueur à son service. Par exemple le toubib de la résidence Jose Vicente
mettait des avions de chasse et des porte avions comme fond d’écran sur son PC
de l’infirmerie. La guerre à l’état pur. Il ne parlait que de guerres, nous
étions ses soldats qui faisions soit « la première guerre mondiale »
( à 13 h en passant au réfectoire ) soit qu’il me conseilla en blaguant qu’à
être libéré, je pouvais devenir « gladiateur ». À son initiative, et
donc à son service. C’est pourquoi les médecins vivent plus longtemps que le
commun des combattants.
À vrai dire, ils se livrent entre eux, par combattants
interposés une jungle encore plus impitoyable. Le serpent ne connait ni les
excuses ni la paix jamais. Ils s’entretuent par patients interposés. Soit les
patients les plus valeureux ou les plus courageux qui font du zèle avec la
drogue après le cadavre … ainsi ils « vivent leur guerre
continuelle » avec le sang de leurs victimes zélées ou non.
Combattants : des tueurs à gage … pour les hommes. Quand aux femmes …
[ Dans cette optique du carnage de soumission à la loi (
mensonge ) médicale, les végétariens sont considérés comme hostiles. En effet,
ils refusent de tuer et refusent de se soumettre à de telles erreurs, à une telle
comédie sanguinaire. ]
La position du médecin actuel est sans issue vraiment.
Comme image, de devenir végétarien supposerait de couper avec une scie la
branche sur laquelle il est assis. Il se ferait très mal en arrivant au sol. À
moins qu’il prenne la peine d’étudier 35 000 heures et de parvenir aux vérités
des 9 théories. Entre temps, à peine arrivé à 1 000 heures, il se ferait
dévorer par les autres serpents.
E 146 – La sélection et concurrence déloyale. Le darwinisme
nous apprend que la loi principale ou terminale de la jungle est la sélection
« naturelle” entre espèces. Les plus inaptes ou inadaptées disparaissent
au profit des plus évoluées.
En cette lutte sans pitié, l’espèce humaine doit éliminer
toutes les autres. C’est l’éternelle loi de la jungle et de la théorie de
l’évolution.
Seulement pour éliminer ces espèces, l’homme pratique
actuellement la concurrence déloyale : il tue avec sa fourchette et son
couteau. Pour cela il paye l’abattoir et aussi reproduit les volailles et les
porcins à tuer, ce qui est stupide. Il combat avec sa fourchette et son porte
monnaie au lieu de sa cervelle.
Toutes les espèces animales se doivent juger comme
parasites car elles consomment notre oxygène et nos végétaux. Chaque fois
qu’une espèce s’éteint, par extinction, c’est un point de plus pour notre
espèce.
[ Sous réserve, les papillons pollinisateurs et les
abeilles indispensables aux plantes à fleurs sont conservés ainsi que les
mammifères qui donnent du lait Tolérances aussi pour les poissons d’élevage.
Les moules et les huitres immobiles se peuvent considérer comme des végétaux
statiques ]
Charles Darwin était végétarien. Il se maria avec sa
cousine fortunée afin de couvrir les frais d’imprimerie et pouvoir ainsi écrire
et divulguer sa théorie.
« Les plus grands génies » de l’humanité
étaient tous végétariens : Albert Einstein, Socrates, Platon, Aristote,
Bouddha, Buffon, Montesquieu, Voltaire, JJ Rousseau, Newton, Darwin, Rambo,
Madonna, Sharon Stone, les quatre Beatles, Bill Clinton, etc. Voir liste de
végétariens célèbres. Non pas qu’ils fussent vraiment des génies, mais
COMPARATIVEMENT : « Dans le royaume des aveugles, les borgnes sont
rois ».
E 147 – Extrait du « Journal 31 » page 7 du
jeudi 29 décembre 2011 :
21 h
00 – Ayant remarqué cette Anne Igartiburu en rouge vif en une
nécessaire de mes pauses, je passe au JT de 15 h. Blanco est en jolie veste
bleu jade ou bleu topaze très réussie avec un superbe chemisier blanc. Sitôt
fini le JT ( je l’écoute avec politesse ) je ne me souviens de rien au contenu,
si ce n’est vaguement des avions de chasse turcs en Iraq, le tremblement de
terre de Lorca, et une scène d’enfants avec des jouets. Rien ne reste ou
presque. Deux livres sur le Jeûne ( Hygiénisme ) sortent de leur caisse en chambre
remise et prennent leur place dans la bibliothèque. Littérature hygiéniste par des médecins
hygiénistes. Endormi de 17 h à 20 h 30, troublant ainsi mon rythme
de sommeil.
A – Le Jeûne par le Dr Herbert Mac Golfin Shelton de San
Antonio au Texas.
Éditions de la nouvelle hygiène – Librairie Le courrier
du Livre – 21 rue de Seine – Paris 6ème – I S B N nº 2 – 7029 – 0016
– X – 360 pages – Traduit de
l’américain – Technique médicale de physiologie – Herbert fut proposé à la
présidence des USA par le parti des végétariens. Hélas, une chute à cheval le
blessa à la mâchoire et lui posa de sérieuses difficultés de mastication. ( sur
Internet Wikipedia ). Décédé en 1986, il ne put répondre à un de mes courriers
que par son secrétariat. Homme de terrain, Shelton a dirigé 10 000 jeûnes dans
sa vie de médecin.
B – Retour à la Santé par le Jeûne – Édouard Bertholet –
Pierre Génillard éditeur – Éditions de la rose croix – Lausanne – Suisse. Bien
plus intellectif que le trop techniquement détaillé Shelton en A.
Beaucoup plus culturel et général. 280 pages -
I S B N introuvable, mais disponible sur Internet en français en format
pdf aux éditions Aryana. Gratuit sur le net. En les premières pages, des
considérations sur la physiologie comparée poussent l’espérance de vie humaine
à un courant et banal « 120 années pour tous ».
C – Herbert M. Shelton – Les combinaisons alimentaires et
votre santé – Pour bien digérer – Les menus dissociés à la portée de tous –
Collection « Le Système Hygiéniste » - Courrier du Livre – Paris – I
S B N nº 2 – 7029 – 0055 – 0 – 126 pages – Indique des morales et des conseils
hygiénistes en « comprimés hygiénistes » littéraires de chacun un
court paragraphe.
D – Sylvie Truffaut – De la diète au jeûne – Les
encyclopédies du mieux – être. Éditions Retz – 114 Champs Élysées – 75008 –
Paris – I S B N nº 2-7256-0430-3 – La bibliothèque du CEPL – 192 pages
E – Docteur Edward Hooker Dewey – Le jeûne qui guérit –
Précédé de la méthode des deux repas – Le courrier du livre – 21 rue de Seine –
Méthodes et techniques de la vie saine – I S B N nº 2 – 7029 – 0026 – 7 . Dewey
doit son intérêt à l’hygiénisme à un traumatisme d’enfance car en effet,
enfant, il devait verser dans le caniveau une bassine de sang de sa mère qui
était passée à la saignée ( sangría ). Cette saignée vide, soulage en quelques
minutes comme un jeûne de plusieurs jours. 208 pages
F – Docteur Helmut
Lützner – Munich – Comment revivre par le Jeûne Maigrir Éliminer Se désintoxiquer – Le
guide autonome du Jeûne – Editions Terre Vivante – 6 rue Saulnier 75009 Paris –
I S B N nº 2 – 904 082 – 05 – 0
94 pages
G – Albert Mosséri ( libanais ) – Jeûner pour revivre – Le
courrier du livre – 21 rue de Seine – Techniques de l’hygiénisme – 316 pages –
Mosséri non médecin correspondait avec Dr Shelton de qui il tire une part de
ses informations. I S B N nº 2 – 7029 – 0095 – X
H – Alain Saury – Régénération par le Jeûne – Éditions
Dangles – Collection « Psycho – Soma » - 18 rue Lavoisier – 45800 –
Saint Jean de Braye – 190 pages - Préface par le docteur Jacques M. Kalmar – I
S B N nº 2 – 7033 – 0193 – 6 – L’évangile diététique selon Jésus Christ
végétarien en pages 33 et 34 est impossible à retrouver dans la bible. Alain
Saury, brésilien, initialement acteur était d’une grande beauté ( Voir sur
Internet ). Frappé par la maladie, il eut recours au Jeûne et se sauva. Son
pêché d’acteur artiste : « L’amour » qui se considère
normalement raisonnablement en Francs, en Euros et en Dollars. De ce livre sort
le logotype de l’ Anthropiste, la silhouette debout. On ne sait pas si cette
silhouette est homme ou femme.
J – Autre livre : la Sainte Bible traite des Jeûnes
de Jésus.
Plus la diète est sale et dégénérée, plus le recours au
Jeûne devient nécessaire. De même,
plus le diable est sollicité, alors davantage Dieu
devient nécessaire.
La morale n’est qu’une réaction.
E 148 – La psychiatrie était très subjective. Comme exemple, une consultation
avec le Dr Richard Uhl médecin chef autrefois de Centre de Santé Mentale :
+ +
+ Je lui montrais une publication de l’ O M S « Santé
du monde » que je tenais en mains propres. Il me jette : « C’est
de la merde »
+ À prendre lui – même ce livre en mains, il la considère
alors « très intéressante ». Vers1995.
Uhl est une ville en Forêt Noire, dans le Wurtemberg en
Allemagne. Ce médecin prit la fuite de CSM Centre de Santé Mentale avec la
doctoresse Danièle L’Espagnol pour monter un cabinet privé. Le médecin
directeur de l’ ASM 13 ( Association de Santé Mentale ) avait publié au moins
un ouvrage sur le travail des handicapés. Dr Bonnet.
E 149 - La doctoresse Danièle L’Espagnol se vit gratifiée d’un
cadeau que je lui fis en janvier 1998 en rentrant de mes vacances avec Frédo Driès
et Valéry son amie. Je lui offris une boîte d’olives espagnoles farcies aux anchois
de marque « La Española ». L’infirmière Mme Chabeuf qui me piquait
eut aussi la même boîte. Aussitôt, elle me supprima ma piqure d’ haldol qui fut
remplacée par un comprimé Zyprexa matinal quotidien que j’oubliais de prendre.
Le docteur Bonnet était très compréhensif. Il me rappela
que je ne voulais pas quitter le pavillon « Sept Fermé », pour y
couler des jours heureux avec Juliette Bagouet, aussi internée, avec qui je
voulais me marier. Juju était végétalienne. Il était permis de fumer car les infirmiers
nous distribuaient une cigarette par heure écoulée. Dans ce « 7
fermé » il était impossible de sortir à l’extérieur. Il était sans accès
au jardin. Ma mère me rendait visite une fois par semaine. Il y avait une camionnette
navette gratuite qui assurait la liaison sur Paris 13éme Albert Bayet Centre
Philippe Paumelle.
Un des pavillons bâtiments se nommait « Anna
O » du nom d’une patiente fort belle, parait – il, de Sigmund Freud.
La doctoresse Danièle L’Espagnol avait la phobie des
ascenseurs. Elle montait donc à sa consultation à pied. Elle devait aussi
descendre à pied.
E 150 – Un soir, vers 1998, j’appelais TF1. Je voulais parler
à Claire Chazal présentatrice des journaux télévisés . Ils me dirent qu’elle
était au démaquillage. J’appelais aussi Chirac à l’Élysée. Ils se
moquèrent : « Appelez chez Danone ». Je téléphonais aussi à
Bernard Kouchner au Ministère de la Santé. J’appelais aussi à Genève O M S y
cherchant en vain un quelconque médecin végétarien. Dans tout Paris, il n’y en
avait aucun non plus. Je finis par appeler chez Danone, au sujet d’une de leurs
bouteilles Evian, ( la bouteille en forme de goutte ) que je voulais munir d’un
brevet : un tuyau à aspirer devait prolonger le haut de la goutte.
E 151 – Le vaccin partiel, sous forme d’un schéma de
raisonnement. Une des diapositives de la Powerpoint Mondio résume :
« La médecine te défonce d’abord et te colle ensuite un sparadrap sur la
bouche en guise de silence et de complicité ». Illustrations A – B – C –
D
à S
:
A – Le généraliste conseille, via le nutritionniste, un
régime de cadavre animal supposément accompagné d’alcool, auxquels viennent
s’ajouter au moins la cigarette. Avec ces trois composants, les maladies sont
déclenchées, et le généraliste n’a plus qu’à passer ses factures.
B – Mon dentiste à Paris, le docteur Bernard Sala lors
d’une opération me donne un sucre avec quelques gouttes d’alcool de menthe pour
me remettre d’un étourdissement. Dans son cabinet, il n’y a aucun autre aliment
que le sucre et l’alcool qui fusillent les dents. Il ne lui manquait plus que
le chocolat. Ensuite, avec ce bon spectre rassurant pour lui des caries
futures, il passe de conséquentes factures. Il pratiquait l’équitation, et
soignait au grand galop.
C – Le psychiatre de la résidence San Lorenzo, Paco
Bellver arrivait avec son blouson de cuir et sa barbe cradingue sale. Il
montrait l’exemple : « Habillez vous de peaux de bêtes, soyez
bestials et sales ». Ainsi, la folie crée, il passait ensuite facture à
l’État.
D – Lorsque la doctoresse Danièle L’Espagnol fille d’un
boucher chevalin sut au premier contact que j’étais végétarien, elle fit signe
à quatre grands types de m’injecter immédiatement et de force un médicament sur
le flacon lequel il y avait un renne dessiné. Je restais ensuite torturé de
crampes au réveil. Pour finir mon séjour à Soisy « l’eau vive », je
faillis tomber de la camionnette navette qui me libérait enfin au bout de trois
mois perdus. Je titubais dans la rue, ayant du mal à retrouver mon domicile.
« Un végétarien bien massacré. Suivant »
E – L’ O M S Genève a sur son logotype et drapeau un
serpent : « Jungle » … vénéneux poison … tuer ou mourir … par
extension guerres et confits.
F – G – H , etc pour chacune des spécialités
médicales.
J – L’asiatique infirmier avec ses chats. À Soisy, un des
infirmiers était particulièrement inhumain. Il passait de longs moments en
cuisine à récupérer des morceaux de cadavre animal des restes destinés aux
chats de l’hôpital. De la médecine animale, féline.
K – Le Dr Ktorza dermatologue avec sa rue. Rue du Sergent
Bobillot, en supposée guerre, j’allais me faire traiter une verrue au pied.
Sortant du centre de Santé, la guerre recommençait.
L – « La Seine ». À Soisy, on m’autorise à
sortir en promenade. J’ais envie de longer les quais de la rivière comme à
Paris. Je demande à l’infirmier Ifrah : « C’est loin, la
Seine ? ». Il me rétorque aussitôt : « Vous en êtes
là ? » ( Vous foutre à l’eau, suicide ? )
M – La psychologue Maribel Train. Cette psychologue
assistant le professeur d’imprimerie nous mettait un stress terrible, des maux
de tête avec tous ses moyens. Quand nous en étions à moitié malades, elle
procédait alors à débuter la séance de relaxation. Même schéma que les médecins
dont ils et elles ne sont qu’un annexe.
N – La psychologue Thérèse du C R I S a installé son chat
sur le fond d’écran. L’animal au départ pour commencer. Et à chaque
consultation, elle me laisse trainer au moins un on quart d’heure de rue
hostile ou de couloirs incertains. Le stress me prend inévitablement, et
seulement ensuite elle m’assiste dans le stress qu’elle-même a provoqué.
O – Mme Chabeuf ( infirmière ), nom qui faisait rire ma
mère. « Un chat + un bœuf » m’administrait mon médicament.
P – Le fantassin chevalier en peinture avec sa lance dans
l’infirmerie. Mme Chabeuf avait installé un tableau en infirmerie, au dessus de
la table où je m’appuyais, ayant baissé mon pantalon. J’avais la tête en plein
dessus cette lance … qui me rentrait dans les fesses réellement. Je protestais
auprès du Dr L’Espagnol qui accepta de retirer cette scène de guerre de
l’infirmerie.
Q – Les animaux dans la salle d’attente du Dr Costi. Des
hippopotames, des girafes, des fauves et une grande malle du service
météorologique des armées donnait le ton « jungle et guerre » de
cette salle d’attente qui provoquait malaises et maladie mentale. Il venait
ensuite chercher son patient : « Alors, on est fou ? ». Et
il passait facture après quelque baratin pour les gens dupes.
R – La psychologue mademoiselle Lidon Mars Aicart passionnée
par la musique Heavy, ceux qui « cassent la machine » tellement ils
sont fous de rage. Après tout, c’est son problème à elle.
S – Dans le film « Le pont de la rivière Kwai »,
le médecin militaire de la compagnie a le dernier mot après les explosions
:« Folie ! – Folie ! – Folie ! ».
En résumé ou conclusion, chaque fois la médecine crée la
maladie et la folie. Quand aux soins, ils ne sont ensuite qu’illusoires.
Les intérêts priment en d’autres professions : les
exemples 1
à 7
suivent :
1 - Les JT aussi montrent nombre de reportages en pleine
voie publique, dans la frénésie de la rue et des véhicules, ce qui n’arrange
rien à la vue de la situation commentée comme davantage grave et anxieuse.
2 - Certaines compagnies d’assurances mettent l’accent sur
les risques en leur couverture de catalogues. Ils semblent favoriser les
audaces qui mènent aux accidents.
3 - La montagne Sierra commercialise des jambons, ce qui
présuppose une réaction par le jeûne, qui donne davantage de valeur à leur eau
minérale.
4 - Les commerçants en automobiles sont bien contents de
voir les voitures décorées de peluches et d’animaux. Tous ces animaux ne
connaissent que le mouvement. Ça roule ainsi davantage pour eux.
5 - Mon plombier au noir de Paris avait pratiqué un jeûne
de 40 jours. Il était donc resté 40 jours + 40 nuits à ne boire que l’eau de …
son propre robinet.
6 - Toute religion commence par Satan, en une forme ou une
autre. Ils perpètrent.
7 - Les succursales des banques offrent des services de
pièces de cuisine ( poêles et casseroles ) et de verres à pinard. Le client
ayant consommé toutes ces factures animales de bestialité, alors l’argent a
encore davantage d’importance et de primauté comme valeur refuge primordiale.
Le banquier d’abord satanique avec ces feux de l’enfer devient ensuite leur
dieu.
E 152 - Trois arguments
contre la crasse médicale : A – B – C exemples de culpabilités médicales qui
créent la maladie :
A – En 1968, je saute les marches du perron de la cour et
je m’enfonce un clou rouillé dans le talon. Le besoin urgent se situe alors en
un vaccin antitétanique que les médecins ont provoqué ainsi : les ouvriers
de chez Cablaccès ingéraient leur cadavre crasseux bestial, et buvaient un
petit coup de folie de temps à autre. En conséquence, leur comportement devenait
celui de dangers ambulants. Ils n’avaient, les pensées occupées par l’animal et
par « boire un coup » plus aucune notion de sécurité autre que
l’instinct. Ils étaient devenus des dangers contre eux-mêmes et contre les
riverains. Ce danger se manifeste par des clous rouillés jetés dans la cour,
cause de mon infection. Résumé : les médecins ont causé cette infection,
indirectement, et ensuite ils m’ont vendu un vaccin contre le mal par eux
provoqué.
B – Si Fabienne avorte en 1981, c’est parce que je me comportais
comme un porc abject. Ce comportement m’était dicté par l’ambiance de milliers
de tonnes de cadavres animaux que je trafiquais sur Rungis. C’est la médecine
crasseuse et abjecte qui exigeait ce trafic de mort et d’ignominie à l’égard de
Fabienne. Plus : l’ambiance cadavre et mort commercialisée me menait à
dégénérer tant et tant que je fumais de la drogue, et qu’une foi, une seule en
ma vie, je sodomisais douloureusement ma compagne.
C – Vers l’âge de huit ans, de multiples verrues sous les
plantes des pieds me conduit à la nécessité d’une opération chirurgicale sous
mes voûtes plantaire. Là encore la médecine a commencé par créer la maladie en
cela : me faisant ingérer du cadavre, mes défenses baissaient en terrain
organique morbide. Tant et tant que les virus se manifestèrent en mes pieds. Ce
morbide cadavérique exigé par la médecine a donc eu des conséquences
chirurgicales.
Médecine donc trois fois coupable d’avoir crée
préalablement la maladie.
Et même plus : les enragés de mai 68, qu’avaient – t
– ils donc dans le ventre que du bestial cadavre et des coups de folie dans le
nez ? Conséquence : les pharmacies en grève ne disposaient plus du
vaccin introuvable. Pour l’hexagone, les destructions de mai 68 se chiffrèrent
en des milliards de pertes pures et de manque à gagner. Comme seul résultat, la
chute prématurée d’un militaire au pouvoir, le Général de Gaulle.
E – 153 : Quelques exemples de conséquences de
collaboration avec la médecine ou avec le cadavre animal, ce qui revient au
même :
D - À l’hôpital psychiatrique l’ Eau Vive, en 1988 ou 89,
un des camarades a un passé médical qui fut pour lui gravissime de conséquences
lugubres. Alexis avait travaillé comme représentant en machineries médicales de
haute technologie. Il avait tellement travaillé pour ces tueurs criminels,
qu’il fut gratifié par le SIDA et par la misère totale. Dans un village où il
dormait sous une tente, monsieur le maire avait porté plainte contre lui pour
occupation de terrains municipaux. Il était donc interné là, avec pas le
moindre centime ni domicile pour envisager une quelconque sortie. Il chantait
avec son virus dans le sang. Alexis avait travaillé indirectement pour le
cadavérisme, et il en était ainsi « remercié ». Qui sème le vent
récolte la tempête.
E – À Rungis, travailler ne me suffisait pas. Il fallait
que je tire parti du trafic de cadavre en partie sous mon contrôle. Ainsi, je
volais dans les camions. J’alimentais ma belle – famille et mes amis, contre
espèces sonnantes. F G H J
F – À Paray Vieille Poste, la famille de ma fiancée
Patricia Malaguarnera étant réunie au grand complet dans le sous sol attifé
d’une longue, longue table. Ma future belle mère ( « la grosse »
disaient – ils ) pose une question piège dans laquelle je fonce tête baissée
très courageusement :
-
Qui c’est qui prépare la
viande ?
J’étais le fournisseur en gibiers et autres pièces volées
dans mes camions, pièces que je leurs revendais. Je ne fis qu’un tout petit pas
de plus :
-
Moi, bien sûr
Je ne préparais strictement rien , mais tous m’avaient
entendu me porter volontaire à la boucherie. Dans le mois qui suivit, je fus
transformé en chair à saucisse par mon voisin de palier le légionnaire. Il me
fracassa la tête avec nécessité de points de suture, avec des équimoses
multiples au visage, aux mains et aux avant – bras. Deux côtes fêlées.
Réellement un bout de viande à se promener autour d’une flaque de son propre
sang au milieu du salon.
( Dans « El gran torino » de Clint Eastwood, le
héros prépare un barbecue aux chinois. En conséquence il se trouve transformé
en cadavre lui – même ).
( Dans le Grand Bleu, à partir du cocktail avec
charcuteries étalés, cadavres animaux, les choses commencent à tourner mal,
situation qui se termine par les suicides des deux héros )
G – Auparavant, j’avais vendu un gigantesque salami à mon
voisin le légionnaire et à sa concubine : « La mort ! …
crever ». Dans les mois qui suivirent, sa concubine passait de vie à
trépas.
H – Mon collègue de chez Calberson ( viandes ) était entré
brutalement à collaborer avec nous. Il entra dans le bureau le premier jour, et
resta là sans rien dire du tout, sans même saluer attendant que je cède :
« Bonjour, que veux – tu ?
». Abasse au terme de plusieurs mois paya cher sa collaboration avec le cadavre
car toutes ses dents tombaient et il me sollicita un emprunt pour se placer des
prothèses. Il était gratifié par le sort de sa collaboration avec la mort
physique. Je ne cédais pas un seul centime de mes économies.
J – J’offrais des pièces de viande à mon autre fiancée Fabienne,
exactement à sa mère. D’énormes pièces gratuites. Il y en avait pour toute la
famille. Le drame arriva : avortement, payé par moi = un mois entier de
salaire.
K – Au décès de mon père, ma mère sortit de suite de son
sac une crasseuse porcherie abjecte ramenée d’ Espagne en son avion. Ce fut sa
première réaction. « La mort ». Dans les trois ou quatre jours, le
grand ami de mon père inséparable fit une crise fulgurante et passa de vie à
trépas. Jean Chavois.
L – Ayant quitté repenti ce service des viandes de Rungis,
je faisais un stage bien technique de dessinateur à l’ A F P A. Mais j’étais
resté en contact avec Abasse qui me fournissait d’immenses pièces de rhumsteak
que je revendais à mes camarades de l’ A F P A. Peu de temps après ces pratiques,
l’un d’entre nous se tire une balle dans la tête dans sa chambre au centre. Guy
devait avoir 22 ou 25 ans. Dans le détail : Guy faisant du chahut et
lançant une boulette de papier su ma table, m’empêchait de travailler. Je
l’agressais violemment : « Non, c’est toi qui a eu de la chance
… ».
Pour moi, qui venais de dédouaner 60 000 tonnes de
cadavre, la mort était absolument évidente, clarissime, triviale et
quotidienne.
Le suicide de Guy me plongea dans la folie. Le prof
principal avait commencé le premier jour de cours avec une blague :
« Ici, c’est comme à l’armée, on a droit à 5 % de pertes ». Sur 20
élèves, 5 % = une personne. Je perdis les pédales, fis une crise à tous mes
camarades, et je pris une mise à pied en arrêt maladie de 15 jours de repos,
alors que je ne manquais strictement jamais.
Au moment où se tirait le coup de feu qui ressemblait à
un violent claquement de porte sans importance, j’étais à faire de la
musculation dans ma chambre immédiatement voisine de celle de Guy. Jean
François Goubely m’avait prêté ses altères. Je forçais physiquement. Sous le
lit, comme chauffage, j’avais installé un grill à cuire les croque monsieur.
E 154 - Le schéma de tout mon combat contre l’animal bestial
se déterminait en la fin de mes fiançailles avec Patou qui était venue habiter
chez moi :
- Le légionnaire tatoué avec des panthères avait affiché
dans les toilettes communes par-dessus ma peinture blanche neuve une série de
chevaux au grand galop en bord de plages. Je lui fis retirer.
- Patricia acheta deux grands posters que je mis à la
maison : un lac en montagne et une série de pots de plantes vertes au bord
d’une fenêtre. ( minéraux et végétaux ).
Tout y était : l’animal éliminé, puis le minéral et
enfin le végétal. Ce fut trop pour le légionnaire et son héroïnomane qui
dormait dans les toilettes et entrait par la fenêtre. Le tout devint plus
explosif que jamais et éclata à cause d’un gaz lacrymogène que je pulvérisais
sur Josiane en furie après moi. Elle partit lui demander secours avec
d’abondantes larmes. Il vint exploser sur moi.
Après mon départ de Paris, un an de refuge à Valencia, il
continuait de la battre et de lui refuser l’appartement. Par périodes, elle
avait le visage tout bleu. Elle décéda d’overdose ou alors sous les coups. Je
rentrai alors chez moi, ruiné. Mes fiançailles avaient donc été suspendues pour
des raisons de sécurité. La guerre contre le légionnaire continua de 1986 à
2002. Il prit deux chiens de suite pour remplacer Josiane. Il buvait
abondamment. Quand je faisais une rature sur mes rédactions la nuit, il
toussait aussitôt.
Avant de fuir en Espagne, j’avais passé une semaine avec
Patou chez son frère Nono ( Joseph ) en une vieille maison de campagne. Je la
ramenais chez ses parents. Puis, avec une camionnette aménagée d’occasion, je
partis me perdre dans les Alpes. Je pris un poste de représentant commercial en
cartes postales et produits humoristiques, dont je ne fis que des frais :
matériel, costume, essence … La vague de froid sibérien faillit me congeler par
– 20º C dans cette montagne. J’ais du mal à me rapatrier sur Paris. Mon père
entre en maison de repos et ma mère suggère : « Tu pourras faire
l’aller – retour sur Valencia ? ». Carlitos mon cousin héroïnomane m’y
vole mon passeport identité qu’il vend à la médecine ( son père Paco ) pour se
faire deux doses. Puis au retour sur Paris, mon père décède. Ma mère me fait le
coup de poignard chimique dans le dos, et ainsi commence le calvaire
psychiatrique par des électrochocs interdits en France.
E 155 – 2012 - Mon stage de cet hiver passé 2011 – 2012
chez C S I F avec Javier Santamans
Caballero comme professeur. Développer le texte et faire référence au
« Journal XY ( 30 ou 31 ) » pages rz à yT.

E 156 – Ma cohabitation au domicile « Balcón del Levante »
avec Mlle Patricia Alejandra Perez Jimeno âgée de seulement 36 ans, soit durant
le mois de mars 2012 que nous passons ensembles. Développer le texte et faire
des références au « Journal 32 TD 10 » en ses pages X à Y. Voir ici
sa photo d’identité :

Probable E 157
– La liste de tous mes professeurs suit à partir de la page 135 jusqu’à la page
XY ? Quelques commentaires en espagnol affirment que je suis le Messie (
que les Juifs attendent car Jésus Christ n’était qu’un imposteur ).
Cette liste dut être dressée à Paris
avant l’an 2002 de mon retour sur Valencia – Espagne.
Los Profesores , unos 75
Desde los 6 años hasta los 45
2012 – Hasta los 52 años
También una burla irónica
y
una enseñanza maternas
Recuerdos de fin de año
Conclusión - De
oficio El Profeta , Mesias
El Redentor
El Antropista El Organizador
Classe de 11ème
Classe de 10ème
Classe de 9ème
Classe de 8ème
Classe de 7ème
|
Mme Zombati
Mme Revel
Mr Revel
Mme Turc
Mr Turc
|
Professeurs uniques Ecole Patay
En cours préparatoire - CP
1 – CP 2
En cours moyen - CM 1 – CM 2
En cours élémentaire - CE
1 – CE 2
Mr Ninat Directeur de l ‘
établissement
|
|
Classe de 6ème
Ecole Notre Dame
de la gare
|
Frère Bernard
Mr L ‘
Hermite
Mr Bigonneau
Mme
Louys
|
Français , Travaux manuels , Natation ,
Titulaire
Mathématiques
Histoire et géographie
Anglais
|
|
Classe de 5ème
|
Frère Boyer
Frère Edouard
Mr Touvenin
|
Français , Titulaire ( Gitanes et journal )
Mathématiques , Chant , stand de tir
Anglais ( barbu )
|
|
Classe de 4ème
|
Frère Condon
Frère Raymond
Mr
Non mémorisé
|
Français , Titulaire ( très épais surcils )
Géologie , Biologie
Anglais ( il n’y a pas que les maths dans la V )
Technologie ( tête de crabe )
|
|
Classe de 3ème
|
Frère Hadrien
Mr Martinat
Mme Degast
Non mémorisé
|
Français , Espagnol , Latin et Grec , Titulaire
Mathématiques , Sciences Naturelles
Technologie ( enregistrée K7
puis perdue )
Education physique et sportive
|
|
Classe de seconde C 3
Ecole des
Francs
Bourgeois
|
Mr Leducq
Mr Muisel
Mr Gérard
Mr Struillou
Mme Lasnier
Mr Pel
|
Anglais , Titulaire Abbé
Delaunay
Instruction religieuse
Mathématiques
Français
Mr Chassang
Espagnol Inspecteur de division
Physique – Chimie ( tombée enceinte )
Histoire et Géographie ( Droits
de l ’ homme )
|
|
Classe de première C
1er étage
|
Mr Plard
Mme Salomon
Mr Tifon
Mr Carmel
Mme Levystone
|
Français , Titulaire -
Bibliothécaire
Mathématiques
Chimie
Histoire et Géographie
Anglais (
Literatura Inglesa : J.
Steinbeck )
|
|
Classe de Terminale C
Redoublée
Repetida
5ème étage
|
Frère Jacques
Frère A. Harivel
Mr Fiard
Mme Cabada
Frère F. Frézel
Mme Rousseau
|
Mathématiques , Instruction
religieuse , Inspect.
Physique – Chimie ( André ,
“Dédé” )
Biologie ( le cyclope )
Espagnol (
sud Américaine )
Philosophie , Directeur de l ‘
école
Physique – Chimie (
Voir photo )
|
|
Math Sup :
Prépa
Classe préparatoire aux grandes écoles
Scientifiques
Lycée Raspail
Monsieur
Raspail était
un chimiste
et biologiste
de
renommée
célèbre.
Homme politique
candidat
socialiste
à la
Présidence
de la
République
1794 - 1878
|
Mme Rayer
Mr Piétryk
Mlle Lagoutte
Mr Wogenstall
Mme Dutrey
Mr Amat
Mr Baltel
Mr Dubeau
Mme Merkus
|
Falta
la asignatura : Astronomía
Seguramente la astronomía fue la primera
de todas las ciencias. El hombre primitivo
debía observar a las estrellas, al sol y a la
luna. Cuando la humanidad se extienda a
través de las galaxias y su misterioso infinito
será también la ultima de las ciencias, con
sus misterios imposibles de resolver.
Mathématiques , Titulaire ( Martine , deux CV )
Physique – Chimie
Anglais
Dessin industriel
Français
Colles de Physique – Chimie
Colles de Physique – Chimie
Colles de Mathématiques
Colles d ‘ anglais
El programa contaba con 20 horas de
clase de
matemáticas por semana.
Aproximadamente
unas 10 horas de física y química.
Quedaban
dos horas para la literatura francesa
, y dos para el ingles
Toda la clase se pelaba el deporte
obligatorio
Se usaban sus dos horas para estudiar
.
Además el campo de entrenamiento quedaba
muy alejado
|
|
Stage A F P A
Dessinateur
d ‘ Etude en
Mécanique
Générale
D Et M G 392
|
Mr Falipou
Mr Bocognano
Volvo orange ?
No memorizado
|
Dessin industriel , Enseignement général , Titulai.
Mécanique , Résistance des Matériaux
Mathématiques , Electricité , Physique - Chimie
|
|
Paroisse
|
Père Charles
|
La
Política se da en Historia y Geografía
Geografía Económica
Dos de las escuelas paraban en la calle
de
“ Domrémy “ El nombre es el del
pueblo nativo
de Juana de Arco. “ Domrémy la Virgen “
( en el sentido de sin desvirgar ) Todo el barrio
llevaba los nombres de sus compañeros.
Instruction religieuse , Cathéchisme
|
|
Ecole maternelle |
Noms non mémorisés –
rue Domrémy
|
||
Education
physique et sportive
|
Noms non mémorisés
|
||
Colonies de vacances : voile , spéléologie photographie , gravures ,
émail
Moniteurs nombreux - alpinismo
|
Noms non mémorisés Aquitaine
Saint Féréol – Murat – Auvergne
( Campamentos mediante el comité de )
( la
empresa en que trabajaban S.A.T )
|
||
Professeurs de judo – grade orange
|
Mr Marquay – Mr
Leiserowiestz
|
||
Professeurs de kung fu : boxe
chinoise
|
Tony Dehas
– Lachmi –
Pascal Boucly
|
||
Cours d ‘ électronique par
correspondance avec matériel
|
Noms non mémorisés : Eurélec
Dijon
Bureau d’inscription à Paris
|
||
Stages C A O – D
A O – MS DOS
Autocad V12 , dessin industriel
|
Mr Claude
Canderlé – Mr Joël Bureau
Mr Spitzberg
, remplaçant
|
||
Stage S O T R
E S à
Word – Excel
– Access
|
Mme Dominique Labro ( végétarienne )
Un psychologue du travail Mr Coldéfy
|
||
Micro informatique chez M V 2
Montrouge – sur la RN 20
|
Ange , superviseur
Anne Marie , formation au panel
|
||
Cours d ‘ été en Espagne 1996
Academia
Castellano – Valencia
|
Francisco , mathématiques et
physique
Delfina , Chimie
|
||
Cette liste de
professeurs se doit actualiser car depuis 1996, j’ais bénéficié de 12 stages.
Un peu plus loin, ces douze stages s’ajoutent en un tableau ( page 149 de ce
même fichier ).
De conclusión, en el 2003, al igual que se me
burlaba mi madre ironizando y despotricando contra su hijo, « Don Sabiondo » “ Que lo sabe todo “ …… con
las 9
teorías
+ 1, efectivamente, lo sé Todo.
Eran dos de ellos colegios de pago. San Juan
Bautista de la Salle. Un cursillo pagado por el estado, con sueldo, habitación
gratis y auto servicio. Otros dos
cursillos también con sueldo del estado ( A N P E = Servef de Francia ) .
De entre todos los países, de todas las
naciones, el que más ha aportado a las ciencias ha sido el pueblo judío. De
entre todos los mas ancianos, es el único que ha sobrevivido hasta “ renacer “.
La Ciencia es la acumulación estructurada de
saber racionalmente utilizable. La matemática se define como la herramienta
fundamental necesaria a todas las ciencias, por tanto no es una de ellas.
De ejemplos de científicos judíos y
fundadores de doctrinas destacan:
1 –
Moisés – los 10 mandamientos – Moralidad
2
– Jesucristo ( Jesús de Nazareth Roi des Juifs
I N R I )
3
– Isaac Newton siendo Isaac un nombre
judío
4 – Fue un judío Luis de Santangel quien convenció la Reina Isabel
la Católica para financiar las carabelas de Colon
5
– Sigmund Freud, practicante hasta emigrar debido al antisemitismo
6
– Carl Marx descendía de una familia judía
7
– Albert Einstein, refugiado cuando el 2º conflicto mundial. En alemán ( Ein,
una ) y ( Stein, piedra )
Una de las teorías relaciona estrechamente
Dios con el Ayuno.
Dicen que los judíos siguen esperando al mesías.
La iglesia judía no reconoce al Cristo, siendo este un impostor.
Los judíos esperan al Mesías, al profeta que salvara al mundo.
Por ejemplo a un “ Sabiondo “
venido a aportar la Verdad a la humanidad. Se puede resumir la ciencia
útil a una única fórmula. 3
elevado a N resume tanto la estructura de la materia estable, como el conjunto
de las 3 X 3 teorías a su vez ramificadas en 3 capítulos…
Estas 9 teorías se reparten en tres temas
A – lo Elemental
B – el Trabajo
C – la Ciencia A – B – C :
indisociables
Lo previsto esta en que a la era cristiana le
suceda la era Científica
Puede que a los pocos milenios les suceda la
era Antropista
De conclusión de tres de los colegios se
celebró una cena de fin de año: un restaurante denominado “ El
viejo escudo “ ( le vieil Ecu
) en una zona casi aristocrática de Paris. Hace directamente alusión a
una moneda medieval antigua. Se propuso en Bruxelas el nombre de ECU
anteriormente al de “ Euro “.
El primer año fue organizada por dos
camaradas de clase. Era la clase “
Terminal C “ ( C O U ) de la escuela “
Les Francs Bourgeois “ . Ya que recordé
el sitio que me gustó, decidí volver con los compañeros de la clase de “ Mathématiques Supérieures “ . Estos aceptaron la invitación con más
entusiasmo ya que la organizaba el delegado de la clase ante los profesores, el
rector, y el director : yo mismo .
La tercera vez organice por Navidad la cena
de los antiguos del cursillo ( un año =
1720 horas ) de Diseño Industrial . Acudieron más de la mitad, de diferentes
regiones de Francia.
Estas tres cenas eran como un tipo de “
reflexión en común “ sobre las monedas,
siendo el nombre del restaurante una moneda medieval.
Las fechas eran : 1977 – 1979 – 1984. Dos de
las veces acudí con la moto invitando o bien una amiga estudiante, o bien una
de mis alumnas. Por falta de seriedad en horarios tanto de los compañeros como
de parte del personal, la tercera vez salí corriendo sin cenar, ya que marchaba
un tren hacia Valencia a las 21 h 30.
El Antropismo
( del griego Anthropos = hombre )
resulta de 30 000 horas de estudio en autodidacto. 1500 horas X 20 años = 30
000 h
Todas las estrellas del cine y de la
información carecen de moralidad. Todas muestran el mal ejemplo, o bien amplían
las catástrofes y discordias sin proponer solución ni remedio. También los
políticos sufren de falta de solución a sus problemas nacionales o de relación
internacionales.
Suponiendo que se pudiese comunicar con estas
estrellas del cine y televisión, estas acudirían a purgarse “ de sus pecados “. El Antropismo que pretende resolverlo todo,
hasta la estructura y eficacia de Naciones Unidas, seria un purgatorio, un
lavado de sus almas tan desperfectas.
El Mesías aportaría una salvación a las almas
tan corrompidas por la vida. Hasta la Iglesia Cristiana ha degenerado las
Verdades de Cristo.
Se ha demostrado ( ver archivo estrellas del
firmamento o el Blog elmundio.blogspot.com de 2012 ) que la vida es eterna.
También se dispensa la salvación eterna de las almas. Resumiendo, el Antropismo
es solo Moralidad.
La búsqueda de normas de moralidad…empieza con Moisés, pasa por
los Terapeutas, una secta de Judíos que
practicaban el ayuno dos siglos antes de Cristo…sigue con Aristóteles el
primero de los científicos que creo la noción de especies clasificándolas en su
Anatomía Comparada, se prolonga con el respeto de la Ciencia y del Saber
mediante el estudio a tiempos perdidos .
Continua…con la observación de las especies
que no han degenerado al opuesto de la nuestra. Mezcla los últimos avances de
la física sub nuclear con un tipo de filosofía según la cual,
[ lo Elemental , el Trabajo y la Ciencia ] quedan indisociables.
Antiguamente se llamaba a lo elemental “ la Naturaleza “.
El único peligro para cada cual
consiste en elegir un tema de estudio diferente del de su oficio. Estudios en
fines de semana y en transportes
La solución inmediata, contemporánea esta para todos en la O N U
con sus 90 órganos aunque sin estar organizados realmente. Por ejemplo los artistas dependerían de la U
N E S C O con sus principios de Paz y de moralidad ( “ solidaridad moral e intelectual de la
humanidad “ dice el texto fundador de 1948 )
A largo plazo la solución definitiva radica en una O N U
dotada de la formula “ 3 elevado a N “
que supone una arborización y ramificación
perfecta, matemática abarcando los temas y propósitos del más sencillo
al más complejo, con graduación evolutiva del órgano 01 al órgano 81 ( 3
elevado a la potencia 4 = 81 ). Cada uno de los 81 órganos principales
se subdivide a su vez en 3 sub – órganos lo que conduce a la cifra de 243
divisiones ( 3 elevado a 5
= 243 ). Al estar matemáticamente
estructurada organizada y saneada de sus fallos, adoptaría la O N U su nombre
definitivo : The
“ O “ ( O de Organización – ver el proyecto 9 en la
penúltima pestaña de elmundio.blogspot.com
).
Habrían una segunda y una tercera
arborizaciones estas temporales no definitivas.
La segunda organizaría los órganos de urgencia ( cascos azules ). La
tercera agruparía los órganos de transición permitiendo acoplar como resultado
con la primera arborización. Por ejemplo los organismos de formación y de
reciclaje ya que se eliminan unos cuantos
oficios muy poco útiles y hasta perjudiciales
a nuestro mundo.
Suponiendo que la humanidad sobreviva a la
prevista implosión solar, ya que el Sol
es solo una modesta estrella y pues tiene su duración y ciclo de vida, en este
porvenir por las estrellas del firmamento, solo importarían las formulas
matemáticas, los cálculos, las cifras, las computadoras y las maquinarias.
Puede que resulte un ambiente parecido al de la
N A S
A Nacional Aeronotic and
Space Administration al de la E S A European Space Agency y de la
U A I Unión Astronómica Internacional, o al de
Baikunur, la ciudad
de las estrellas
base de los lanzamientos rusos hoy situada en
el sur de Kazajstán.
El infinito del espacio y el infinitamente
pequeño del átomo se han ido desarrollando en paralelo y simultaneas.
Microscopio y telescopio tienen la misma edad, y se van desarrollando
igualmente. Se entienden las estructuras de las estrellas gracias al átomo. Al
extenderse los conocimientos de la física sub – nuclear se amplían también los
del infinito del espacio. En el bachillerato se ignora tanto a la una como a la
otra : completamente.
Aparte del Mesías o del Profeta se puede usar también :
el Redentor
Cuando la Redención se abata sobre el mundo,
este se verá lavado de sus pecados.
Porque el Cristo fue solo un impostor :
En aquellos tiempos la Ciencia
era muy limitada. Sin embargo estaba en la Verdad al anunciar A – el
ayuno B – el crudivorismo vegetal
( Extractos del Nuevo Testamento
pasados al libro de Alain Saury : ) ( “ Régénération par le jeûne “ paginas
33 – 34 Ediciones Dangles )
Al estar la Ciencia tan limitada
en aquellos tiempos, se reduce el exacto mensaje cristiano al equivalente de
las Teorías 1 – 2 – 3 . (
Siendo C la
Paz )
De estas tres enseñanzas, las
iglesias católica y protestante han degenerado su mensaje. Se ha pasado de lo
crudo sano a dos alimentos degenerados, tóxicos : el pan y el vino. Tanto el
uno como el otro fermentan, lo que equivale a pudrirlos, transformando manjares
en dos tóxicos.
Entonces se ignoraba todo de
etimologías de cifras o de letras, de las medidas del tiempo y de los
equinoccios. Los husos horarios en 24 porciones o en 20 no existían. ( Teorías 4
– 5 – 6 )
Las 400 ciencias y técnicas
tampoco existían, ni tampoco la formula para arborizarlas en cualquier
ramificación lógica. La estructura ramificada según formula no podía ni
imaginarse. Tampoco los 3
elevado a 5 = 243 países no se podían ni sospechar. Ya que
la O N U no existía, no se podía
corregirla estructurándola.
( Teorías 7 – 8 – 9 )
También se ignoraba que el Sol
deba un día acabar estallando. Los vuelos habitados y el sobrevivir por las
estrellas no se podía ni imaginar. Si se quedara la Tierra en su orbita actual
, concluiría esta en la ?
« Apocalypse
du Jugement Dernier dans le feu des enfers. »
De conclusión Jesucristo era solo
un ignorante pretencioso limitado a tres Verdades entre 9 + 1 . Además la
cólera contra los mercaderes del templo revela fallos en el comportamiento, que
le fueron fatales.
El Nuevo Testamento acaba mal
con “ El Apocalipsis “. Si Jesucristo hubiera sido el Mesías venido a
salvar el Mundo, a aportar la Verdad hubiera concluido la Biblia con la
humanidad extendiéndose por los planetas, las estrellas y las galaxias. Con el
infinito del Universo, concluiría con la expresión según la cual “ La vida es eterna “.
Nota : La precaución esta en evitar lo de Cristóbal Colon que se lanzó
a la conquista aun sin haber limpiado ni organizado tras el antes de zarpar.
Hoy día se esta todavía pagando las masacres de los conquistadores ya que los
indios descendentes cultivan y exportan a Europa unos vegetales dañinos muy muy
tóxicos.
Si hubiera un “ Don Sabiendo “ , un Organizador, o un
profeta, o un Mesías, puede que sea el Antropista Pedro Serrano.
En teoría se aporta la verdad y
el conocimiento solo al que lo pide. Es receptivo, y se evita así cualquier
imposición o inquisición. No se puede imponer la verdad ni el saber al que no
los solicita.
Varias veces han venido los
médicos a solicitarme, pero ellos solo pretendían en trabajar y cobrar. De
momento ( año 1998 ) todos rechazan la verdad de las 9 teorías, empezando por
las 1 – 2 – 3.
27 000 horas = 3 x 10
[ 3 al cubo por 10 al cubo ]
De atractiva coronación terminal a
las 9 teorías : la moneda única mundial
=
EL MUNDIO
Con los años , se cambia el nombre del mundio
al de EA , siendo este la raiz de la
palabra EA + KUA =
AGUA .
Amplios detalles en los Archivos
:
-
Contracciones
etimológicas
-
El
Mundio
EA = El dios del agua en Babilonia ,
Mesopotamia (
actual Irak )
Nota : este texto que prolonga la lista de
los profesores se escribió a continuación en Paris hace más de 12 años. Desde
entonces, el Mundio ha evolucionado mucho.
E 158 – Liste complémentaire de tous mes professeurs depuis
mon retour en Espagne en 2002.
Tableau en
page suivante : mes 12 stages de formation ( 10 du temps de INTYF 2004 et de la
résidence San Lorenzo commencés en 2007 puis deux après ma libération et retour
au domicile en avril 2011 ).
I N T Y F - 2004
Calle dr
Tomás Sala
|
AutoCAD 702 horas
3 DS Studio
Max
Photoshop
Maquetación
Dos salidas
a expos
|
Carlos Navarro
Una profesora más
Un tutor director = Andrés Aparisi
|
F E V A L C E E
2007 – 2008
Granada 3
Calle
arquiteco Gascó Valencia
|
Diseño gráfico
Freehand MX
Prácticas +
Contrato de trabajo de 3 meses
|
Rafa y su esposa
Oscar
Calle
Salamanca ( Canovas )
|
Taller de Imprenta
Mancomunidad de l’horta nord
|
OFFSET Multi
|
Francisco ( Frankie )
Gonzales Calabuig
+ Psicóloga Maribel
|
I F E S – U G T
Almassera
|
Diseño
gráfico
Illustrator
Photoshop
In Design
|
José Galcera
|
A E C C – 1º
La Puebla
de Farnals
|
Dejar de fumar
Curso con éxito de un año de abstinencia
|
Montiel
Chelet Marti de psicóloga
|
Prelaboral inserta
2010
Local de
Fundar en la calle Fuencaliente
|
Tecnicas de búsqueda de empleo Preparación CV y
entrevistas profesión
|
Cristina Díaz
Rosa Valle
( C R I S –
ACOVA )
|
HH SS - 2010
Calle
fuencaliente en local de Fundar
|
Habilidades Sociales y Personales
Identificación y control de las emociones
Dinámicas de grupo
|
Psicólogas
Lidon Mars Aicart
Teresa Quiros
Mari Carmen
|
A F I O V A
2009
Calle la
Paz
|
Ofimática Word Excel Access Internet
|
Amparo Martinez
Helena Martinez
Pilar Martinez
Pilar ( internet )
|
AutoCAD Cogrup
Con extensión del curso doblado
Calle Barón de Carcer
|
Diseño
AutoCAD
|
Una joven no memorizada – Otro profesor tampoco memorizado
|
C S I F – 1º
Con
minusvalía
Metro : ?
Calle ?
|
Empleado de oficina Contaplus Facturaplus
Nóminaplus
Word Excel Access
|
Sra Ribelles Rocafull ( preñada )
David Navarro
Tutora : Lola
|
A E C C – 2º- Sede
Interrumpido por fracaso a mitad
|
Dejar de fumar una tercera vez imposible
|
Montiel
Chelet Marti
Doctor Buforn
de apoyo - parches
|
C S I F – 2º
2011
|
Word Excel Access
PowerPoint Internet
|
Javier
Santamans Caballero – Office
|
E 159 – Desde mi retorno a España, me leo solo tres
libros : 1 Mathématiques ( un opuscule de 200 petites pages ), puis 2
« Le soir du vent fou » de Michel Jeury ( Éditions France Loisirs ) y
3 « El clan del oso cavernario” de Jean M Auel aux éditions “El País Novela histórica” ( 600 pages ). « La
Tierra de las cuevas pintadas » ( Los hijos de la Tierra de Jean M Auel )
a été à peine comencé et abandonné.
E 160 – Il me vient l’idée d’établir un sommaire de cette biographie ci . De sa
page 1 à sa page 147. ( page 74 de la deuxième partie )
E 161 – Mes parents : 1 – 2 – 3
1 – Mon père Pedro Victor Serrano Lopez de naissance française le 1er
avril 1922 dans les Alpes à Saint Pierre d’Allevard émigra avec ses parents
espagnols sur Valencia. Il avait deux sœurs, mes tantes Francisca Serrano Lopez
et Manolita Serrano Lopez. Il s’enrôla du côté républicain dans la guerre
civile avec son père Manuel Serrano Muñoz. Lorsque la guerre fut perdue, ils
durent subir la déportation en un camp de concentration en France pour réfugiés
espagnols. Faisant interprète, il bénéficiait de rations supplémentaires de
pain qu’il troquait contre du tabac. Le conflit calmé, ils rentrèrent au pays
pour y subir le franquisme. Mon grand père Manuel avait des idées communistes,
ce qui rendait difficiles les recherches d’emploi. Après son mariage en 1958,
je viens au monde en 1959. Afin de nourrir la famille, mon père décide
d’émigrer sur Paris. Ainsi il part avant nous travailler chez Cablacces où il a
pour tâche d’allumer le poëlle à charbon de très bon matin afin que l’usine
soit réchauffée quand les employés arrivent. Puis nous arrivons ma mère et moi
en 1961 habiter aussi sur Paris. Ma mère se fait embaucher chez Cablacces où
elle est nommée responsable du montage après quelque emploi de femme de ménage
( À l’ Élan rue du château des rentiers ). Ils y travaillent jusque vers 1974,
date à laquelle ils embauchent à la S A T proche ( Société Anonyme des
Télécommunications rue Cantagrel ) tous deux comme ouvriers. Ils garderont ce
poste jusqu’à la pré – retraite. Ma mère eut la quille ( décoration de la S
A T) en 1982. Elle avait embauché en
1969. La S A T fabriquait, entre autres, des pièces de satellites, et aurait
travaillé avec la N A S A dans le programme Apollo. Vers 1985, l’entreprise
quitta la capitale.
Père était très
casanier. Il ne partait ni en voyages ( en dehors de nos vacances d’été en
commun à Valencia ) ni au restaurant, ni au cinéma. Sa passion et passe temps
était en la philatélie. Il amassait les catalogues de timbres neufs et oblitéré.
Ses amis étaient tous collègues de la S A T : María Conti, Jean Chavois,
Boulet, Guégan et Jacquet ( ou collègues de Cablacces comme Fernando Maiques ).
Il occupait parfois ses week ends à travailler au noir avec Jean Chavois à
refaire des appartements aux papiers peints muraux. Tout le temps de sa vie,
l’alcool ne l’a jamais quitté. Il vint à quelque réunion AA, mais sans succès. Avant
de partir sur Paris, il avait été pris comme serveur au bar à bord d’un navire
de la marine marchande. Il navigua aussi sur des pétroliers, sur le Tunisia,
sur un bateau suédois, parcourant le monde et le détroit de Panama.
Il fut opéré de
l’estomac en Allemagne ( à vif ), d’un bras cassé par lui-même comme prétexte à
débarquer, du pancréas à Paris et des artères des jambes qui furent remplacées
par des artères en plastique. Il fumait abondamment, des Gitanes Maïs au gros
papier jaune et qui s’éteignaient. Dans ses dernières années, il s’occupait à
fabriquer des chaînes en bois et divers mobiles qui étaient taillés dans la
masse du bois. Il avait donc les mains très esquintées à limer et poncer après
sa découpe. Il les avait aussi vernis. Je les garde encore dans la vitrine. Père
était très habile de ses mains.
Mon père décéda
seul sur un sofa avec sa cigarette à la main à Paris le 15 octobre 1986 à l’
âge de 65 ans. Le trouvant, je le croyais endormi et tentais de le réveiller en
lui glissant un écouteur de radio dans l’oreille. La société « Hygiène Funéraire »
se chargea des obsèques qui coutèrent l’énorme somme de 24 000 francs de l’époque.
Nous le rapatrions en cercueil zingué en avion jusque sur Valencia, et il
repose en paix au « Cementerio General » où je me rends chaque année
au 1er novembre, jour de Tous
les Saints. Il n’y a jamais de fleurs sur sa tombe que personne ne visite, juchée
en un 4ème niveau.
2 – Ma mère Dolores Maria Sorni Bailach ( de surnom Lolita ) née le 11
novembre 1924 était très économe. Issue d’un petit village de valencia ( Alfara
del Patriarca . Elle était sœur de Francisco le médecin, de Palmira, de José Cristobal l’avocat
et de Marina ) car elle avait connu la faim et le besoin pendant et après la
guerre. Mère était très travailleuse, mais instable. Elle passa les dernières
années vécues en France à voyager : Venise, Prague, Rome, le Maroc, Madrid,
Huelva, Dinan, les Baléares, Lloret de Mar, la Galicie, Moscou, l’Alsace, la
Suisse, le Tyrol autrichien, la vallée de Chamonix et cette ville de Maastricht
en Hollande où fut signé l’ Euro.
Elle fréquenta
pendant des années des amis Al – Anon des A A ( les Goubely, les Fauvet,
Ginette ) quoique la fréquentation entre nous en dehors des réunions était
interdite par le règlement intérieur ( les 12 traditions ). Quoique parlant le
français par nécessité, elle garda toujours un accent espagnol que nous
n’avions ni mon père ni moi.
Durant son
emploi à la S A T, elle fut mise un temps aux presses, ce qui lui occasionnait
de terribles migraines, puis à « l’attache » au service
d’électrolyse. Ses amis ou collègues étaient les Buttée ( Jacqueline et Albert ) puis Raymonde Trouin
du même service. La S A T avait un Comité d’ Entreprise qui outre sa
bibliothèque de la rue du Chevaleret où j’allais emprunter des livres ( les séries
Bob Morane et Tarzan ainsi que quelque disque 33 tours ), organisait des camps
de vacances où je me rendis à l’occasion de deux étés à Saint Ferréol en
Aquitaine et à Murat en Auvergne. Je leur écrivais depuis mon centre aéré.
Mille et mille
fois je recassais ( répétais ) à ma mère de se conformer au paisible
végétarisme, mais jamais elle ne voulut fléchir. Elle buvait à peine un peu
d’alcool, très peu. Maman ne lut en sa vie entière que deux ou trois livres.
Elle était très peu culte, mais très raisonnable. Elle ne crut jamais à mon
projet de monnaie unique mondiale. Comme les ignorants, elle fréquentait
parfois l’église.
En 2005 ou
2006, vivant seule à Paris, elle est internée à l’ Hôpital Broca pour cause d’Alzheimer,
et ne sera rapatriée sur l’ Espagne par Fernando et moi en avion qu’en 2010, un
an avant son décès à sa résidence de Carlet, étant passée aux urgences et en
bref séjour en coma à l’ hôpital d’ Alzira dans la région. Elle décède au 31
mars 2011 suite à plus de 40 jours de comma ininterrompu par-dessus sa maladie
d’Alzheimer. En ses vieux jours elle fréquenta à Paris un ami Marcel Cordier
connu à table à un Restaurant Émeraude de Paris. Marcel vint en visite
touristique à Valencia. Il la visitait à Broca chaque semaine, mais il décéda
avant elle. Sur la fin, elle avait un comportement erratique, ne pouvant rester
assise plus de quelques secondes, et chantait, chantait.
Le cercueil de
mon père étant zingué, ils ne reposent pour l’instant pas ensembles. Il
faudrait faire incinérer maman et l’introduire dans l’emplacement de son mari
juste assez grand pour les réunir tous deux. Elle n’a même pas de marbre
funéraire, juste une petite plaque posée sans fixation. Elle laissa à son décès
une dette à l’administration française de 150 000 € de frais d’hôpital. Espace
Tutelle gérait ses comptes, en la directrice Mme Guillaumin et Mlle Suire qui
me firent des facilités de paiement, entre autres celles des funérailles.
3 – Mes parents ne m’ont jamais violenté : ma mère me donna une seule
gifle dans ma vie, un soir où je dansais avec une chaise dans les bras, ivre
dans un bar où nous fêtions quelque chose
( Bar Le Commerce vers 1975 ). Quand à mon père, jamais il ne m’a
touché, hormis un matin où je partais pour passer mon baccalauréat que je
ratais en ma première année de Terminale. Il était ivre, et manipulait un seau
d’eau dans la cuisine. Nous en venions un peu aux mains tous les deux en cette
matinée d’examen.
Un jour de ma
tendre enfance, vers l’âge de cinq ou six ans, ma mère me fit manger une boîte
de pâtée pour chats, car ne parlant pas français, elle ne le lisait pas
davantage. À la boutique, la boîte lui avait paru bon marché. Il fallut
attendre le retour de mon père pour comprendre, au lu de l’étiquette, ce
qu’elle m’avait fait avaler.
Mes deux
parents mesuraient bien dix ou quinze centimètres de moins que moi. Mon père
resta toujours très maigre. Il portait un dentier, s’étant fait extraire toutes
ses dents. Ses jambes, dû à son artérite, lui faisaient mal. Il ne pouvait ni
rester debout ni marcher trop longtemps sans faire de pause.
E 162 – Un engramme m’est resté de ma tendre enfance : vers l’âge de six ou
sept ans, je dus comprendre que voler est laid. En classe, j’avais mis dans ma
poche une gomme ( ou un taille crayons peut – être ) appartenant à un camarade.
L’objet m’avait plu, alors je l’avais pris, naturellement. L’objet fut déclaré
comme volé, on ne savait pas par qui. Je refusais de me dénoncer, mais nous
fumes tous fouillés, et la gomme apparut dans ma poche. Certainement, je dus
recevoir une grosse réprimande et une bonne leçon : voler est laid. À
partir de là, de toute mon enfance et durant toute mon adolescence, je devins
le plus honnête de tous les hommes en ce bas monde.
